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Très convaincant à l’occasion de ses débuts sur notre sol, le transalpin Voltaire Gifont va croiser sur son chemin des 3 ans français appelés (très) prochainement à affronter l’élite.
Paré, depuis 2014, du label européen, le Prix de Gien a une histoire récente toute particulière, puisqu’ilest à l’origine de l’intérêt de Pierre Pilarski pour Bold Eagle, lequel s’était rendu maître, cette année-là, de la coqueluche du Centre-Est (Brosses Troubadour) que suivait alors de près Mister Big Mac... De belles histoires, les entourages des différents protagonistes à ce groupe III bien composés espèrent en vivre de nombreuses. Venant de frapper fort d’entrée de jeu dans l’Hexagone, le 3 ans italien Voltaire Gifont (issu des français Quaker Jet et Realm of Fancy) va trouver à qui parler ce week-end sur la cendrée parisienne. Maitrisant parfaitement la langue de Molilère, Andrea Guzzinatti sait que l’opposition est relevée mais s’attend néanmoins “à une très belle performance” de son partenaire, lequel vient de boucler les 2.700 mètres de la grande piste dans une réduction kilométrique (1’14”6) qu’aucun de ses rivaux n’a égalé sur ce parcours que va découvrir le prometteur Eden Basque. Invaincu à Vincennes avec Eric Raffin, ce beau poulain s’annonce lui aussi compétitif pour la victoire, “d’autant qu’il affiche une forme optimale”, d’après Sébastien Guarato, lequel délègue également un Edile du Goutier“compétitif pour les places.” Restant sur deux contre-performances, Empereur The Best paraît, de son côté, capable de remettre les pendules à l’heure, lui qui a rapidement laissé entrevoir de la qualité, à l’instar du beau Easy des Racques, venant de donner “entière satisfaction” à Alexandre Buisson, et Euro du Chêne, “prêt à faire feu”, selon Julien Le Mer.
Paré, depuis 2014, du label européen, le Prix de Gien a une histoire récente toute particulière, puisqu’ilest à l’origine de l’intérêt de Pierre Pilarski pour Bold Eagle, lequel s’était rendu maître, cette année-là, de la coqueluche du Centre-Est (Brosses Troubadour) que suivait alors de près Mister Big Mac... De belles histoires, les entourages des différents protagonistes à ce groupe III bien composés espèrent en vivre de nombreuses. Venant de frapper fort d’entrée de jeu dans l’Hexagone, le 3 ans italien Voltaire Gifont (issu des français Quaker Jet et Realm of Fancy) va trouver à qui parler ce week-end sur la cendrée parisienne. Maitrisant parfaitement la langue de Molilère, Andrea Guzzinatti sait que l’opposition est relevée mais s’attend néanmoins “à une très belle performance” de son partenaire, lequel vient de boucler les 2.700 mètres de la grande piste dans une réduction kilométrique (1’14”6) qu’aucun de ses rivaux n’a égalé sur ce parcours que va découvrir le prometteur Eden Basque. Invaincu à Vincennes avec Eric Raffin, ce beau poulain s’annonce lui aussi compétitif pour la victoire, “d’autant qu’il affiche une forme optimale”, d’après Sébastien Guarato, lequel délègue également un Edile du Goutier“compétitif pour les places.” Restant sur deux contre-performances, Empereur The Best paraît, de son côté, capable de remettre les pendules à l’heure, lui qui a rapidement laissé entrevoir de la qualité, à l’instar du beau Easy des Racques, venant de donner “entière satisfaction” à Alexandre Buisson, et Euro du Chêne, “prêt à faire feu”, selon Julien Le Mer.
