À l'heure où la province reprend en fanfare, il est un apprenti qui l'arpente avec une certaine réussite, n'étant jamais très loin de la vérité à l'arrivée de ses courses. David Lizée, basé à Écommoy, dans la Sarthe, où il travaille désormais pour son père Yves, a fait ses classes à l'AFASEC de Grosbois mais avait choisi Jean-Baptiste Bossuet comme maître d'apprentissage…
Gagnant de deux Prix d'Amérique, “c'est un professionnel dont j'apprécie les méthodes. Il travaille notamment sur une petite piste de 500 mètres : il n'y a que lui qui en a une comme ça ! Et puis, c'est l'homme de Ténor de Baune mais pas que…” Après un passage à Bordeaux chez son beau-père Denis Brossard qui “avait besoin de moi”, c'est le retour du fils prodigue, en quelque sorte, il y a trois ans. Et, avec son père, David peut s'adonner à son penchant pour l'élevage : “Ma passion depuis le début. Dès que j'ai un peu d'argent, je préfère acheter une poulinière plutôt qu'une voiture ! J'en ai cinq à moi tout seul.” Ses préférences comme étalon vont à Jag de Bellouet“parce qu'il fait des chevaux durs”, puis c'est un peu en fonction de son budget. Il aime exploiter ses propres poulains et “la province, ça les façonne.” David apprécie notamment de courir dans le Sud-Ouest où il a passé toute sa jeunesse et où, surtout, “il y a moins d'opposition ; moins de chance de tomber sur un “Guarato” à chaque fois…”. Il apprécie aussi les petits hippodromes en herbe, tel Vire, entre autres : “L'ambiance y est conviviale et, au moins, il y a du public.” Pour la saison à venir, on pourra le suivre avec Bijou du Cruchet, qui ne va que corde à droite et qui sera au départ de la prochaine étape du Trophée Vert à Vitré. David est en tête (ex aequo avec Thomas Vaillant) du Challenge réservé aux apprentis qui se déroule en parallèle.
Cigale du Houlme et Victoire du Perche tirent, elles aussi, l'écurie vers le haut tout comme Balzane de Fa. Enfin, il y a “ma sœur, Léa, qui se débrouille très bien en amateurs : si on l'engage, c'est généralement qu'elle a une chance !”
Gagnant de deux Prix d'Amérique, “c'est un professionnel dont j'apprécie les méthodes. Il travaille notamment sur une petite piste de 500 mètres : il n'y a que lui qui en a une comme ça ! Et puis, c'est l'homme de Ténor de Baune mais pas que…” Après un passage à Bordeaux chez son beau-père Denis Brossard qui “avait besoin de moi”, c'est le retour du fils prodigue, en quelque sorte, il y a trois ans. Et, avec son père, David peut s'adonner à son penchant pour l'élevage : “Ma passion depuis le début. Dès que j'ai un peu d'argent, je préfère acheter une poulinière plutôt qu'une voiture ! J'en ai cinq à moi tout seul.” Ses préférences comme étalon vont à Jag de Bellouet“parce qu'il fait des chevaux durs”, puis c'est un peu en fonction de son budget. Il aime exploiter ses propres poulains et “la province, ça les façonne.” David apprécie notamment de courir dans le Sud-Ouest où il a passé toute sa jeunesse et où, surtout, “il y a moins d'opposition ; moins de chance de tomber sur un “Guarato” à chaque fois…”. Il apprécie aussi les petits hippodromes en herbe, tel Vire, entre autres : “L'ambiance y est conviviale et, au moins, il y a du public.” Pour la saison à venir, on pourra le suivre avec Bijou du Cruchet, qui ne va que corde à droite et qui sera au départ de la prochaine étape du Trophée Vert à Vitré. David est en tête (ex aequo avec Thomas Vaillant) du Challenge réservé aux apprentis qui se déroule en parallèle.
Cigale du Houlme et Victoire du Perche tirent, elles aussi, l'écurie vers le haut tout comme Balzane de Fa. Enfin, il y a “ma sœur, Léa, qui se débrouille très bien en amateurs : si on l'engage, c'est généralement qu'elle a une chance !”