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Installé à Saint-Quentin-Fallavier, dans l'Isère, Loris Garcia fait partie des meilleures mains du Centre-Est. Sans bruit, le professionnel mène une carrière constante, avec beaucoup d'efficacité, et des choix toujours bien mesurés. L'écurie se compose aujourd'hui de dix-huit chevaux. Depuis quelques années, Loris peut compter sur une recrue de circonstance, Dylan, son fils. “On travaille ensemble, avec un employé et un apprenti. En ce moment, Dylan est à Cagnes, où il s'occupe de notre effectif, car, pour ma part, je fais des allers-retours sur la côte d'Azur. Cela pénalise moins l'écurie. On doit s'occuper de tous les chevaux et il est difficile de partir deux mois dans le Sud. On a des courses aussi chez nous et nous devons assurer localement.”
Cagnes-sur-Mer est un hippodrome que Loris Garcia connaît bien. Très bien même. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. En effet, son coefficient de réussite sur le site azuréen, au niveau des victoires, que ce soit comme entraîneur ou comme jockey, est proche des 25 %, soit une course sur quatre !
Cet été, comme de coutume, le professionnel lyonnais est très présent sur les bords de la Méditerranée et les résultats s'enchaînent. “Au niveau de nos objectifs, on est plutôt bien. Nous n'avons pas fait beaucoup d'erreurs. On a bien préparé cette période estivale. Nous avions des chevaux compétitifs pour Cagnes-sur-Mer, ils ont confirmé. En tout cas, on ne peut pas parler de réelles surprises. La seule bonne note, qui ne constitue pas une surprise pour autant, ce serait Fantasiawicz, qui s'est imposée pour sa rentrée après quelques mois d'absence. Maintenant il s'agit d'une jument de qualité, qui a gagné cet hiver à Vincennes.”
Les comptes, on les fera après les deux derniers rendez-vous, vendredi et samedi. “Bien évidemment les deux dernières journées sont importantes pour l'écurie. Nous aurons durant ces deux jours, six partants dont cinq dans les diverses finales des Coupes, des chevaux qui ont tous été préparés pour ce meeting et qui arrivent à leur objectif principal.”
Installé à Saint-Quentin-Fallavier, dans l'Isère, Loris Garcia fait partie des meilleures mains du Centre-Est. Sans bruit, le professionnel mène une carrière constante, avec beaucoup d'efficacité, et des choix toujours bien mesurés. L'écurie se compose aujourd'hui de dix-huit chevaux. Depuis quelques années, Loris peut compter sur une recrue de circonstance, Dylan, son fils. “On travaille ensemble, avec un employé et un apprenti. En ce moment, Dylan est à Cagnes, où il s'occupe de notre effectif, car, pour ma part, je fais des allers-retours sur la côte d'Azur. Cela pénalise moins l'écurie. On doit s'occuper de tous les chevaux et il est difficile de partir deux mois dans le Sud. On a des courses aussi chez nous et nous devons assurer localement.”
Cagnes-sur-Mer est un hippodrome que Loris Garcia connaît bien. Très bien même. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. En effet, son coefficient de réussite sur le site azuréen, au niveau des victoires, que ce soit comme entraîneur ou comme jockey, est proche des 25 %, soit une course sur quatre !
Cet été, comme de coutume, le professionnel lyonnais est très présent sur les bords de la Méditerranée et les résultats s'enchaînent. “Au niveau de nos objectifs, on est plutôt bien. Nous n'avons pas fait beaucoup d'erreurs. On a bien préparé cette période estivale. Nous avions des chevaux compétitifs pour Cagnes-sur-Mer, ils ont confirmé. En tout cas, on ne peut pas parler de réelles surprises. La seule bonne note, qui ne constitue pas une surprise pour autant, ce serait Fantasiawicz, qui s'est imposée pour sa rentrée après quelques mois d'absence. Maintenant il s'agit d'une jument de qualité, qui a gagné cet hiver à Vincennes.”
Les comptes, on les fera après les deux derniers rendez-vous, vendredi et samedi. “Bien évidemment les deux dernières journées sont importantes pour l'écurie. Nous aurons durant ces deux jours, six partants dont cinq dans les diverses finales des Coupes, des chevaux qui ont tous été préparés pour ce meeting et qui arrivent à leur objectif principal.”
