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Samedi 28 mai. Moulins. Prix du Cher (groupe B)
Diana de Monti, contrôlée positive à la strychnine (substance prohibée de catégorie I), a été distancée de la deuxième place et exclue de toutes les compétitions régies par le code des courses au trot jusqu'au jeudi 1er septembre inclus. Son entraîneur, Philippe-Jean Poisson, explique l’origine de la présence de cette substance par un complément alimentaire donné à Diana de Monti dont les analyses, effectuées suite à la mission réalisée le vendredi 8 juillet dans son établissement, ont révélé qu’il contenait de la strychnine.
En sa qualité de propriétaire de Diana de Monti et fournisseur dudit complément alimentaire, Yannick Lecouillard confirme les explications de l’entraîneur Philippe-Jean Poisson.
L’hypothèse de la contamination alimentaire pouvant être retenue pour expliquer la présence de la substance prohibée, les commissaires de la SECF considèrent que l’entraîneur Philippe-Jean Poisson ne peut être tenu pour responsable de l’infraction relevée.
Mercredi 8 juin. Agen. Epreuves de qualification
La qualification de Duc du Plateau, contrôlé positif à la dexaméthasone (substance prohibée de catégorie I), a été annulée et toute présentation de ce poulain aux épreuves de qualification a été interdite jusqu'au jeudi 1er septembre inclus.
Son entraîneur, Ludovic Delestre, qui explique l’origine de la présence de cette substance par l’administration, par le vétérinaire traitant, le mercredi 20 avril, d’un traitement contenant de la dexaméthasone à Duc du Plateau, s'est vu infliger une amende de deux mille euros.
Lundi 20 juin. Caen. Prix de Tancarville (groupe A)
Délicieuse d'Or, contrôlée positive au salbutamol (substance prohibée de catégorie I), a été distancée de la troisième place et exclue de toutes les compétitions régies par le code des courses au trot jusqu'au jeudi 8 septembre inclus.
L’entraîneur Loïc Peschet et Franck Doyère, en sa qualité de propriétaire de Délicieuse d'Or, expliquent l’origine de la présence de cette substance par l’utilisation d’un nébulisateur avec lequel avait été administré, à une des poulinières appartenant au propriétaire, un traitement contenant du salbutamol.
L’entraîneur étant réglementairement tenu pour responsable de l’infraction relevée, Loïc Peschet s'est vu infliger une amende de deux mille euros.
Samedi 25 juin. Feurs. Prix des Lilas (groupe A)
Dgin du Caux, contrôlé positif à l'hydrochlorothiazide (substance prohibée de catégorie I), a été distancé de la deuxième place et exclu de toutes les compétitions régies par le code des courses au trot jusqu'au mardi 13 septembre inclus.
Son entraîneur, Loïc Lerenard, ne peut expliquer l’origine de la présence d'hydrochlorothiazide, si ce n’est par une possible contamination par la paille suite au passage de Dgin du Caux dans le box de passage de l’hippodrome de Feurs le samedi 25 juin, ce qui n’a pu être démontré par les prélèvements effectués dans ledit boxe.
L'entraîneur Loïc Lerenard étant règlementairement tenu pour responsable de l'infraction relevée, il s'est vu infliger une amende de cinq mille euros, assortie d'une interdiction, avec sursis, d’entraîner et de monter tout cheval dans les épreuves régies par le code des courses au trot pendant un mois. Les commissaires ont effet considéré que cette infraction constituait une récidive par rapport au cas jugé le lundi 9 février 2015, concernant le même entraîneur, relatif à la détection d’une autre substance (dexaméthasone), sur un autre cheval (Calédonie des Iris).
Jeudi 21 juillet. Montignac-Charentes.
Sur le procès-verbal du Grand Prix de Montendre-Montignac, il est mentionné que les commissaires de la société des courses Montignac- Charente ont interdit au driver Benjamin Goetz de monter dans toutes les courses pour une durée de trente jours pour « s’être livré à des voies de fait sur l’un de ses concurrents et en raison de son comportement inadmissible à l’égard d’un employé de ce dernier, entraînant son hospitalisation ».
Le vendredi 22 juillet, une enquête complémentaire a été ouverte par les commissaires de la SECF concernant les faits reprochés au driver Benjamin Goetz.
Par courrier en date du lundi 25 juillet et par courrier électronique le mardi 26 juillet, le driver Benjamin Goetz reconnaît s’être livré à des voies de fait envers le driver Jérôme Paillé à l’issue de la course.
Le lundi 22 août, Jérôme Paillé a pour sa part reconnu oralement s’être déporté volontairement, après le passage du poteau d’arrivée, vers Vazouillis (Benjamin Goetz), brisant la roue de son sulky et occasionnant ainsi la chute de son driver.
Considérant que de tels comportements, qui nuisent gravement à l’image des courses et des professionnels, sont inadmissibles et ne sauraient être tolérés, les commissaires de la SECF ont interdit au driver Benjamin Goetz de monter dans toutes les courses pour une durée d’un mois à compter du lundi 1er août ; interdit au driver Jérôme Paillé de monter dans toutes les courses pour une durée de quinze jours à compter du vendredi 2 septembre ; assorti ces sanctions d’une période probatoire d’un an au cours de laquelle le comportement de Benjamin Goetz et de Jérôme Paillé fera l’objet d’une surveillance particulière.
Lundi 8 août. Cagnes-sur-Mer. Prix Michel Héry
Sur le procès-verbal de cette épreuve, il est notamment mentionné que « les commissaires de la société des courses de la Côte d’Azur ont interdit au driver Nicolas Ensch de monter dans toutes les courses pour une durée de quinze jours pour avoir cessé de solliciter Vaniflosa Gédé à cent mètres de l’arrivée, perdant ainsi latroisième place. »
Le mardi 9 août, les commissaires de la SECF ont ouvert une enquête complémentaire concernant d'une part la performance de Vaniflosa Gédé et le comportement en course du driver Nicolas Ensch et, d’autre part, l’attitude de Nicolas Ensch et Jean-Pierre Ensch, lors de leur audition, vis-à-vis des commissaires des courses.
Par courrier électronique, Nicolas Ensch explique qu’il ne pouvait solliciter davantage sa jument qui ne progressait plus.
Le rapport complémentaire des commissaires de la société des courses de la Côte d’Azur mentionne que Nicolas Ensch et Jean-Pierre Ensch, lors de leur audition, ont tenu des propos injurieux et menaçants à leur égard.
Après avoir visionné les images du film de contrôle de la course, les commissaires de la SECF considèrent que Nicolas Ensch, vu son attitude dans la ligne droite, a cessé de solliciter Vaniflosa Gédé, alors qu’elle se trouvait en troisième position, facilitant ainsi la progression de Taïga Gédé (déclarée également à son effectif d’entraînement), ce qui constitue une infraction aux dispositions de l’article 76 du code des courses au trot.
Considérant que de tels comportements, qui nuisent gravement d’une part, à la régularité des épreuves, d’autre part à l’image des courses et des professionnels, sont inadmissibles et ne sauraient être tolérés, les commissaires de la SECF ont exclu Vaniflosa Gédé de tous les hippodromes pour une durée d’un mois à compter du mardi 9 août ; interdit au driver Nicolas Ensch de monter dans toutes les courses pour une durée d’un mois à compter du vendredi 19 août , pour ne pas avoir complètement défendu les chances de sa jument à l’arrivée de l’épreuve concernée ; infligé une amende de mille euros à Nicolas Ensch et Jean-Pierre Ensch, en raison de leurs propos injurieux et menaçants à l’encontre des commissaires de la société des Courses de la Côte d’Azur.
Jeudi 11 août. Castera-Verduzan. Prix de Valence-sur-Baïse
Une enquête est en cours concernant le comportement de l'entraîneur Eric Prudhon.
Lundi 15 août. Vibraye. Grand Prix Comte Louis et René de Vibraye
Le driver Bernard Mascle a été interdit de monter dans toutes les courses du vendredi 26 août au lundi 26 septembre inclus, pour s'être livré à des voies de fait à l'encontre du driver Gianni Coysman.
Dimanche 21 août. Ploubalay. Prix de la Communauté de la Côté d'Emeraude
Le driver Pascal Chaussepied a été interdit de monter dans toutes les courses du jeudi 1er au jeudi 8 septembre inclus, pour avoir, en se déportant vers l'extérieur de la piste à la suite d'une faute de son poulain Doc de l'Ancre, gêné et provoqué la chute de Deniminou (Mlle Manon Berthelot). La course a été neutralisée et recourue peu après. Le poulain Deniminou n'a pas pris part à cette épreuve.
Lundi 22 août. Agon-Coutainville. Prix Louis Perrier
Le lad-jockey Corentin Delbecq a été interdit de monter dans toutes les courses du vendredi 2 au lundi 5 septembre inclus, en raison de son geste provocateur envers un de ses concurrents après le passage du poteau.
Rupture de contrat de lad-jockey
L'article 38, paragraphe VII, du code des courses au trot dispose que « sont rayés d’office de la liste des lads-jockeys admis à monter encourse, ceux dont le contrat est rompu pour quelque cause que ce soit. L’entraîneur doit en avertir la SECF immédiatement sous peine d’une amende de cinq cents euros. »
L'entraîneur Romain-Christian Larue a transmis un courriel à la SECF le mardi 12 juillet, mentionnant que le lad-jockey Kevin Gondet ne faisait plus partie de son personnel depuis le samedi 30 avril. Or, ce dernier a bénéficié indûment de son autorisation de monter en qualité de lad-jockey (une fois, à Bihorel-les-Rouen le dimanche 1er mai). Pour ce motif, l'entraîneur Romain-Christian Larue s'est vu infliger une amende de cinq cents euros.
Diana de Monti, contrôlée positive à la strychnine (substance prohibée de catégorie I), a été distancée de la deuxième place et exclue de toutes les compétitions régies par le code des courses au trot jusqu'au jeudi 1er septembre inclus. Son entraîneur, Philippe-Jean Poisson, explique l’origine de la présence de cette substance par un complément alimentaire donné à Diana de Monti dont les analyses, effectuées suite à la mission réalisée le vendredi 8 juillet dans son établissement, ont révélé qu’il contenait de la strychnine.
En sa qualité de propriétaire de Diana de Monti et fournisseur dudit complément alimentaire, Yannick Lecouillard confirme les explications de l’entraîneur Philippe-Jean Poisson.
L’hypothèse de la contamination alimentaire pouvant être retenue pour expliquer la présence de la substance prohibée, les commissaires de la SECF considèrent que l’entraîneur Philippe-Jean Poisson ne peut être tenu pour responsable de l’infraction relevée.
Mercredi 8 juin. Agen. Epreuves de qualification
La qualification de Duc du Plateau, contrôlé positif à la dexaméthasone (substance prohibée de catégorie I), a été annulée et toute présentation de ce poulain aux épreuves de qualification a été interdite jusqu'au jeudi 1er septembre inclus.
Son entraîneur, Ludovic Delestre, qui explique l’origine de la présence de cette substance par l’administration, par le vétérinaire traitant, le mercredi 20 avril, d’un traitement contenant de la dexaméthasone à Duc du Plateau, s'est vu infliger une amende de deux mille euros.
Lundi 20 juin. Caen. Prix de Tancarville (groupe A)
Délicieuse d'Or, contrôlée positive au salbutamol (substance prohibée de catégorie I), a été distancée de la troisième place et exclue de toutes les compétitions régies par le code des courses au trot jusqu'au jeudi 8 septembre inclus.
L’entraîneur Loïc Peschet et Franck Doyère, en sa qualité de propriétaire de Délicieuse d'Or, expliquent l’origine de la présence de cette substance par l’utilisation d’un nébulisateur avec lequel avait été administré, à une des poulinières appartenant au propriétaire, un traitement contenant du salbutamol.
L’entraîneur étant réglementairement tenu pour responsable de l’infraction relevée, Loïc Peschet s'est vu infliger une amende de deux mille euros.
Samedi 25 juin. Feurs. Prix des Lilas (groupe A)
Dgin du Caux, contrôlé positif à l'hydrochlorothiazide (substance prohibée de catégorie I), a été distancé de la deuxième place et exclu de toutes les compétitions régies par le code des courses au trot jusqu'au mardi 13 septembre inclus.
Son entraîneur, Loïc Lerenard, ne peut expliquer l’origine de la présence d'hydrochlorothiazide, si ce n’est par une possible contamination par la paille suite au passage de Dgin du Caux dans le box de passage de l’hippodrome de Feurs le samedi 25 juin, ce qui n’a pu être démontré par les prélèvements effectués dans ledit boxe.
L'entraîneur Loïc Lerenard étant règlementairement tenu pour responsable de l'infraction relevée, il s'est vu infliger une amende de cinq mille euros, assortie d'une interdiction, avec sursis, d’entraîner et de monter tout cheval dans les épreuves régies par le code des courses au trot pendant un mois. Les commissaires ont effet considéré que cette infraction constituait une récidive par rapport au cas jugé le lundi 9 février 2015, concernant le même entraîneur, relatif à la détection d’une autre substance (dexaméthasone), sur un autre cheval (Calédonie des Iris).
Jeudi 21 juillet. Montignac-Charentes.
Sur le procès-verbal du Grand Prix de Montendre-Montignac, il est mentionné que les commissaires de la société des courses Montignac- Charente ont interdit au driver Benjamin Goetz de monter dans toutes les courses pour une durée de trente jours pour « s’être livré à des voies de fait sur l’un de ses concurrents et en raison de son comportement inadmissible à l’égard d’un employé de ce dernier, entraînant son hospitalisation ».
Le vendredi 22 juillet, une enquête complémentaire a été ouverte par les commissaires de la SECF concernant les faits reprochés au driver Benjamin Goetz.
Par courrier en date du lundi 25 juillet et par courrier électronique le mardi 26 juillet, le driver Benjamin Goetz reconnaît s’être livré à des voies de fait envers le driver Jérôme Paillé à l’issue de la course.
Le lundi 22 août, Jérôme Paillé a pour sa part reconnu oralement s’être déporté volontairement, après le passage du poteau d’arrivée, vers Vazouillis (Benjamin Goetz), brisant la roue de son sulky et occasionnant ainsi la chute de son driver.
Considérant que de tels comportements, qui nuisent gravement à l’image des courses et des professionnels, sont inadmissibles et ne sauraient être tolérés, les commissaires de la SECF ont interdit au driver Benjamin Goetz de monter dans toutes les courses pour une durée d’un mois à compter du lundi 1er août ; interdit au driver Jérôme Paillé de monter dans toutes les courses pour une durée de quinze jours à compter du vendredi 2 septembre ; assorti ces sanctions d’une période probatoire d’un an au cours de laquelle le comportement de Benjamin Goetz et de Jérôme Paillé fera l’objet d’une surveillance particulière.
Lundi 8 août. Cagnes-sur-Mer. Prix Michel Héry
Sur le procès-verbal de cette épreuve, il est notamment mentionné que « les commissaires de la société des courses de la Côte d’Azur ont interdit au driver Nicolas Ensch de monter dans toutes les courses pour une durée de quinze jours pour avoir cessé de solliciter Vaniflosa Gédé à cent mètres de l’arrivée, perdant ainsi latroisième place. »
Le mardi 9 août, les commissaires de la SECF ont ouvert une enquête complémentaire concernant d'une part la performance de Vaniflosa Gédé et le comportement en course du driver Nicolas Ensch et, d’autre part, l’attitude de Nicolas Ensch et Jean-Pierre Ensch, lors de leur audition, vis-à-vis des commissaires des courses.
Par courrier électronique, Nicolas Ensch explique qu’il ne pouvait solliciter davantage sa jument qui ne progressait plus.
Le rapport complémentaire des commissaires de la société des courses de la Côte d’Azur mentionne que Nicolas Ensch et Jean-Pierre Ensch, lors de leur audition, ont tenu des propos injurieux et menaçants à leur égard.
Après avoir visionné les images du film de contrôle de la course, les commissaires de la SECF considèrent que Nicolas Ensch, vu son attitude dans la ligne droite, a cessé de solliciter Vaniflosa Gédé, alors qu’elle se trouvait en troisième position, facilitant ainsi la progression de Taïga Gédé (déclarée également à son effectif d’entraînement), ce qui constitue une infraction aux dispositions de l’article 76 du code des courses au trot.
Considérant que de tels comportements, qui nuisent gravement d’une part, à la régularité des épreuves, d’autre part à l’image des courses et des professionnels, sont inadmissibles et ne sauraient être tolérés, les commissaires de la SECF ont exclu Vaniflosa Gédé de tous les hippodromes pour une durée d’un mois à compter du mardi 9 août ; interdit au driver Nicolas Ensch de monter dans toutes les courses pour une durée d’un mois à compter du vendredi 19 août , pour ne pas avoir complètement défendu les chances de sa jument à l’arrivée de l’épreuve concernée ; infligé une amende de mille euros à Nicolas Ensch et Jean-Pierre Ensch, en raison de leurs propos injurieux et menaçants à l’encontre des commissaires de la société des Courses de la Côte d’Azur.
Jeudi 11 août. Castera-Verduzan. Prix de Valence-sur-Baïse
Une enquête est en cours concernant le comportement de l'entraîneur Eric Prudhon.
Lundi 15 août. Vibraye. Grand Prix Comte Louis et René de Vibraye
Le driver Bernard Mascle a été interdit de monter dans toutes les courses du vendredi 26 août au lundi 26 septembre inclus, pour s'être livré à des voies de fait à l'encontre du driver Gianni Coysman.
Dimanche 21 août. Ploubalay. Prix de la Communauté de la Côté d'Emeraude
Le driver Pascal Chaussepied a été interdit de monter dans toutes les courses du jeudi 1er au jeudi 8 septembre inclus, pour avoir, en se déportant vers l'extérieur de la piste à la suite d'une faute de son poulain Doc de l'Ancre, gêné et provoqué la chute de Deniminou (Mlle Manon Berthelot). La course a été neutralisée et recourue peu après. Le poulain Deniminou n'a pas pris part à cette épreuve.
Lundi 22 août. Agon-Coutainville. Prix Louis Perrier
Le lad-jockey Corentin Delbecq a été interdit de monter dans toutes les courses du vendredi 2 au lundi 5 septembre inclus, en raison de son geste provocateur envers un de ses concurrents après le passage du poteau.
Rupture de contrat de lad-jockey
L'article 38, paragraphe VII, du code des courses au trot dispose que « sont rayés d’office de la liste des lads-jockeys admis à monter encourse, ceux dont le contrat est rompu pour quelque cause que ce soit. L’entraîneur doit en avertir la SECF immédiatement sous peine d’une amende de cinq cents euros. »
L'entraîneur Romain-Christian Larue a transmis un courriel à la SECF le mardi 12 juillet, mentionnant que le lad-jockey Kevin Gondet ne faisait plus partie de son personnel depuis le samedi 30 avril. Or, ce dernier a bénéficié indûment de son autorisation de monter en qualité de lad-jockey (une fois, à Bihorel-les-Rouen le dimanche 1er mai). Pour ce motif, l'entraîneur Romain-Christian Larue s'est vu infliger une amende de cinq cents euros.
