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Les tops
+ Le retour gagnant de David Cottin
D’accord, comme les autres jockeys, David s’est fait embarquer sur la mauvaise piste dans le Prix Karcimont, mais notre pilote n’a pas manqué son retour à Auteuil, passant trois fois le poteau en tête (Mali Borgia, Dalahast et Up Todate du Casse), et obtenant trois accessits. Cela s’appelle une belle rentrée.
+ Des opérateurs plus généreux que d’autres
Même si les sommes engagées n’étaient pas les mêmes que dans le réseau du PMU, il convient de saluer les opérateurs en ligne Genybet et Leturf qui ont remboursé 50 % des paris perdants, sans plafond (!), du très perturbé Prix Karcimont (seuls trois des treize concurrents ont emprunté d’emblée le bon parcours), dimanche dernier.
Les flops
- Auteuil est-il maudit ?
Cinq jours après un quinté annulé, Auteuil subit cette fois les aléas d’une course rocambolesque. Dix jockeys se trompent de parcours et il n’en reste plus que trois en course avant que cinq ne reprennent la bonne trajectoire. Le public hurle devant le spectacle d’une épreuve qui ne ressemble plus à rien. Au bout du compte, seulement deux jockeys sanctionnés et aucun geste commercial du PMU. Les parieurs se disent excédés devant tant de mépris.
- Désolation pour la restauration
Comment peut-on proposer douze courses à Auteuil, un dimanche sous la pluie, et espérer faire venir le public sur le champ de courses si on ne lui permet pas de se restaurer alors que la réunion débute à 11 heures et se termine à 18 heures ? Pour cette reprise sur la butte Mortemart, les stands prévus pour la restauration (burgers et autres hot-dogs) étaient fermés, le bar du salon des propriétaires itou et il fallait donc se rabattre sur le seul bar du grand hall où une queue d’une vingtaine de personnes patientait en permanence pour espérer glaner un sandwich.
- Encore le “Karcimont”
Suite de la parodie de course qui aurait pu alimenter à elle seule nos flops du mois de mars... Mais on ne peut s’empêcher de reprendre la remarque d’un lecteur : sur le site du PMU, qui a décidé de ne faire aucun geste commercial (trois jours après une grève coûteuse), on ne pouvait manquer cette belle publicité mettant en avant le beau rapport du quinté dans l’ordre de dimanche... Parfois, quand la course devient une loterie, il vaut mieux être discret. Rassurons toutefois les turfistes, il ne s’agit pas de cynisme.
- Jeu de mains…
Mercredi dans la première étape du GNT, une altercation a eu lieu en pleine course entre Bruno Bourgoin et François Lecanu. Visiblement mécontent de s’être fait sortir par son rival, Bruno Bourgoin n’a pas manqué de le lui faire savoir en lui assénant un coup de cravache. Pan ! Sur les doigts !
+ Le retour gagnant de David Cottin
D’accord, comme les autres jockeys, David s’est fait embarquer sur la mauvaise piste dans le Prix Karcimont, mais notre pilote n’a pas manqué son retour à Auteuil, passant trois fois le poteau en tête (Mali Borgia, Dalahast et Up Todate du Casse), et obtenant trois accessits. Cela s’appelle une belle rentrée.
+ Des opérateurs plus généreux que d’autres
Même si les sommes engagées n’étaient pas les mêmes que dans le réseau du PMU, il convient de saluer les opérateurs en ligne Genybet et Leturf qui ont remboursé 50 % des paris perdants, sans plafond (!), du très perturbé Prix Karcimont (seuls trois des treize concurrents ont emprunté d’emblée le bon parcours), dimanche dernier.
Les flops
- Auteuil est-il maudit ?
Cinq jours après un quinté annulé, Auteuil subit cette fois les aléas d’une course rocambolesque. Dix jockeys se trompent de parcours et il n’en reste plus que trois en course avant que cinq ne reprennent la bonne trajectoire. Le public hurle devant le spectacle d’une épreuve qui ne ressemble plus à rien. Au bout du compte, seulement deux jockeys sanctionnés et aucun geste commercial du PMU. Les parieurs se disent excédés devant tant de mépris.
- Désolation pour la restauration
Comment peut-on proposer douze courses à Auteuil, un dimanche sous la pluie, et espérer faire venir le public sur le champ de courses si on ne lui permet pas de se restaurer alors que la réunion débute à 11 heures et se termine à 18 heures ? Pour cette reprise sur la butte Mortemart, les stands prévus pour la restauration (burgers et autres hot-dogs) étaient fermés, le bar du salon des propriétaires itou et il fallait donc se rabattre sur le seul bar du grand hall où une queue d’une vingtaine de personnes patientait en permanence pour espérer glaner un sandwich.
- Encore le “Karcimont”
Suite de la parodie de course qui aurait pu alimenter à elle seule nos flops du mois de mars... Mais on ne peut s’empêcher de reprendre la remarque d’un lecteur : sur le site du PMU, qui a décidé de ne faire aucun geste commercial (trois jours après une grève coûteuse), on ne pouvait manquer cette belle publicité mettant en avant le beau rapport du quinté dans l’ordre de dimanche... Parfois, quand la course devient une loterie, il vaut mieux être discret. Rassurons toutefois les turfistes, il ne s’agit pas de cynisme.
- Jeu de mains…
Mercredi dans la première étape du GNT, une altercation a eu lieu en pleine course entre Bruno Bourgoin et François Lecanu. Visiblement mécontent de s’être fait sortir par son rival, Bruno Bourgoin n’a pas manqué de le lui faire savoir en lui assénant un coup de cravache. Pan ! Sur les doigts !
