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Il y a quelques semaines, les couleurs de Richard Westerink ont été officialisées... au galop. Car l'homme de Timoko est copropriétaire d'un anglo-arabe. Reyen, alezan de 3 ans, est sous la responsabilité d'Antoine de Watrigant: « Au tout début, je ne peux pas dire que j'étais en admiration devant ce poulain. Son modèle et son déplacement ne me plaisaient pas plus que cela. Mais, regardez, il est de mieux en mieux. Il est sur la bonne voie. Il lui reste à s'engager plus volontairement entre les autres, car il aurait encore un peu peur des autres. Mais il a un moteur et, physiquement, il va dans le bon sens. Aujourd'hui (lisez mardi), il a travaillé avec un pur-sang arabe dont je crois qu'il a tout d'un champion. »
S'agirait-il d'une belle histoire qui commence ? Pas impossible. Et puis, renvoi d'ascenseur oblige, Richard Westerink a, dans ses boxes, un trotteur qui défend les intérêt d'Antoine de Watrigant : « Richard l'a choisi lors de ventes aux enchères, confirme l'entraîneur Montois. Il lui plaît, m'a-t-il dit, mais il a un peu levé le pied à l'entraînement. Gaj de Marancourt est un fils de Jag de Bellouet que je compte bien aller voir sous peu à l'entraînement. »
S'agirait-il d'une belle histoire qui commence ? Pas impossible. Et puis, renvoi d'ascenseur oblige, Richard Westerink a, dans ses boxes, un trotteur qui défend les intérêt d'Antoine de Watrigant : « Richard l'a choisi lors de ventes aux enchères, confirme l'entraîneur Montois. Il lui plaît, m'a-t-il dit, mais il a un peu levé le pied à l'entraînement. Gaj de Marancourt est un fils de Jag de Bellouet que je compte bien aller voir sous peu à l'entraînement. »
