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La totale
En remportant le Derby des 4 Ans, Franck Nivard a décroché tous les groupes I inscrits au trot, en France. Oui, il s'agit d'une vraie performance. Il est encore jeune, Francky (il aura 40 ans au mois de juillet, N.D.L.R.), et n'a pas gagné son premier groupe I si tôt que ça dans sa carrière, mais tout s'est enchaîné très vite. À l'attelé, il est tombé sur Meaulnes du Corta, puis Ready Cash et Bold Eagle. Il s'est retrouvé au bon endroit au bon moment, n'a pas loupé les objectifs qui étaient les siens. C'est la marque des grands. Pourtant, il reste très simple, hyper abordable. C'est un gars comme ça, et ce n'est certainement pas maintenant qu'il va changer.
De la tentation à la dépanne
Quand vous faites partie des meilleurs drivers, comme c'est le cas de JMB, de Franck Nivard ou encore d'Éric Raffin, la tentation est grande de continuer à gagner, mais aussi avec ses propres chevaux. Franck est désormais dans cette logique. Il a considérablement fait évoluer son effectif, en quantité comme en qualité. Il a compris que lorsqu'on traverse une mauvaise passe, au sulky, on peut vite se remettre en confiance avec un cheval de la maison que l'on s'est bien préparé. Je partage cette philosophie. Éric aussi, en réalité, même s'il est aujourd'hui focalisé à 100 % sur sa réussite comme catch-driver. Parce que, quoi que l'on en dise, c'est quand même hyper agréable de croiser le photographe, aux courses, avec un trotteur que l'on a mis en place. C'est une belle récompense. Celle qui fait que l'on se lève tous les matins
En remportant le Derby des 4 Ans, Franck Nivard a décroché tous les groupes I inscrits au trot, en France. Oui, il s'agit d'une vraie performance. Il est encore jeune, Francky (il aura 40 ans au mois de juillet, N.D.L.R.), et n'a pas gagné son premier groupe I si tôt que ça dans sa carrière, mais tout s'est enchaîné très vite. À l'attelé, il est tombé sur Meaulnes du Corta, puis Ready Cash et Bold Eagle. Il s'est retrouvé au bon endroit au bon moment, n'a pas loupé les objectifs qui étaient les siens. C'est la marque des grands. Pourtant, il reste très simple, hyper abordable. C'est un gars comme ça, et ce n'est certainement pas maintenant qu'il va changer.
De la tentation à la dépanne
Quand vous faites partie des meilleurs drivers, comme c'est le cas de JMB, de Franck Nivard ou encore d'Éric Raffin, la tentation est grande de continuer à gagner, mais aussi avec ses propres chevaux. Franck est désormais dans cette logique. Il a considérablement fait évoluer son effectif, en quantité comme en qualité. Il a compris que lorsqu'on traverse une mauvaise passe, au sulky, on peut vite se remettre en confiance avec un cheval de la maison que l'on s'est bien préparé. Je partage cette philosophie. Éric aussi, en réalité, même s'il est aujourd'hui focalisé à 100 % sur sa réussite comme catch-driver. Parce que, quoi que l'on en dise, c'est quand même hyper agréable de croiser le photographe, aux courses, avec un trotteur que l'on a mis en place. C'est une belle récompense. Celle qui fait que l'on se lève tous les matins
