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Depuis le 1er mars, un jockey de galop ne peut plus monter à un poids inférieur à celui indiqué au médecin lors de sa visite médicale annuelle. Une mesure forte mais aux conséquences faibles.
L’image et la sécurité sont deux données très importantes pour France Galop. La mesure interdisant un jockey de monter, depuis début mars, à un poids inférieur à celui qu’il a indiqué, va dans ce sens. La société mère l’a expliqué dans un récent communiqué : “Enchaîner de trop fréquentes variations de poids pour répondre aux différentes conditions de courses est susceptible de fatiguer l’organisme des jockeys et de nuire à leur sécurité et à celle du peloton.”
France Galop précise aussi certaines choses : “C’est le jockey, lui-même, qui indique son poids optimal de forme au médecin. Il est vérifié sur la base de critères médicaux, tels que l’IMC ou le taux de masse graisseuse. Les jockeys peuvent bénéficier des conseils d’un diététicien tout au long de l’année.”
Pourtant, même si cette mesure envoie un message fort aux jockeys, elle ne devrait “affecter” qu’une maigre partie du peloton. Approuvée par l’Association des Jockeys, elle a été mal perçue par certains jockeys et notamment Christophe Soumillon qui a fait un long point de vue (disponible sur paris-turf.com). Le crack-jockey y rappelle qu’il n’aurait pas pu monter, par exemple, Zarkava, il y a quelques années. Il a sans doute raison, mais c’est un jockey d’expérience qui connaît parfaitement son corps et ses capacités. Ce n’est pas le cas de tous et cette mesure, considérée par les instances comme un “garde-fou”, est sans doute une réponse aussi aux différentes “affaires”, dont celle très médiatique de Jonathan Plouganou, qui ont secoué le monde des courses ces dernières semaines.
Pour France Galop, qui a remonté le poids de base dans certaines courses il y a peu, une nouvelle hausse n’est pas d’actualité : “Il y a beaucoup de jeunes jockeys qui peuvent monter au poids minimum. Il n’y a pas de raison de changer encore.”
L’image et la sécurité sont deux données très importantes pour France Galop. La mesure interdisant un jockey de monter, depuis début mars, à un poids inférieur à celui qu’il a indiqué, va dans ce sens. La société mère l’a expliqué dans un récent communiqué : “Enchaîner de trop fréquentes variations de poids pour répondre aux différentes conditions de courses est susceptible de fatiguer l’organisme des jockeys et de nuire à leur sécurité et à celle du peloton.”
France Galop précise aussi certaines choses : “C’est le jockey, lui-même, qui indique son poids optimal de forme au médecin. Il est vérifié sur la base de critères médicaux, tels que l’IMC ou le taux de masse graisseuse. Les jockeys peuvent bénéficier des conseils d’un diététicien tout au long de l’année.”
Pourtant, même si cette mesure envoie un message fort aux jockeys, elle ne devrait “affecter” qu’une maigre partie du peloton. Approuvée par l’Association des Jockeys, elle a été mal perçue par certains jockeys et notamment Christophe Soumillon qui a fait un long point de vue (disponible sur paris-turf.com). Le crack-jockey y rappelle qu’il n’aurait pas pu monter, par exemple, Zarkava, il y a quelques années. Il a sans doute raison, mais c’est un jockey d’expérience qui connaît parfaitement son corps et ses capacités. Ce n’est pas le cas de tous et cette mesure, considérée par les instances comme un “garde-fou”, est sans doute une réponse aussi aux différentes “affaires”, dont celle très médiatique de Jonathan Plouganou, qui ont secoué le monde des courses ces dernières semaines.
Pour France Galop, qui a remonté le poids de base dans certaines courses il y a peu, une nouvelle hausse n’est pas d’actualité : “Il y a beaucoup de jeunes jockeys qui peuvent monter au poids minimum. Il n’y a pas de raison de changer encore.”
