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On attendait avec impatience de le voir en action. L'espoir japonais pour l'Arc, Makahiki, a travaillé de belle façon en vue du Prix Niel de ce dimanche, sous la selle de Christophe Lemaire et devant son entraîneur, Yasuo Tomomichi.
Comme Orfevre, c'est en ligne droite que le lauréat du Derby japonais a effectué un travail sur le gazon des Aigles, mercredi matin, accompagné par un sparring-partner monté par Thierry Jarnet. Longtemps dans le sillage de son leader, Makahiki est venu facilement à son côté pour finir, déployant de belles foulées, satisfaisant son entraîneur, Yasuo Tomomichi, et son pilote, Christophe Lemaire. Pas revu depuis fin mai en compétition, Makahiki va effectuer dimanche une rentrée, ce qui n'inquiète nullement son entourage. “Il se sent très bien ici en France, comme s'il était au Japon, commente l'entraîneur nippon tout sourire. Tout se passe très bien et son travail s'est vraiment bien déroulé. À partir du moment où on décide de courir l'Arc, il faut que tout soit fait dans les meilleures conditions. Nous nous sommes donc dit que si Christophe Lemaire pouvait lui être associé, on y allait ! C'est le cas, alors on y va.”
De son côté, Christophe Lemaire avoue être confiant quant à la course de dimanche : “Makahiki a pris beaucoup de force par rapport au printemps, il s'est éclaté. Il arrive vraiment à maturité. Dimanche, il sera beaucoup plus réactif et surprenant que ce qu'il a montré ce matin, tout simplement parce qu'il sera en mode course. Mais on garde à l'esprit que c'est une rentrée et qu'il va découvrir un autre environnement. Le but est que le cheval soit à 120 % le jour de l'Arc et non avant. Le “Niel” et l'Arc vont être très différents. Le premier ne regroupe jamais beaucoup de partants. Mais il faut être indulgent avec le cheval quant à sa performance. Pour moi, qu'il gagne de cinq longueurs ou d'une, ce n'est pas ça qui compte, mais surtout la façon dont il aura appréhendé sa course et la façon dont il récupérera en vue de l'Arc. S'il n'y a pas de train, cela serait ennuyeux. S'il fallait que Makahiki aille devant, cela ne serait pas l'idéal. Mais il a un bon tempérament et j'aviserai à la sortie des stalles. Mais je suis confiant et je pense que le “Niel” se passera très bien.” D'ailleurs, afin que tous les éléments soient de son côté, Christophe sera en selle ce jeudi à Chantilly.“Je n'ai pas oublié à quoi ressemble la piste de Chantilly, commente en souriant Christophe Lemaire, mais c'est plus professionnel de remonter des épreuves en France avant dimanche, notamment à Chantilly, car le rythme des courses est différent. Il faut retrouver une perception de la course en France et reprendre ses repères, même si cela va revenir très vite.”
Comme Orfevre, c'est en ligne droite que le lauréat du Derby japonais a effectué un travail sur le gazon des Aigles, mercredi matin, accompagné par un sparring-partner monté par Thierry Jarnet. Longtemps dans le sillage de son leader, Makahiki est venu facilement à son côté pour finir, déployant de belles foulées, satisfaisant son entraîneur, Yasuo Tomomichi, et son pilote, Christophe Lemaire. Pas revu depuis fin mai en compétition, Makahiki va effectuer dimanche une rentrée, ce qui n'inquiète nullement son entourage. “Il se sent très bien ici en France, comme s'il était au Japon, commente l'entraîneur nippon tout sourire. Tout se passe très bien et son travail s'est vraiment bien déroulé. À partir du moment où on décide de courir l'Arc, il faut que tout soit fait dans les meilleures conditions. Nous nous sommes donc dit que si Christophe Lemaire pouvait lui être associé, on y allait ! C'est le cas, alors on y va.”
De son côté, Christophe Lemaire avoue être confiant quant à la course de dimanche : “Makahiki a pris beaucoup de force par rapport au printemps, il s'est éclaté. Il arrive vraiment à maturité. Dimanche, il sera beaucoup plus réactif et surprenant que ce qu'il a montré ce matin, tout simplement parce qu'il sera en mode course. Mais on garde à l'esprit que c'est une rentrée et qu'il va découvrir un autre environnement. Le but est que le cheval soit à 120 % le jour de l'Arc et non avant. Le “Niel” et l'Arc vont être très différents. Le premier ne regroupe jamais beaucoup de partants. Mais il faut être indulgent avec le cheval quant à sa performance. Pour moi, qu'il gagne de cinq longueurs ou d'une, ce n'est pas ça qui compte, mais surtout la façon dont il aura appréhendé sa course et la façon dont il récupérera en vue de l'Arc. S'il n'y a pas de train, cela serait ennuyeux. S'il fallait que Makahiki aille devant, cela ne serait pas l'idéal. Mais il a un bon tempérament et j'aviserai à la sortie des stalles. Mais je suis confiant et je pense que le “Niel” se passera très bien.” D'ailleurs, afin que tous les éléments soient de son côté, Christophe sera en selle ce jeudi à Chantilly.“Je n'ai pas oublié à quoi ressemble la piste de Chantilly, commente en souriant Christophe Lemaire, mais c'est plus professionnel de remonter des épreuves en France avant dimanche, notamment à Chantilly, car le rythme des courses est différent. Il faut retrouver une perception de la course en France et reprendre ses repères, même si cela va revenir très vite.”
