À l'issue du premier semestre, les choses étaient on ne peut plus claires : double vainqueur de groupe I, Gala Téjy incarnait le leader de sa promotion, sous la selle de Paul Ploquin. Il a chuté de son piédestal durant l'été, enregistrant un échec radical n'ayant pu être expliqué, mais Christophe Chalon s'attend à le voir “bien courir. Il est allé travailler à Laval, il y a une dizaine de jours, me donnant satisfaction. Cela le motive de sortir de son quotidien. Il me paraît à 80 % de ses moyens. Bien sûr, on se met un peu de pression avant le coup, même si l'objectif reste le Prix de Vincennes.”
Gala Téjy affrontera pour la première fois Grâce de Faël, une fille d'Aquarelle de Faël (battue de peu dans l'édition 2013). Invaincue en six sorties au monté, cette imposante pouliche, se montrant particulièrement généreuse (un peu trop, parfois) ne cesse d'impressionner en région parisienne. “J'étais encore “emballé” au passage du poteau !”, avait confié son fidèle partenaire, Maxime Tijou, en dernier lieu. Suspendu jusqu'au 18 décembre (!), l'apprenti doit céder sa place à Matthieu Abrivard.
Cinq fois au palmarès depuis 1999, Philippe Allaire aligne Guérilla de Simm, une sœur utérine de Boccador de Simm qu'il “adore”. “Elle peut devenir une grande jument, un jour”, a-t-il déclaré dans nos colonnes, à l'occasion de son tour de cour. Samedi, le Breton vise “la troisième place, Grâce de Faël et Gala Téjy étant les chevaux à battre. La mienne est en forme, restant sur deux bonnes sorties à l'attelage.”
En pleins progrès lors du meeting d'été, Gainsborough, doté de beaucoup de fond, évoluera sur le parcours de son succès dans le Prix Pierre Gamare, obtenu aux dépens de Gala Téjy. Yoann Lebourgeois s'en sert à merveille. De loin la moins riche du maigrelet peloton, Going Jet ne sera pas à sous-estimer, ayant manifestement trouvé sa voie dans la spécialité. “Dommage qu'elle se soit énervée avant le départ, le 22 octobre... Ici, ce sera nettement plus difficile, face à cette opposition relevée”, tempère Sébastien Guarato. Les allocations seront aussi bonnes à prendre pour Galactique Mérité et Golden Lady, barrées sur le papier, qui devront cependant rester disciplinées.
Gala Téjy affrontera pour la première fois Grâce de Faël, une fille d'Aquarelle de Faël (battue de peu dans l'édition 2013). Invaincue en six sorties au monté, cette imposante pouliche, se montrant particulièrement généreuse (un peu trop, parfois) ne cesse d'impressionner en région parisienne. “J'étais encore “emballé” au passage du poteau !”, avait confié son fidèle partenaire, Maxime Tijou, en dernier lieu. Suspendu jusqu'au 18 décembre (!), l'apprenti doit céder sa place à Matthieu Abrivard.
Cinq fois au palmarès depuis 1999, Philippe Allaire aligne Guérilla de Simm, une sœur utérine de Boccador de Simm qu'il “adore”. “Elle peut devenir une grande jument, un jour”, a-t-il déclaré dans nos colonnes, à l'occasion de son tour de cour. Samedi, le Breton vise “la troisième place, Grâce de Faël et Gala Téjy étant les chevaux à battre. La mienne est en forme, restant sur deux bonnes sorties à l'attelage.”
En pleins progrès lors du meeting d'été, Gainsborough, doté de beaucoup de fond, évoluera sur le parcours de son succès dans le Prix Pierre Gamare, obtenu aux dépens de Gala Téjy. Yoann Lebourgeois s'en sert à merveille. De loin la moins riche du maigrelet peloton, Going Jet ne sera pas à sous-estimer, ayant manifestement trouvé sa voie dans la spécialité. “Dommage qu'elle se soit énervée avant le départ, le 22 octobre... Ici, ce sera nettement plus difficile, face à cette opposition relevée”, tempère Sébastien Guarato. Les allocations seront aussi bonnes à prendre pour Galactique Mérité et Golden Lady, barrées sur le papier, qui devront cependant rester disciplinées.