Un peu plus de quatre ans après avoir quitté la région parisienne pour s'installer dans le Var, David Békaert, devenu rapidement une valeur sûre dans le Sud-Est, s'apprête à disputer son premier Critérium de Vitesse de la Côte d'Azur. Dans la peau du local.
On ne s'attendait pas forcément à vous voir au sulky de Rod Stewart, David. C'est une parenthèse inattendue, non ?
Oui, complètement. Ces derniers jours, Guillaume Porée a proposé mon nom à Jerry Riordan, qui cherchait visiblement un driver pour son cheval. J'avais dû déjà mener pour lui une fois à Cagnes, à l'époque où j'étais en meeting pour le compte de la famille Cayron (N.D.L.R. : Fulgor Del Bar, en 2006). Voilà. Ça s'est fait comme ça.
On imagine que c'est une bonne surprise…
Bien sûr. C'est toujours plaisant de participer à une course de ce calibre. Des épreuves de ce niveau, j'en ai couru quatre, dont un “Cornulier” avec Grisbi de Carless (N.D.L.R. : septième en 2004). Là, c'est le seul se disputant à l'attelé, en province. Ça reste un rendez-vous à part. Comme chaque année, il y a du beau monde. On va jouer notre rôle d'outsider à fond.
Que savez-vous de votre partenaire ?
Comme beaucoup, je l'ai vu courir à Vincennes. C'est un très bon finisseur, qu'il ne faut probablement pas brusquer en partant. Avec notre numéro en seconde ligne (14), on n'aura d'autres choix que de patienter. La longue ligne droite de Cagnes va sûrement servir ses intérêts. S'il y a la guerre aux avant-postes, ça peut nous permettre de venir chercher une petite place.
On ne s'attendait pas forcément à vous voir au sulky de Rod Stewart, David. C'est une parenthèse inattendue, non ?
Oui, complètement. Ces derniers jours, Guillaume Porée a proposé mon nom à Jerry Riordan, qui cherchait visiblement un driver pour son cheval. J'avais dû déjà mener pour lui une fois à Cagnes, à l'époque où j'étais en meeting pour le compte de la famille Cayron (N.D.L.R. : Fulgor Del Bar, en 2006). Voilà. Ça s'est fait comme ça.
On imagine que c'est une bonne surprise…
Bien sûr. C'est toujours plaisant de participer à une course de ce calibre. Des épreuves de ce niveau, j'en ai couru quatre, dont un “Cornulier” avec Grisbi de Carless (N.D.L.R. : septième en 2004). Là, c'est le seul se disputant à l'attelé, en province. Ça reste un rendez-vous à part. Comme chaque année, il y a du beau monde. On va jouer notre rôle d'outsider à fond.
Que savez-vous de votre partenaire ?
Comme beaucoup, je l'ai vu courir à Vincennes. C'est un très bon finisseur, qu'il ne faut probablement pas brusquer en partant. Avec notre numéro en seconde ligne (14), on n'aura d'autres choix que de patienter. La longue ligne droite de Cagnes va sûrement servir ses intérêts. S'il y a la guerre aux avant-postes, ça peut nous permettre de venir chercher une petite place.