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Le “Bretagne” sort grandi
La première des “4 B”, le Prix de Bretagne, a lancé le meeting d’hiver sur les meilleures bases. Non seulement, l’épreuve a réuni suffisamment de partants pour servir de support au Quinté+, mais elle a livré un formidable spectacle. La règle adoptée par le Trot de qualifier les trois premiers des préparatoires au Prix d’Amérique n’y est pas pour rien. Un bel exemple montrant qu’en “cassant” les codes (tout en respectant mieux celui des courses...) et en innovant, il est possible de redonner un certain élan aux courses. Espérons que les EpiqE Series en tireront aussi profit...
Les 24 heures du Mans de PC Boudot
Afin de compter les succès de Pierre-Charles Boudot en 2016, il aurait fallu s’équiper d’un boulier géant ! Animé par une impressionnante soif de victoires, le jockey originaire de Saône-et-Loire n’a pas ménagé sa peine pour aller chercher le record de Peter Schiergen. Un seul exemple, samedi dernier, alors qu’il était en selle à Lyon à 16 heures, on le retrouvait 700 kilomètres plus au nord, dans la dernière épreuve du Croisé-Laroche, à 21 h 30, et... à cheval peu après 10 heures, le lendemain, au Mans. Un vrai pilote d’endurance !
L’ante-post, timidement...
Proposition N°3 des 85 imaginées par “Paris-Turf” en janvier 2015 : “Parier plusieurs mois à l’avance sur les chevaux, les hommes et les challenges”. Nous en sommes encore loin mais les optimistes, que nous sommes, ont vu une légère ouverture... Le PMU vient de lancer un grand jeu gratuit en “ante-post” menant au Prix d’Amérique. Le but, évidemment, étant de trouver le vainqueur de la grande course du trot. Avec à la clé, non pas des gains réels, mais une dotation de 25.000 € en cadeaux. Et si “cote fixe” n’était plus un gros mot pour les dirigeants des courses ?
Les flops :
Un “enterrement” en comité restreint
Un ciel gris, quelques dizaines de spectateurs présents. Assurément, la fin de l’obstacle à Enghien aurait mérité un bien meilleur écho... Une ambiance lourde régnait lundi dernier sur le plateau de Soisy, théâtre des dernières courses d’obstacle en son sein. En tout cas, s’il y a bien une chose qui n’est pas passée inaperçue, c’est l’absence des plus hauts responsables du galop.
Un quinté à oublier
Après avoir assisté, en début de course, à une vive passe d’armes entre Dominik Locqueneux et Yann Lorin pour prendre la tête du Prix de Montignac-Charente, lundi à Vincennes, les parieurs, qui avaient accordé une large confiance au suédois Call Me Keeper (6/10 !), ont connu une grosse désillusion à la suite de la disqualification, après enquête, du grandissime favori (problèmes d’allures). Et ceux qui avaient eu la bonne inspiration ont dû attendre quasiment huit heures pour toucher leurs gains. Côté Suédois, les parieurs qui avaient misé sur cette course ont d’abord été remboursés (pour des raisons techniques) par leur opérateur... au grand dam des gagnants qui ont finalement été payés dans un second temps... ce qui était la moindre des choses.
Le “Bretagne” sort grandi
La première des “4 B”, le Prix de Bretagne, a lancé le meeting d’hiver sur les meilleures bases. Non seulement, l’épreuve a réuni suffisamment de partants pour servir de support au Quinté+, mais elle a livré un formidable spectacle. La règle adoptée par le Trot de qualifier les trois premiers des préparatoires au Prix d’Amérique n’y est pas pour rien. Un bel exemple montrant qu’en “cassant” les codes (tout en respectant mieux celui des courses...) et en innovant, il est possible de redonner un certain élan aux courses. Espérons que les EpiqE Series en tireront aussi profit...
Les 24 heures du Mans de PC Boudot
Afin de compter les succès de Pierre-Charles Boudot en 2016, il aurait fallu s’équiper d’un boulier géant ! Animé par une impressionnante soif de victoires, le jockey originaire de Saône-et-Loire n’a pas ménagé sa peine pour aller chercher le record de Peter Schiergen. Un seul exemple, samedi dernier, alors qu’il était en selle à Lyon à 16 heures, on le retrouvait 700 kilomètres plus au nord, dans la dernière épreuve du Croisé-Laroche, à 21 h 30, et... à cheval peu après 10 heures, le lendemain, au Mans. Un vrai pilote d’endurance !
L’ante-post, timidement...
Proposition N°3 des 85 imaginées par “Paris-Turf” en janvier 2015 : “Parier plusieurs mois à l’avance sur les chevaux, les hommes et les challenges”. Nous en sommes encore loin mais les optimistes, que nous sommes, ont vu une légère ouverture... Le PMU vient de lancer un grand jeu gratuit en “ante-post” menant au Prix d’Amérique. Le but, évidemment, étant de trouver le vainqueur de la grande course du trot. Avec à la clé, non pas des gains réels, mais une dotation de 25.000 € en cadeaux. Et si “cote fixe” n’était plus un gros mot pour les dirigeants des courses ?
Les flops :
Un “enterrement” en comité restreint
Un ciel gris, quelques dizaines de spectateurs présents. Assurément, la fin de l’obstacle à Enghien aurait mérité un bien meilleur écho... Une ambiance lourde régnait lundi dernier sur le plateau de Soisy, théâtre des dernières courses d’obstacle en son sein. En tout cas, s’il y a bien une chose qui n’est pas passée inaperçue, c’est l’absence des plus hauts responsables du galop.
Un quinté à oublier
Après avoir assisté, en début de course, à une vive passe d’armes entre Dominik Locqueneux et Yann Lorin pour prendre la tête du Prix de Montignac-Charente, lundi à Vincennes, les parieurs, qui avaient accordé une large confiance au suédois Call Me Keeper (6/10 !), ont connu une grosse désillusion à la suite de la disqualification, après enquête, du grandissime favori (problèmes d’allures). Et ceux qui avaient eu la bonne inspiration ont dû attendre quasiment huit heures pour toucher leurs gains. Côté Suédois, les parieurs qui avaient misé sur cette course ont d’abord été remboursés (pour des raisons techniques) par leur opérateur... au grand dam des gagnants qui ont finalement été payés dans un second temps... ce qui était la moindre des choses.
