Les tops :
Quel régal de voir le champion de Pierre Pilarski remporter le Prix René Ballière ! Bien sûr, Franck Nivard lui a donné le meilleur des parcours et sa rivale Bélina Josselyn s'est élancée au galop, mais son accélération dans le dernier tournant a été époustouflante, comme d'habitude. Nul doute, le crack a bien digéré son échec de la finale de l'Elitloppet.
La belle semaine de François Lecanu
Après avoir gagné son poids en champagne le mercredi grâce à Bon Copain dans le GNT de Reims, François Lecanu a remporté l'étape du Trophée Vert dimanche au Touquet, associé à Vivien Péo, un bel achat à réclamer.
JMB a la main chaude
Auteur d'un coup de quatre mardi, Jean-Michel Bazire a signé sa 100e victoire de l'année. Même s'il a dû se contenter de places jeudi, le Sarthois n'est pas sorti des cinq premiers en douze courses sur les deux réunions vichyssoises.
Les flops :
L'erreur est humaine et demande une certaine indulgence. Mais quand les auteurs ne la reconnaissent pas malgré les évidences, cela devient une faute. Mardi, au Croisé-Laroche, les commissaires ont mal interprété la photo finish nécessaire pour départager L'Optimiste et Heartbeat, à l'arrivée d'une course de gentlemen. En coulisses, ils ont même désigné, à l'entourage victime de la méprise, la tête du lauréat passant le poteau en vainqueur, en se trompant de cheval... Les opérateurs ont ainsi payé gagnant un cheval ayant coupé la ligne d'arrivée en deuxième position. Hallucinant !
- Un calendrier à optimiser
Mardi 20 juin, les passionnés de trot ont dû attendre la nocturne de Vincennes, heure à laquelle la plupart des PMU sont fermés, après avoir assisté (ou non) à quatre réunions de plat et obstacle (Dieppe, les Sables-d'Olonne, Dax et Ascot) dans la journée. Le vendredi suivant, le trot a fait son apparition en France sur le plateau de Gravelle à 19 h 40. Le 27, les aficionados de cette discipline ont dû attendre 16 h 45 (Nancy). En revanche, le 30, avec Le Mont-Saint-Michel, Feurs et Vincennes en nocturne (sans compter Avenches), les trotteurs ne savaient plus où donner de la tête. À quand une vraie optimisation du programme ?
- Moins d'entraîneurs au galop
Si le nombre d'entraîneurs publics au trot reste stable, selon le dernier rapport de l'Observatoire Social de l'activité d'entraînement de chevaux de course en France, leurs collègues au galop sont aujourd'hui moins nombreux : 327 en 2016 contre 408 en 2015... Dans le même temps, certaines écuries ont vu leurs effectifs (chevaux et hommes) s'étoffer. En période de crise, c'est souvent le cas : les riches deviennent plus riches et les pauvres plus pauvres.
Quel régal de voir le champion de Pierre Pilarski remporter le Prix René Ballière ! Bien sûr, Franck Nivard lui a donné le meilleur des parcours et sa rivale Bélina Josselyn s'est élancée au galop, mais son accélération dans le dernier tournant a été époustouflante, comme d'habitude. Nul doute, le crack a bien digéré son échec de la finale de l'Elitloppet.
La belle semaine de François Lecanu
Après avoir gagné son poids en champagne le mercredi grâce à Bon Copain dans le GNT de Reims, François Lecanu a remporté l'étape du Trophée Vert dimanche au Touquet, associé à Vivien Péo, un bel achat à réclamer.
JMB a la main chaude
Auteur d'un coup de quatre mardi, Jean-Michel Bazire a signé sa 100e victoire de l'année. Même s'il a dû se contenter de places jeudi, le Sarthois n'est pas sorti des cinq premiers en douze courses sur les deux réunions vichyssoises.
Les flops :
L'erreur est humaine et demande une certaine indulgence. Mais quand les auteurs ne la reconnaissent pas malgré les évidences, cela devient une faute. Mardi, au Croisé-Laroche, les commissaires ont mal interprété la photo finish nécessaire pour départager L'Optimiste et Heartbeat, à l'arrivée d'une course de gentlemen. En coulisses, ils ont même désigné, à l'entourage victime de la méprise, la tête du lauréat passant le poteau en vainqueur, en se trompant de cheval... Les opérateurs ont ainsi payé gagnant un cheval ayant coupé la ligne d'arrivée en deuxième position. Hallucinant !
- Un calendrier à optimiser
Mardi 20 juin, les passionnés de trot ont dû attendre la nocturne de Vincennes, heure à laquelle la plupart des PMU sont fermés, après avoir assisté (ou non) à quatre réunions de plat et obstacle (Dieppe, les Sables-d'Olonne, Dax et Ascot) dans la journée. Le vendredi suivant, le trot a fait son apparition en France sur le plateau de Gravelle à 19 h 40. Le 27, les aficionados de cette discipline ont dû attendre 16 h 45 (Nancy). En revanche, le 30, avec Le Mont-Saint-Michel, Feurs et Vincennes en nocturne (sans compter Avenches), les trotteurs ne savaient plus où donner de la tête. À quand une vraie optimisation du programme ?
- Moins d'entraîneurs au galop
Si le nombre d'entraîneurs publics au trot reste stable, selon le dernier rapport de l'Observatoire Social de l'activité d'entraînement de chevaux de course en France, leurs collègues au galop sont aujourd'hui moins nombreux : 327 en 2016 contre 408 en 2015... Dans le même temps, certaines écuries ont vu leurs effectifs (chevaux et hommes) s'étoffer. En période de crise, c'est souvent le cas : les riches deviennent plus riches et les pauvres plus pauvres.