Dame d'Id s'affirme, à l'image de son entraîneur, Édouard Lyon, ayant obtenu sa licence il y a tout juste un an, et dont les résultats suivent une courbe ascensionnelle (trois victoires depuis le début du mois d'octobre). Montée en grande confiance par Maxime Guyon, elle s'impose sans coup férir, en nous dévoilant de gros progrès. “Elle peut rapidement s'énerver quand cela reprend devant elle, explique le jeune professionnel installé à Maisons-Laffitte. Voilà pourquoi, elle n'arrivait jamais à se contrôler dans les pelotons. Maxime s'entend très bien avec elle. Quand il a senti qu'elle commençait se tendre, il a préféré venir en tête. C'était la bonne initiative.”
Demi-frère de la classique Dolniya (Dubai Sheema Classic), Dalvini ouvre son palmarès avec autorité dans le Prix Vamos. “C'est un poulain souffrant de problèmes respiratoires, très tardif. Il commence à venir. Il nous montre, aujourd'hui, quelque chose d'intéressant, c'est sûr”, déclare Alain de Royer Dupré, dont le second pensionnaire, Marouche, termine d'ailleurs deuxième, au prix d'un bon effort final. “Il a sans doute été desservi par le manque de train, mais il court une nouvelle fois très bien.”
Neuf ans, mais toujours aussi performant. Il a changé souvent de maison, il a eu des combats difficiles, notamment dans les quintés, mais en contrôlant de bout en bout le Prix Ramus, GrandVintage montre qu'il n'a rien perdu de sa superbe. Respect !
Demi-frère de la classique Dolniya (Dubai Sheema Classic), Dalvini ouvre son palmarès avec autorité dans le Prix Vamos. “C'est un poulain souffrant de problèmes respiratoires, très tardif. Il commence à venir. Il nous montre, aujourd'hui, quelque chose d'intéressant, c'est sûr”, déclare Alain de Royer Dupré, dont le second pensionnaire, Marouche, termine d'ailleurs deuxième, au prix d'un bon effort final. “Il a sans doute été desservi par le manque de train, mais il court une nouvelle fois très bien.”
Neuf ans, mais toujours aussi performant. Il a changé souvent de maison, il a eu des combats difficiles, notamment dans les quintés, mais en contrôlant de bout en bout le Prix Ramus, GrandVintage montre qu'il n'a rien perdu de sa superbe. Respect !