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Avec son récent succès à Enghien dans le Prix de Genève, Django Riff a passé le cap du million d'euros de gains à 4 ans, comme les champions maison, son père Ready Cash, Gai Brillant et Holly du Locton. Seulement sept chevaux ont réalisé cet exploit, Pearl Queen ayant été la plus précoce, c’est dire la qualité du poulain portant la casaque d’Elisabeth Allaire, et il devrait encore faire parler de lui jeudi.
En digne fils de Ready Cash, Django Riff ne lâche jamais rien, comme en témoigne sa victoire face à Dreammoko dans le Prix de Genève, à Enghien, un centième de seconde le séparant de son rival. Gagnant de plus d'une course sur deux (15 succès en 29 sorties), il va une fois encore affronter le nouveau fer de lance de l'écurie de Richard Westerink mais aussi Dragon des Racques, la belle “note” du Critérium des 4 Ans. Tenant du titre avec Charly du Noyer et lauréat de ce groupe II en tant qu'entraîneur-driver au sulky d'Hulk des Champs, Philippe Allaire se veut confiant : “Il a bien récupéré. Au travail, il est parfait et me plaît beaucoup. Certes, il aura l'avantage d'avoir couru à Enghien mais plusieurs de ses rivaux sont dans ce cas. Pour son retour à Vincennes, sur les 2.700 mètres, il va très bien faire.” Pour l'homme de Timoko : “Tout va bien et tous les feux sont au vert” pour le fils du grand champion. L'opposition principale viendra de Dragon des Racques, auteur d'une magnifique performance dans le Critérium des 4 Ans (3e). Son driver, Alexandre Abrivard, affiche ses ambitions : “Nous l'avons préparé pour cette course. Il est extra. En dernier lieu, à Enghien, je trouve qu'il a été disqualifié un peu sévèrement, après enquête, de la deuxième place alors qu'il s'était intercalé entre Django Riff et Dreammoko. Et auparavant, à Vincennes (25 juin), il se serait imposé face à Orlando Jet s'il avait pu s'exprimer plus tôt.”
Autre excellent élément de sa génération, Dijon n'a pas été revu depuis sa victoire dans un groupe I à Naples, le 1er juillet, mais, selon son entraîneur, Romain Derieux, ce n'est pas un souci : “Il est dans le même cas que lors de sa deuxième place dans le Prix Phaéton, en avril. Après l'Italie, comme après la mi-février, il est allé faire un mois de piscine chez David Alexandre et a un mois de travail à la maison. Je vais refaire un bon parcours sage, en dedans, mais il peut prendre une place. Ensuite, on verra si l'on retourne en Italie le 17 septembre ou si l'on prend part aux éliminatoires du Grand Prix de l'UET.” Attention à Dancing Love, déferré des quatre pieds pour la seconde fois de sa carrière et revenu en grande forme ! Diablo du Noyer n'a été pieds nus qu'à une reprise et sera associé à David Thomain. Comme il a deux parcours de remise en route à son actif, c'est un outsider intéressant. Lauréat du Prix de Sélection, Discours Joyeux n'en a qu'un dans les jambes et sera uniquement “DP”. Au sujet de Dunbar, son driver, Éric Raffin, livre cette analyse : “Il n'a gagné que d'un nez à Enghien. Il monte de catégorie et n'a pas de marge mais c'est un chic cheval.” Ce sera compliqué pour Diable de Vauvert, lequel prendra part à son premier groupe II à l'attelage, et pour Dragon du Fresne, plus à son affaire au trot monté.
En digne fils de Ready Cash, Django Riff ne lâche jamais rien, comme en témoigne sa victoire face à Dreammoko dans le Prix de Genève, à Enghien, un centième de seconde le séparant de son rival. Gagnant de plus d'une course sur deux (15 succès en 29 sorties), il va une fois encore affronter le nouveau fer de lance de l'écurie de Richard Westerink mais aussi Dragon des Racques, la belle “note” du Critérium des 4 Ans. Tenant du titre avec Charly du Noyer et lauréat de ce groupe II en tant qu'entraîneur-driver au sulky d'Hulk des Champs, Philippe Allaire se veut confiant : “Il a bien récupéré. Au travail, il est parfait et me plaît beaucoup. Certes, il aura l'avantage d'avoir couru à Enghien mais plusieurs de ses rivaux sont dans ce cas. Pour son retour à Vincennes, sur les 2.700 mètres, il va très bien faire.” Pour l'homme de Timoko : “Tout va bien et tous les feux sont au vert” pour le fils du grand champion. L'opposition principale viendra de Dragon des Racques, auteur d'une magnifique performance dans le Critérium des 4 Ans (3e). Son driver, Alexandre Abrivard, affiche ses ambitions : “Nous l'avons préparé pour cette course. Il est extra. En dernier lieu, à Enghien, je trouve qu'il a été disqualifié un peu sévèrement, après enquête, de la deuxième place alors qu'il s'était intercalé entre Django Riff et Dreammoko. Et auparavant, à Vincennes (25 juin), il se serait imposé face à Orlando Jet s'il avait pu s'exprimer plus tôt.”
Autre excellent élément de sa génération, Dijon n'a pas été revu depuis sa victoire dans un groupe I à Naples, le 1er juillet, mais, selon son entraîneur, Romain Derieux, ce n'est pas un souci : “Il est dans le même cas que lors de sa deuxième place dans le Prix Phaéton, en avril. Après l'Italie, comme après la mi-février, il est allé faire un mois de piscine chez David Alexandre et a un mois de travail à la maison. Je vais refaire un bon parcours sage, en dedans, mais il peut prendre une place. Ensuite, on verra si l'on retourne en Italie le 17 septembre ou si l'on prend part aux éliminatoires du Grand Prix de l'UET.” Attention à Dancing Love, déferré des quatre pieds pour la seconde fois de sa carrière et revenu en grande forme ! Diablo du Noyer n'a été pieds nus qu'à une reprise et sera associé à David Thomain. Comme il a deux parcours de remise en route à son actif, c'est un outsider intéressant. Lauréat du Prix de Sélection, Discours Joyeux n'en a qu'un dans les jambes et sera uniquement “DP”. Au sujet de Dunbar, son driver, Éric Raffin, livre cette analyse : “Il n'a gagné que d'un nez à Enghien. Il monte de catégorie et n'a pas de marge mais c'est un chic cheval.” Ce sera compliqué pour Diable de Vauvert, lequel prendra part à son premier groupe II à l'attelage, et pour Dragon du Fresne, plus à son affaire au trot monté.
