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La Marseillaise n’a pas retenti dans le Prix d’Orthez (Prix Rio Conseils et Crédits – attelé – groupe III – course européenne – 4 ans – 2700 mètres GP), ce dimanche 18 février à Vincennes. C’est l’Italie qui a dominé l’épreuve, avec un certain Voltaire Gifont, qui signe une deuxième victoire de groupe dans le Temple du Trot.
Ce Prix d’Orthez a régulièrement souri à de bons, voire de futurs très bons éléments comme Treskool du Cauxou Pirogue Jénilou notamment. Ce dimanche, c’est l’Italie qui est montée sur la plus haute marche du podium, comme ce fût le cas déjà en 2015 avec Saphire Bi. Voltaire Gifont avait fait grosse impression pour ses débuts sur notre sol, le 6 mai 2017. Il remportait alors déjà un groupe III, le Prix de Faulquemont. Il n’avait pas forcément confirmé au niveau qu’on l’attendait depuis dans l’Hexagone. Très tendu et disqualifié dans le récent Prix Charles Tiercelin, le fils de Quaker Jet a montré un tout autre visage cette fois. Après avoir patienté à l’arrière du peloton, le pensionnaire de Cristian Rizzo a viré en quatrième épaisseur dans le dernier virage, avant de remarquablement prolonger son effort jusqu’au bout.
Elvis Madrik (n°7 – F. Nivard) devra encore attendre avant de prendre du caractère gras. Passé à l’attaque, quelque peu avant l’ultime virage, il ne s’est incliné qu’avec les honneurs.
Espella Védaquaise (n°11 – Y. Lebourgeois), fautive en début de parcours, réalise encore un « truc ». Revenue aux avant-postes au prix d’un gros effort, elle n’a rien lâché jusqu’au bout, se relançant même à la fin. Cette fille de Thorens Védaquais est dure comme de la pierre et mériterait une victoire de prestige.
A noter que Portland (n°2 – B. Goop), le favori de l’épreuve, n’a pas été chanceux lorsque Yoann Lebourgeois s’est rabattu devant lui, peu avant la montée. Il faudra le reprendre en confiance.
https://youtu.be/c47xOGgmsuc
Ce Prix d’Orthez a régulièrement souri à de bons, voire de futurs très bons éléments comme Treskool du Cauxou Pirogue Jénilou notamment. Ce dimanche, c’est l’Italie qui est montée sur la plus haute marche du podium, comme ce fût le cas déjà en 2015 avec Saphire Bi. Voltaire Gifont avait fait grosse impression pour ses débuts sur notre sol, le 6 mai 2017. Il remportait alors déjà un groupe III, le Prix de Faulquemont. Il n’avait pas forcément confirmé au niveau qu’on l’attendait depuis dans l’Hexagone. Très tendu et disqualifié dans le récent Prix Charles Tiercelin, le fils de Quaker Jet a montré un tout autre visage cette fois. Après avoir patienté à l’arrière du peloton, le pensionnaire de Cristian Rizzo a viré en quatrième épaisseur dans le dernier virage, avant de remarquablement prolonger son effort jusqu’au bout.
Elvis Madrik (n°7 – F. Nivard) devra encore attendre avant de prendre du caractère gras. Passé à l’attaque, quelque peu avant l’ultime virage, il ne s’est incliné qu’avec les honneurs.
Espella Védaquaise (n°11 – Y. Lebourgeois), fautive en début de parcours, réalise encore un « truc ». Revenue aux avant-postes au prix d’un gros effort, elle n’a rien lâché jusqu’au bout, se relançant même à la fin. Cette fille de Thorens Védaquais est dure comme de la pierre et mériterait une victoire de prestige.
A noter que Portland (n°2 – B. Goop), le favori de l’épreuve, n’a pas été chanceux lorsque Yoann Lebourgeois s’est rabattu devant lui, peu avant la montée. Il faudra le reprendre en confiance.
https://youtu.be/c47xOGgmsuc
