Ce lundi 12 février, le Conseil d’administration de France Galop s’est réuni. Plusieurs décisions ont été actées, dont la nouvelle doctrine pour le jugement des gênes, à compter du 31 mars.
À partir de cette date, les commissaires de tout le pays devront appliquer une nouvelle doctrine sur le jugement des gênes dans les courses au galop. Les nouvelles dispositions internationales ont été rédigées dans le cadre d’une large concertation menée par la Fédération internationale des autorités hippiques (FIAH), au terme de laquelle le Conseil d’administration de France Galop les a ratifiées.
Cette nouvelle doctrine, rendue nécessaire par l’accentuation sur le plan international d’une tendance privilégiant le résultat sportif plutôt qu’une arrivée théorique, s’articule autour de deux principes :
La rétrogradation d’un concurrent n’interviendra que si ce concurrent empêche un adversaire de le devancer, non plus seulement s’il le prive d’une allocation ou d’une meilleure allocation.
À la demande de la France, il est néanmoins prévu que si la monte du jockey du concurrent responsable de la gêne est considérée comme dangereuse, le concurrent incriminé pourra également être rétrogradé derrière le gêné –comme aujourd’hui- ou distancé. Si la monte n’est pas considérée comme dangereuse, alors la nouvelle doctrine s’impose, c’est-à-dire que le gêneur n’est rétrogradé que s’il a empêché le gêné de le devancer.
Ces dispositions vont être très prochainement appliquées en Allemagne et elles sont en cours de traitement chez nos principaux voisins. Elles sont actuellement présentées dans toutes les sessions de formation continue des commissaires à travers le territoire.
À partir de cette date, les commissaires de tout le pays devront appliquer une nouvelle doctrine sur le jugement des gênes dans les courses au galop. Les nouvelles dispositions internationales ont été rédigées dans le cadre d’une large concertation menée par la Fédération internationale des autorités hippiques (FIAH), au terme de laquelle le Conseil d’administration de France Galop les a ratifiées.
Cette nouvelle doctrine, rendue nécessaire par l’accentuation sur le plan international d’une tendance privilégiant le résultat sportif plutôt qu’une arrivée théorique, s’articule autour de deux principes :
La rétrogradation d’un concurrent n’interviendra que si ce concurrent empêche un adversaire de le devancer, non plus seulement s’il le prive d’une allocation ou d’une meilleure allocation.
À la demande de la France, il est néanmoins prévu que si la monte du jockey du concurrent responsable de la gêne est considérée comme dangereuse, le concurrent incriminé pourra également être rétrogradé derrière le gêné –comme aujourd’hui- ou distancé. Si la monte n’est pas considérée comme dangereuse, alors la nouvelle doctrine s’impose, c’est-à-dire que le gêneur n’est rétrogradé que s’il a empêché le gêné de le devancer.
Ces dispositions vont être très prochainement appliquées en Allemagne et elles sont en cours de traitement chez nos principaux voisins. Elles sont actuellement présentées dans toutes les sessions de formation continue des commissaires à travers le territoire.