En juin, Franck Nivard comptait une trentaine de victoires d'avance sur Jean-Michel Bazire, pas plus motivé que ça,pour inscrire un dix-neuvième titre de meilleur driver à son palmarès. À la veille du 15 août, seulement treize succès les séparent...
L'écart devrait encore s’amenuiser dans les prochains jours. En effet, Franck Nivard est sous le coup d'une mise à pied jusqu'à dimanche inclus alors que Jean-Michel Bazire dispose de plusieurs bonnes cartouches avec, notamment, Aubrion du Gers, mercredi à Enghien. “Je sais que Jean-Mi ne va rien lâcher, moi non plus, reconnaît Francky. On va se battre mais ça va se passer comme ce sera. Depuis début juillet, je n'ai pas eu trop de bons chevaux à mener. Certes, j'ai une dizaine de jours de suspension au mauvais moment mais je n'avais pas grand-chose à driver durant cette période. Aussi, je n'ai plus les Goetz et les Duvaldestin, Thierry ayant ses fils, Clément et Théo, désormais et les “Leblanc” ne sont pas trop en forme. Je fais un mauvais été mais Vincennes reprend à partir de lundi et ça va revenir. J'espère aussi que mon agent (Yann Hayoun) va s'appliquer...”
Pour se rendre un peu compte de ce qui nous attend dans les prochains mois, nous avons relevé les statistiques de nos deux grands pilotes des périodes du 15 août au 31 décembre, sur les quatre dernières années seulement, JMB ayant été victime d'un AVC en 2012, ce qui ne l'avait pas empêché de remporter le Sulky d'Or malgré une longue interruption.
JMB moins présent en piste
Cette année, JMB a réduit ses déplacements et se présente moins souvent en piste -521 contre 706 à la même date en 2016 alors que son rival en est à 881 sorties publiques- mais il peut compter sur ses pensionnaires et un effectif important pour faire la différence face à l'Avranchin.
Toutefois, il en confie de plus en plus souvent à Alexandre Abrivard et Éric Raffin, avec une réussite certaine. Est-ce que cela va durer ?
“Pour le moment, mon écurie est très bien structurée et traverse une belle période de forme. Je vis une saison en tout point positive. Rien ne va changer jusqu'à la fin de l'année, tout du moins je ne pense pas. Je ne vais pas faire plus mais, pour mon équilibre de compétiteur, je ne peux pas faire moins...”, estime le Sarthois dont on sait pertinemment que son mental de gagneur reprendra à un moment ou à un autre le dessus. La lutte promet d'être belle.
L'écart devrait encore s’amenuiser dans les prochains jours. En effet, Franck Nivard est sous le coup d'une mise à pied jusqu'à dimanche inclus alors que Jean-Michel Bazire dispose de plusieurs bonnes cartouches avec, notamment, Aubrion du Gers, mercredi à Enghien. “Je sais que Jean-Mi ne va rien lâcher, moi non plus, reconnaît Francky. On va se battre mais ça va se passer comme ce sera. Depuis début juillet, je n'ai pas eu trop de bons chevaux à mener. Certes, j'ai une dizaine de jours de suspension au mauvais moment mais je n'avais pas grand-chose à driver durant cette période. Aussi, je n'ai plus les Goetz et les Duvaldestin, Thierry ayant ses fils, Clément et Théo, désormais et les “Leblanc” ne sont pas trop en forme. Je fais un mauvais été mais Vincennes reprend à partir de lundi et ça va revenir. J'espère aussi que mon agent (Yann Hayoun) va s'appliquer...”
Pour se rendre un peu compte de ce qui nous attend dans les prochains mois, nous avons relevé les statistiques de nos deux grands pilotes des périodes du 15 août au 31 décembre, sur les quatre dernières années seulement, JMB ayant été victime d'un AVC en 2012, ce qui ne l'avait pas empêché de remporter le Sulky d'Or malgré une longue interruption.
JMB moins présent en piste
Cette année, JMB a réduit ses déplacements et se présente moins souvent en piste -521 contre 706 à la même date en 2016 alors que son rival en est à 881 sorties publiques- mais il peut compter sur ses pensionnaires et un effectif important pour faire la différence face à l'Avranchin.
Toutefois, il en confie de plus en plus souvent à Alexandre Abrivard et Éric Raffin, avec une réussite certaine. Est-ce que cela va durer ?
“Pour le moment, mon écurie est très bien structurée et traverse une belle période de forme. Je vis une saison en tout point positive. Rien ne va changer jusqu'à la fin de l'année, tout du moins je ne pense pas. Je ne vais pas faire plus mais, pour mon équilibre de compétiteur, je ne peux pas faire moins...”, estime le Sarthois dont on sait pertinemment que son mental de gagneur reprendra à un moment ou à un autre le dessus. La lutte promet d'être belle.