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Sans faute. Jimmy Martin n’avait qu’une seule monte ce samedi, dans le Prix du Chêne de Saint-Vincent de Paul, associé à Kenzydancer. Ce dernier prend les choses en main d’emblée et n’est jamais approché dans la phase finale. “Il gagne de belle manière en devenant de plus en plus professionnel et sur une distance qui lui convient bien”, reconnait son cavalier.
Invaincu. Brillant lauréat pour ses débuts, Chares reste invaincu en dominant de la tête et des épaules le Prix des Trois Couronnes. Après avoir attendu, il vient en dehors à la sortie du tournant final et s’envole vers un facile succès. “Il confirme ses débuts et s’impose une nouvelle fois avec la manière. Il ne devrait pas être dérangé par une plus longue distance à l’avenir”, avoue Enzo Corallo, son jockey. Courageuse, Killing Zoe prend la deuxième place devant Nero a Meta.
Doublé. Dans le Grand Prix de la Ville de Dax, Jean-Claude Rouget alignait trois chevaux. Night Fever prend le train à son compte et mène jusqu'à cent mètres du but où Mon Ouragan, son compagnon de boxes, lui “tombe dessus” et le domine. “Il fait preuve de courage pour s'imposer car il y a eu beaucoup de rythme et c'était dur de revenir sur le fuyard”, analyse Jean-Bernard Eyquem auteur d'un joli coup de deux au cours de la réunion.
Invaincu. Brillant lauréat pour ses débuts, Chares reste invaincu en dominant de la tête et des épaules le Prix des Trois Couronnes. Après avoir attendu, il vient en dehors à la sortie du tournant final et s’envole vers un facile succès. “Il confirme ses débuts et s’impose une nouvelle fois avec la manière. Il ne devrait pas être dérangé par une plus longue distance à l’avenir”, avoue Enzo Corallo, son jockey. Courageuse, Killing Zoe prend la deuxième place devant Nero a Meta.
Doublé. Dans le Grand Prix de la Ville de Dax, Jean-Claude Rouget alignait trois chevaux. Night Fever prend le train à son compte et mène jusqu'à cent mètres du but où Mon Ouragan, son compagnon de boxes, lui “tombe dessus” et le domine. “Il fait preuve de courage pour s'imposer car il y a eu beaucoup de rythme et c'était dur de revenir sur le fuyard”, analyse Jean-Bernard Eyquem auteur d'un joli coup de deux au cours de la réunion.
