Le journal Libération révèle ce 5 octobre qu’en Amérique du Sud, des juments sont engrossées, saignées et avortées pour produire une hormone à destination, entres autres, de la France. Cette méthode a été découverte par plusieurs ONG défendant la cause chevaline et animale.
Ces « fermes à sang sont basées notamment en Uruguay ou en Argentine. Dans un premier temps, les juments sont fécondées. Dans un second temps, entre le 40e jour et le 120e jour, des prélèvements sanguins sont effectués afin de récolter une hormone sécrétée par le placenta, la gonodotrophine chorionique utile à l’industrie pharmaceutique et susceptible de déclencher et synchroniser les naissances au sein des élevages équins.
Libération révèle, que, vidéos et photos à l’appui, que des troupeaux de juments, mutilées, errent dans des pâturages, victimes de grossesses et d’avortements à répétition.
La France, comme plusieurs pays européens, ont acheté cette hormone pour près de sept millions d’euros entre janvier et mai 2017. Cette information, peu connue dans l’Hexagone, a commencé à faire son chemin sur le Vieux Continent, qui a recueilli une pétition de plus de 1,7 millions de signatures. Par exemple, la Suisse a interdit un quelconque usage de cette hormone. Le Parlement et le Conseil Européens se sont saisis de l’affaire.
Ces « fermes à sang sont basées notamment en Uruguay ou en Argentine. Dans un premier temps, les juments sont fécondées. Dans un second temps, entre le 40e jour et le 120e jour, des prélèvements sanguins sont effectués afin de récolter une hormone sécrétée par le placenta, la gonodotrophine chorionique utile à l’industrie pharmaceutique et susceptible de déclencher et synchroniser les naissances au sein des élevages équins.
Libération révèle, que, vidéos et photos à l’appui, que des troupeaux de juments, mutilées, errent dans des pâturages, victimes de grossesses et d’avortements à répétition.
La France, comme plusieurs pays européens, ont acheté cette hormone pour près de sept millions d’euros entre janvier et mai 2017. Cette information, peu connue dans l’Hexagone, a commencé à faire son chemin sur le Vieux Continent, qui a recueilli une pétition de plus de 1,7 millions de signatures. Par exemple, la Suisse a interdit un quelconque usage de cette hormone. Le Parlement et le Conseil Européens se sont saisis de l’affaire.