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Voici quelques jours, au travers de notre rubrique “Côté pros”, nous revenions avec Julien Travers sur la journée du 3 août dernier, ô combien importante pour le jeune homme de 23 ans puisque, au sulky de Call Boy Danover, il signait alors la cinquantième victoire de sa carrière, synonyme de passage dans les rangs des professionnels. Pour autant, celui-ci précisait : “J’ai passé le cap des 50 victoires depuis plusieurs mois, comptant cinq victoires à l'étranger, mais celles-ci n'étaient pas comptabilisées en France.”
De fait, bien qu'il ait signé deux succès aux Pays-Bas et trois en Belgique, ceux-ci ne comptent pas dans l'évolution de son statut, seules les victoires françaises étant comptabilisées. Il en va de même pour l'attribution du Sulky d'Or et de l'Étrier d'Or au trot, mais aussi dans les divers classements en plat, en particulier celui comptant pour la Cravache d'Or.
Concernant le passage dans les rangs des professionnels, il précisait : “Je vais peut-être perdre trois ou quatre gagnants à la fin de l'année, mais pas autant que les jockeys montés.” De fait, excepté les courses où ils bénéficient d'une avance sur les professionnels, les apprentis se consacrant uniquement à l'attelé affrontent souvent à armes égales leurs aînés. Il n'en va pas de même au monté où les apprentis bénéficient d'un avantage au poids. Ainsi, un poids minimum de 55 kg est exigé pour ceux n'ayant pas gagné 25 courses et de 57 kg jusqu'à l'obtention de la 50e victoire. Un sacré avantage lorsque les professionnels se voient imposer 67 kg (65 kg s'il s'agit d'une femelle). Maintenant, comme en plat, ils ne peuvent en bénéficier dans toutes les épreuves et cela dépend des conditions de courses.
Enfin, précisons que pour driver dans les épreuves support au quinté, il est rappelé que seuls les personnes ayant gagné au moins 35 courses, dont dix au trot attelé, sont autorisées à mener.
De fait, bien qu'il ait signé deux succès aux Pays-Bas et trois en Belgique, ceux-ci ne comptent pas dans l'évolution de son statut, seules les victoires françaises étant comptabilisées. Il en va de même pour l'attribution du Sulky d'Or et de l'Étrier d'Or au trot, mais aussi dans les divers classements en plat, en particulier celui comptant pour la Cravache d'Or.
Concernant le passage dans les rangs des professionnels, il précisait : “Je vais peut-être perdre trois ou quatre gagnants à la fin de l'année, mais pas autant que les jockeys montés.” De fait, excepté les courses où ils bénéficient d'une avance sur les professionnels, les apprentis se consacrant uniquement à l'attelé affrontent souvent à armes égales leurs aînés. Il n'en va pas de même au monté où les apprentis bénéficient d'un avantage au poids. Ainsi, un poids minimum de 55 kg est exigé pour ceux n'ayant pas gagné 25 courses et de 57 kg jusqu'à l'obtention de la 50e victoire. Un sacré avantage lorsque les professionnels se voient imposer 67 kg (65 kg s'il s'agit d'une femelle). Maintenant, comme en plat, ils ne peuvent en bénéficier dans toutes les épreuves et cela dépend des conditions de courses.
Enfin, précisons que pour driver dans les épreuves support au quinté, il est rappelé que seuls les personnes ayant gagné au moins 35 courses, dont dix au trot attelé, sont autorisées à mener.
