C'est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris dimanche le décès de Philippe Barbé.
Philippe avait commencé sa carrière comme cavalier en concours complet avant d'entrer par passion dans le monde des courses hippiques en tant que stagiaire chez Jean Couétil puis Robert Collet.
En 1984, il s'était installé entraîneur public et était resté dix ans en France avant de devenir un véritable globe-trotter, apportant son savoir-faire et ses méthodes particulièrement efficaces, tout d'abord en Chine durant cinq ans, puis en Iran, avant d'entraîner la cavalerie royale du Sultanat d'Oman. Il avait ensuite rejoint l'écurie du président des Émirats Arabes Unis où il a façonné le fameux champion Séraphin du Paon.
Revenu récemment en France, il s'apprêtait à s'installer de nouveau pour offrir ses services aux nombreux propriétaires étrangers de sa connaissance.
On se souviendra longtemps de ses succès avec Apeldoorn, Aiglefin ou encore Welkin pour ne citer que ces chevaux.
On retiendra aussi que Philippe Barbé était un garçon enthousiaste, passionné, et qui attirait d'emblée la sympathie de tous ceux qu'il croisait. Il va manquer au monde des courses.
Nous adressons à ses proches, à sa famille, et notamment à son fils Alexandre, toute notre sympathie et nos condoléances.
Philippe avait commencé sa carrière comme cavalier en concours complet avant d'entrer par passion dans le monde des courses hippiques en tant que stagiaire chez Jean Couétil puis Robert Collet.
En 1984, il s'était installé entraîneur public et était resté dix ans en France avant de devenir un véritable globe-trotter, apportant son savoir-faire et ses méthodes particulièrement efficaces, tout d'abord en Chine durant cinq ans, puis en Iran, avant d'entraîner la cavalerie royale du Sultanat d'Oman. Il avait ensuite rejoint l'écurie du président des Émirats Arabes Unis où il a façonné le fameux champion Séraphin du Paon.
Revenu récemment en France, il s'apprêtait à s'installer de nouveau pour offrir ses services aux nombreux propriétaires étrangers de sa connaissance.
On se souviendra longtemps de ses succès avec Apeldoorn, Aiglefin ou encore Welkin pour ne citer que ces chevaux.
On retiendra aussi que Philippe Barbé était un garçon enthousiaste, passionné, et qui attirait d'emblée la sympathie de tous ceux qu'il croisait. Il va manquer au monde des courses.
Nous adressons à ses proches, à sa famille, et notamment à son fils Alexandre, toute notre sympathie et nos condoléances.