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L'entraîneur Mathieu Boutin nous livre son point de vue
Inéluctablement, ces dernières semaines, on a senti monter la tension chez les professionnels du galop. En début de mois a été tranchée la question de l'après-Enghien dans la forme que l'on sait et avec les réactions que l'on connaît. Vendredi, à Boulogne, va se dérouler au sein des bureaux de France Galop un Conseil de l'Obstacle qui est attendu avec beaucoup d'angoisse pour certains et de crispation pour d'autres. En effet, après avoir vu son projet d'hippodrome d'obstacle débouté récemment, la ville de Maisons-Laffitte risque d'être encore prochainement au cœur des débats. Un débat dont la majorité des professionnels mansonniens se seraient bien passé ; comme j'ai pu le constater. Il semblerait qu'une partie des pistes d'entraînement à vocation d'obstacle seraient sur la sellette. Des pistes que pourtant pléthore d'entraîneurs extérieurs à ce site envient à la cité impériale, n'hésitant pas à faire de longs déplacements pour y venir travailler des chevaux estimés avant des premiers pas ambitieux. C'est cet outil, à savoir Penthièvre, qu'il serait notamment question de geler… En tant que représentant des entraîneurs, j'ai eu la possibilité de prendre le pouls du microcosme. Et je peux vous assurer de la mobilisation, de l'inflexibilité et de la détermination de la majorité des entraîneurs locaux. Leur regroupement pacifique fédérateur de samedi dernier en est une parfaite illustration. Olivier Delloye, directeur général de France Galop, présent en la circonstance, a pu d'ailleurs échanger avec des entraîneurs et prendre conscience du problème.
Je suis certain que nos dirigeants sauront trouver la solution, dans ce contexte explosif, permettant de pérenniser le centre d'entraînement de Maisons-Laffitte. Il en va de la survie des professionnels mansonniens mais aussi de toute la filière.
Inéluctablement, ces dernières semaines, on a senti monter la tension chez les professionnels du galop. En début de mois a été tranchée la question de l'après-Enghien dans la forme que l'on sait et avec les réactions que l'on connaît. Vendredi, à Boulogne, va se dérouler au sein des bureaux de France Galop un Conseil de l'Obstacle qui est attendu avec beaucoup d'angoisse pour certains et de crispation pour d'autres. En effet, après avoir vu son projet d'hippodrome d'obstacle débouté récemment, la ville de Maisons-Laffitte risque d'être encore prochainement au cœur des débats. Un débat dont la majorité des professionnels mansonniens se seraient bien passé ; comme j'ai pu le constater. Il semblerait qu'une partie des pistes d'entraînement à vocation d'obstacle seraient sur la sellette. Des pistes que pourtant pléthore d'entraîneurs extérieurs à ce site envient à la cité impériale, n'hésitant pas à faire de longs déplacements pour y venir travailler des chevaux estimés avant des premiers pas ambitieux. C'est cet outil, à savoir Penthièvre, qu'il serait notamment question de geler… En tant que représentant des entraîneurs, j'ai eu la possibilité de prendre le pouls du microcosme. Et je peux vous assurer de la mobilisation, de l'inflexibilité et de la détermination de la majorité des entraîneurs locaux. Leur regroupement pacifique fédérateur de samedi dernier en est une parfaite illustration. Olivier Delloye, directeur général de France Galop, présent en la circonstance, a pu d'ailleurs échanger avec des entraîneurs et prendre conscience du problème.
Je suis certain que nos dirigeants sauront trouver la solution, dans ce contexte explosif, permettant de pérenniser le centre d'entraînement de Maisons-Laffitte. Il en va de la survie des professionnels mansonniens mais aussi de toute la filière.
