Accueil
Cela fait un peu plus de deux ans que Julien Vilault vole de ses propres ailes après avoir appris son métier aux côtés de Pierre Allaire, Joël Hallais, Hervé et Grégoire Houel, Gilles Delacour, Vincent Renault ou encore Franck Gougeon.
“Je venais d'avoir 30 ans et il était temps pour moi d'essayer quelque chose”, précise le natif d'Ifs, neveu notamment de Thierry Vilault, l'homme de l'Écurie de Rougemont. “Depuis un an et demi, je loue une partie de l'établissement de Bertrand Lefèvre, l'autre partie étant occupée par Fabien Leblond-Maro. Je me sens très bien là-bas. Les infrastructures sont bonnes et les pistes très bien entretenues. C'est l'idéal pour travailler et Bertrand Lefèvre est toujours là quand il faut donner un coup de main...”
Actuellement, Julien Vilault veille sur un effectif de vingt-cinq chevaux, dont une quinzaine d'entre eux sont prêts à courir. Avec deux salariés, le jeune Normand réalise un bon début de saison puisqu'il a déjà signé quatre victoires et pris de nombreuses places.
Le week-end qui s'annonce pourrait lui permettre d'améliorer ce score puisqu'il ne présentera pas moins de quatre partants dimanche. “À Gournay-en-Bray, Câlin d'Ecouves et Chorale Fligny ne détiennent que des chances secondaires je pense. En revanche, Désirée du Plessis et Dernière Vague devraient bien faire à Alençon. La première nommée vient de gagner et elle peut aller devant, ce qui sera un avantage. La seconde n'a pas encore gagné mais elle est sûre et fait toutes ses courses...”
Câline des Racquesn'a pas encore gagné cette saison mais elle peut être suivie selon Julien Vilault qui a eu la joie de voir sa casaque triompher à trois reprises au printemps avec Cachaca d'Escures. “C'est une bonne jument. Elle a progressé et a bien travaillé cette année. Elle vient donc de partir au champ et ne sera revue qu'au mois de septembre.”
Notre homme a le vent en poupe mais il a les pieds bien sur terre. “La belle passe que je traverse est une histoire d'équipe. Le travail de mes salariés, de mon maréchal-ferrant et du vétérinaire qui suit mes chevaux est directement lié à cette réussite...”
“Je venais d'avoir 30 ans et il était temps pour moi d'essayer quelque chose”, précise le natif d'Ifs, neveu notamment de Thierry Vilault, l'homme de l'Écurie de Rougemont. “Depuis un an et demi, je loue une partie de l'établissement de Bertrand Lefèvre, l'autre partie étant occupée par Fabien Leblond-Maro. Je me sens très bien là-bas. Les infrastructures sont bonnes et les pistes très bien entretenues. C'est l'idéal pour travailler et Bertrand Lefèvre est toujours là quand il faut donner un coup de main...”
Actuellement, Julien Vilault veille sur un effectif de vingt-cinq chevaux, dont une quinzaine d'entre eux sont prêts à courir. Avec deux salariés, le jeune Normand réalise un bon début de saison puisqu'il a déjà signé quatre victoires et pris de nombreuses places.
Le week-end qui s'annonce pourrait lui permettre d'améliorer ce score puisqu'il ne présentera pas moins de quatre partants dimanche. “À Gournay-en-Bray, Câlin d'Ecouves et Chorale Fligny ne détiennent que des chances secondaires je pense. En revanche, Désirée du Plessis et Dernière Vague devraient bien faire à Alençon. La première nommée vient de gagner et elle peut aller devant, ce qui sera un avantage. La seconde n'a pas encore gagné mais elle est sûre et fait toutes ses courses...”
Câline des Racquesn'a pas encore gagné cette saison mais elle peut être suivie selon Julien Vilault qui a eu la joie de voir sa casaque triompher à trois reprises au printemps avec Cachaca d'Escures. “C'est une bonne jument. Elle a progressé et a bien travaillé cette année. Elle vient donc de partir au champ et ne sera revue qu'au mois de septembre.”
Notre homme a le vent en poupe mais il a les pieds bien sur terre. “La belle passe que je traverse est une histoire d'équipe. Le travail de mes salariés, de mon maréchal-ferrant et du vétérinaire qui suit mes chevaux est directement lié à cette réussite...”
