Quinze mois d'absence n'ont pas empêché Chiverny, désormais placé sous la houlette de Nicolas Caullery, de s'imposer de bout en bout dans l'épreuve d'ouverture, faisant dire à son jockey, Jean-Bernard Eyquem, avec lequel il avait remporté le Grand Prix de Bordeaux, l'an dernier : “Je l'ai juste fait “bosser”. C'est de bon augure, j'ai retrouvé mon champion.”
Second succès du jour pour Jean-Bernard Eyquem, qui fait sien le Prix Philippe du Vivier, en selle sur Taos, un pensionnaire de Jean-Claude Rouget, auteur de bons débuts, sur le tracé fin septembre. Camino Réal, venu des derniers rangs, n'a pas eu le temps de remonter le lauréat, mais sa fin de course, sur ce terrain très souple, a séduit.
Le Prix de Pauillac, épreuve phare du jour, voit le succès autoritaire de Joe Français, dont les premiers pas victorieux, en juillet à La Teste, avaient déjà laissé entrevoir un élément de qualité, ce que confirme son mentor, Martial Delaplace : “C'est un cheval qui a été volontairement ménagé en vue de son année de 3 ans, raison pour laquelle il n'avait pas été revu. Il dispose d'un gros potentiel, de valeur groupe, je pense. Contrairement à ses débuts, il a cette fois patienté et a parfaitement géré sa course, bien qu'il soit encore immature.”
L'atout fraîcheur a payé pour Mosgiel, qui enlève le Prix Torrestrella, classe 2, au terme d'une arrivée particulièrement serrée.
Second succès du jour pour Jean-Bernard Eyquem, qui fait sien le Prix Philippe du Vivier, en selle sur Taos, un pensionnaire de Jean-Claude Rouget, auteur de bons débuts, sur le tracé fin septembre. Camino Réal, venu des derniers rangs, n'a pas eu le temps de remonter le lauréat, mais sa fin de course, sur ce terrain très souple, a séduit.
Le Prix de Pauillac, épreuve phare du jour, voit le succès autoritaire de Joe Français, dont les premiers pas victorieux, en juillet à La Teste, avaient déjà laissé entrevoir un élément de qualité, ce que confirme son mentor, Martial Delaplace : “C'est un cheval qui a été volontairement ménagé en vue de son année de 3 ans, raison pour laquelle il n'avait pas été revu. Il dispose d'un gros potentiel, de valeur groupe, je pense. Contrairement à ses débuts, il a cette fois patienté et a parfaitement géré sa course, bien qu'il soit encore immature.”
L'atout fraîcheur a payé pour Mosgiel, qui enlève le Prix Torrestrella, classe 2, au terme d'une arrivée particulièrement serrée.