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Lundi à Boulogne, réunion du Comité de France Galop
Le Comité de France Galop s'est réuni lundi à Boulogne pour un point d'étape avant d'aborder le, très chargé, second semestre. à l'ordre du jour : l'approbation des comptes de 2018, marqués par un déficit de 20,9 millions d'euros alors qu'un équilibre était visé (lequel puise son fondement à travers la baisse de l'activité des paris hippiques et la vente de la filiale du PMU au Brésil), une présentation de l'activité du PMU et un vaste point sur Maisons-Laffitte. à propos de l'activité de l'opérateur historique, le directeur général Cyril Linette a indiqué que la stratégie de la maîtrise de l'offre en vue de satisfaire les turfistes donnait des premiers résultats et qu'un mouvement de reprise se dessinait progressivement.
Concernant le volet Maisons-Laffitte, le nouveau centre d'entraînement redimensionné (plus petit) a été présenté par Matthieu Vincent aux membres du Comité ; il devrait être complètement opérationnel début 2020. A propos du champ de courses, par la voix du “DG” Olivier Delloye, il a été rappelé que France Galop demeurait ouvert à une solution de reprise de l’hippodrome sous réserve que “des garanties solides de viabilité économique” soient données et que le cahier des charges imposé aux sociétés Premium soit respecté. En ce sens, y aura-t-il des courses à Maisons-Laffitte l'an prochain ? Toute la question est là, la société mère indiquant “qu'il était difficilement envisageable qu'elle s'engage à attribuer des réunions (et la charge du site) à toute nouvelle entité tant que le projet d'exploitation de cette dernière et son plan d'affaires ne présentent pas des garanties sérieuses sur sa viabilité économique pour les années à venir”. Vous l'aurez compris, la mairie de Maisons-Laffitte doit agir vite et avec efficacité sur ce dossier.
Le Comité de France Galop s'est réuni lundi à Boulogne pour un point d'étape avant d'aborder le, très chargé, second semestre. à l'ordre du jour : l'approbation des comptes de 2018, marqués par un déficit de 20,9 millions d'euros alors qu'un équilibre était visé (lequel puise son fondement à travers la baisse de l'activité des paris hippiques et la vente de la filiale du PMU au Brésil), une présentation de l'activité du PMU et un vaste point sur Maisons-Laffitte. à propos de l'activité de l'opérateur historique, le directeur général Cyril Linette a indiqué que la stratégie de la maîtrise de l'offre en vue de satisfaire les turfistes donnait des premiers résultats et qu'un mouvement de reprise se dessinait progressivement.
Concernant le volet Maisons-Laffitte, le nouveau centre d'entraînement redimensionné (plus petit) a été présenté par Matthieu Vincent aux membres du Comité ; il devrait être complètement opérationnel début 2020. A propos du champ de courses, par la voix du “DG” Olivier Delloye, il a été rappelé que France Galop demeurait ouvert à une solution de reprise de l’hippodrome sous réserve que “des garanties solides de viabilité économique” soient données et que le cahier des charges imposé aux sociétés Premium soit respecté. En ce sens, y aura-t-il des courses à Maisons-Laffitte l'an prochain ? Toute la question est là, la société mère indiquant “qu'il était difficilement envisageable qu'elle s'engage à attribuer des réunions (et la charge du site) à toute nouvelle entité tant que le projet d'exploitation de cette dernière et son plan d'affaires ne présentent pas des garanties sérieuses sur sa viabilité économique pour les années à venir”. Vous l'aurez compris, la mairie de Maisons-Laffitte doit agir vite et avec efficacité sur ce dossier.
