Les tops
Du monde à Auteuil
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas sur la butte Mortemart. Ainsi, beaucoup de familles avaient fait le déplacement à Auteuil, dimanche dernier. On se serait cru à la foire du trône, avec des enfants venus profiter des nombreuses animations. Certes, il y avait plus de monde au stand de gaufres que pour écouter Guillaume Macaire débriefer sa victoire dans le Prix Duc d’Anjou, mais l’un des objectifs de France Galop était d’attirer du public et il a été atteint.
Les courses s’invitent dans la campagne
Excellente initiative de la Fédération Française d’Équitation et des sociétés mères, qui ont invité les candidats à la présidence de la République à venir s’exprimer sur l’hippodrome de Saint-Cloud, le 5 avril. Les organisateurs espèrent qu’au moins trois des ténors pourront s’y rendre en personne. D’où l’intérêt de choisir de parler d’une même voix et d’avoir des démarches communes... au moment le plus opportun.
L’obstacle et le trot monté sont aussi EpiqE !
Même si les EpiqE Series nous laissent encore sceptiques, il faut reconnaître que les aménagements apportés à la saison 2 vont dans le bon sens. Le trot monté et l’obstacle vont bénéficier d’une couverture médiatique plus importante, avec des tirelires de 5 millions d’euros à l’occasion de quelques courses majeures de cette spécialité (les EpiqE Days). Et, en plat, on ne parle plus de saga hippique menant à une finale dans l’Arc, mais simplement des plus grandes courses du calendrier. C’est mieux ainsi.
Les flops :
Le quinté de vendredi à Caen est déjà une épreuve où la forme de nombreux chevaux est sujette à caution. À cela viennent s’ajouter des concurrents, dont les entourages souhaitaient être éliminés (leurs pensionnaires affichent 40.000 euros de gains ou moins face à des millionnaires...). Si ces derniers auraient évidemment pu retirer les montes, il aurait été bienvenu de leur demander ensuite exceptionnellement s’ils souhaitaient vraiment maintenir leur présence au départ. Si rien n’oblige le parieur à inclure ces participants, on se doute qu’ils vont se retrouver sur quelques spOts.
Peut-être pas la bonne option
Il faut laisser la chance aux produits et nous ne condamnerons pas le fameux handicap “Optional”, qui permet à tout cheval de 3 ans ayant couru au moins trois fois à 2 ans d’être automatiquement qualifié dans cette épreuve qui existait sous le même nom il y a fort longtemps. Mais force est de constater que cette “option” n’a guère suscité d’engouement samedi dernier : huit partants après la défection du top-weight. Et trois chevaux remontés pour atteindre le poids minimum... Souvent, quand une idée a été abandonnée après avoir été testée, c’est qu’elle était mauvaise.
Du monde à Auteuil
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas sur la butte Mortemart. Ainsi, beaucoup de familles avaient fait le déplacement à Auteuil, dimanche dernier. On se serait cru à la foire du trône, avec des enfants venus profiter des nombreuses animations. Certes, il y avait plus de monde au stand de gaufres que pour écouter Guillaume Macaire débriefer sa victoire dans le Prix Duc d’Anjou, mais l’un des objectifs de France Galop était d’attirer du public et il a été atteint.
Les courses s’invitent dans la campagne
Excellente initiative de la Fédération Française d’Équitation et des sociétés mères, qui ont invité les candidats à la présidence de la République à venir s’exprimer sur l’hippodrome de Saint-Cloud, le 5 avril. Les organisateurs espèrent qu’au moins trois des ténors pourront s’y rendre en personne. D’où l’intérêt de choisir de parler d’une même voix et d’avoir des démarches communes... au moment le plus opportun.
L’obstacle et le trot monté sont aussi EpiqE !
Même si les EpiqE Series nous laissent encore sceptiques, il faut reconnaître que les aménagements apportés à la saison 2 vont dans le bon sens. Le trot monté et l’obstacle vont bénéficier d’une couverture médiatique plus importante, avec des tirelires de 5 millions d’euros à l’occasion de quelques courses majeures de cette spécialité (les EpiqE Days). Et, en plat, on ne parle plus de saga hippique menant à une finale dans l’Arc, mais simplement des plus grandes courses du calendrier. C’est mieux ainsi.
Les flops :
Le quinté de vendredi à Caen est déjà une épreuve où la forme de nombreux chevaux est sujette à caution. À cela viennent s’ajouter des concurrents, dont les entourages souhaitaient être éliminés (leurs pensionnaires affichent 40.000 euros de gains ou moins face à des millionnaires...). Si ces derniers auraient évidemment pu retirer les montes, il aurait été bienvenu de leur demander ensuite exceptionnellement s’ils souhaitaient vraiment maintenir leur présence au départ. Si rien n’oblige le parieur à inclure ces participants, on se doute qu’ils vont se retrouver sur quelques spOts.
Peut-être pas la bonne option
Il faut laisser la chance aux produits et nous ne condamnerons pas le fameux handicap “Optional”, qui permet à tout cheval de 3 ans ayant couru au moins trois fois à 2 ans d’être automatiquement qualifié dans cette épreuve qui existait sous le même nom il y a fort longtemps. Mais force est de constater que cette “option” n’a guère suscité d’engouement samedi dernier : huit partants après la défection du top-weight. Et trois chevaux remontés pour atteindre le poids minimum... Souvent, quand une idée a été abandonnée après avoir été testée, c’est qu’elle était mauvaise.