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Le week-end dernier, à Vincennes, à l'occasion des Prix du Bourbonnais et du Critérium des 3 Ans, on a vu les cracks et les nouveaux cracks. Dans la deuxième “B”, la défaite de Bold Eagle ne m’a pas surpris. Il est vrai que le cheval n'avait plus couru depuis le 9 septembre. Il manquait probablement d'un parcours. Aussi, on voit que ça devient plus compliqué pour lui quand il attaque aux sept cents mètres. Sa défaite peut, éventuellement, relancer un peu le suspense pour “l'Amérique”. Mais Bold Eagle reste Bold Eagle. S'il est ramené au sprint le jour de la “belle”, il va encore briller, c'est sûr. De son côté, Bird Parker a gagné dans un bon style. Cela faisait longtemps qu'il ne s'était pas aussi bien élancé. Il a ensuite bénéficié d'une course sur mesure. Au chapitre des enseignements, la prestation du trotteur transalpin, Ringostarr Treb,m'a bien plu. Il avait déjà montré le bout de son nez dans le Grand Prix d'Été. Propulsion (4e) m'a laissé une très belle impression. Si pour cette épreuve il n'était qu'à 50 %, comme le précisait son entraîneur, il va gagner le Prix d'Amérique de trois longueurs ! Carat Williams n'est pas à l'arrivée, mais on ne va pas lui en vouloir, car il a réalisé une superbe année. Quant à ma jument, Bélina Josselyn, elle courait pour la “qualif'”. Je suis satisfait de sa performance. Elle est venue bien finir. Elle est montée en puissance depuis le Prix de Bretagne. Elle est dans le bon tempo. On va maintenant aller sur le “Bourgogne” pour tenter de décrocher le sésame.
Dans le temps fort des 3 ans, Erminig d'Oliverie a montré qu'elle était une championne. Elle a affiché un super “chrono”. Sur le plan personnel, ça se passe plutôt bien. Le titre de Sulky d'Or est pratiquement acquis. Si je suis en tête du classement des entraîneurs au nombre de victoires cette année (179 depuis le 1er janvier), rien n'est encore fait, car Yannick-Alain Briand (2e avec 171 succès à l'heure où nous mettons sous presse) est capable de revenir. En face de moi, il y a un gros effectif. Généralement, quand ça gagne, c'est par coup de trois.
Dans le temps fort des 3 ans, Erminig d'Oliverie a montré qu'elle était une championne. Elle a affiché un super “chrono”. Sur le plan personnel, ça se passe plutôt bien. Le titre de Sulky d'Or est pratiquement acquis. Si je suis en tête du classement des entraîneurs au nombre de victoires cette année (179 depuis le 1er janvier), rien n'est encore fait, car Yannick-Alain Briand (2e avec 171 succès à l'heure où nous mettons sous presse) est capable de revenir. En face de moi, il y a un gros effectif. Généralement, quand ça gagne, c'est par coup de trois.
