Le driver lauréat du Tour Européen du Trotteur Français viendra-t-il à la cérémonie des récompenses...
Jos Verbeeck sera-t-il de retour à Vincennes un vendredi de décembre, où il est attendu, non pas sur la piste, mais dans le salon d'honneur pour recevoir son prix (7.500 euros) du meilleur driver de l'édition 2017 de ce Tour Européen du Trotteur Français ? Suspense.
C'est le poing rageur, bien avant l'arrivée, qu'il manifeste son bonheur de vaincre avec Bird Parker. Mais n'allons pas croire que c'est par fierté patriote, disons plutôt un signe de reconnaissance : “Philippe Allaire, comme d'ailleurs Jean-Michel Bazire, a de la mémoire. Ils ne m'ont pas laissé tomber...” Jos a de la fierté, beaucoup, celle qui t'empêche de vieillir. Il sait, pour flirter avec, une grande partie de l'année, que le pire dans ce métier, c'est l'oubli.
Beaucoup de choses ont été dites, écrites et surtout chuchotées, mais le personnage a toujours la rage de vaincre de ses dix-huit ans ; il suffirait de pas grand-chose pour le voir sortir de ses gonds. Populaire, il le reste. Sa disparition des programmes français a été un mauvais coup pour le PMU, pour preuve les masses d'argent jouées sur ses souvent “non-chances” dans les réunions Premium disputées à Wolvega, Avenches, Mons, et autres sites allemands, là où curieusement la France ne le considère pas comme un paria.
Vendredi soir, le professionnel belge a joué sa partition sans improvisation, remportant sa troisième victoire du tournoi en autant de tentatives, participant au carton plein de Bird Parker : la victoire aux points, celles dans le rang des drivers et des entraîneurs. “C'est un cheval fantastique à qui il ne faut pas montrer la cravache. Un vrai batailleur capable de se jouer des mauvais aléas d'une course. Là, on a failli tout perdre en début de course, où on peut se retrouver par terre. Après, nous nous sommes baladés.”
Jos Verbeeck sera-t-il de retour à Vincennes un vendredi de décembre, où il est attendu, non pas sur la piste, mais dans le salon d'honneur pour recevoir son prix (7.500 euros) du meilleur driver de l'édition 2017 de ce Tour Européen du Trotteur Français ? Suspense.
C'est le poing rageur, bien avant l'arrivée, qu'il manifeste son bonheur de vaincre avec Bird Parker. Mais n'allons pas croire que c'est par fierté patriote, disons plutôt un signe de reconnaissance : “Philippe Allaire, comme d'ailleurs Jean-Michel Bazire, a de la mémoire. Ils ne m'ont pas laissé tomber...” Jos a de la fierté, beaucoup, celle qui t'empêche de vieillir. Il sait, pour flirter avec, une grande partie de l'année, que le pire dans ce métier, c'est l'oubli.
Beaucoup de choses ont été dites, écrites et surtout chuchotées, mais le personnage a toujours la rage de vaincre de ses dix-huit ans ; il suffirait de pas grand-chose pour le voir sortir de ses gonds. Populaire, il le reste. Sa disparition des programmes français a été un mauvais coup pour le PMU, pour preuve les masses d'argent jouées sur ses souvent “non-chances” dans les réunions Premium disputées à Wolvega, Avenches, Mons, et autres sites allemands, là où curieusement la France ne le considère pas comme un paria.
Vendredi soir, le professionnel belge a joué sa partition sans improvisation, remportant sa troisième victoire du tournoi en autant de tentatives, participant au carton plein de Bird Parker : la victoire aux points, celles dans le rang des drivers et des entraîneurs. “C'est un cheval fantastique à qui il ne faut pas montrer la cravache. Un vrai batailleur capable de se jouer des mauvais aléas d'une course. Là, on a failli tout perdre en début de course, où on peut se retrouver par terre. Après, nous nous sommes baladés.”