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À l'âge de 56 ans Serge Mezquita fait partie des “figures” du microcosme hippique. Cet ancien jockey est un véritable passionné qui respire et vit “cheval”.
• Serge présentez-vous aux plus jeunes d'entre nous et aux moins assidus aussi...
J'ai commencé dans le monde des courses en étant apprenti chez monsieur Gaumondy dans les années soixante-dix. Je suis resté huit ans chez ce grand monsieur qui m'a appris l'amour des chevaux. Il m'a fait gagner mes courses. Puis, j'ai rejoint l'écurie de monsieur Gallorini qui m'a permis d'enlever ma première course à Auteuil. Je n'étais toutefois pas très bon, selon moi. Il m'a fallu “descendre” à Marseille pour me déclencher. J'ai rencontré Christian Scandella qui avait trois chevaux à cette époque. On a fait le meeting ensemble. Le climat et l'ambiance m'ont plu. Bref, j'y ai posé mes valises depuis ! J'ai 196 gagnants en obstacle et 3 au trot. J'en ai monté des bons chevaux, mais si je devais retenir un nom, ce serait Bon Prima !
• Vous êtes valet des jockeys désormais dans le Sud-Est, n'est-ce pas ?
Oui, j'officie comme valet à Marseille-Vivaux, Borély, Cavaillon et Salon-de-Provence. À propos des jockeys, j'ai eu la chance d'avoir comme apprenti, chez monsieur Gaumondy, Christophe Pieux. Un garçon hors-norme qui est mon meilleur ami et que j'ai très régulièrement au téléphone.
• Et vous êtes aussi associé dans une écurie de groupe qui vient de se distinguer.
Je ne suis qu'un petit actionnaire. C'est Richard Chotard, l'entraîneur, qui est à l'origine de la “Team Calas”. Une association qui s'est avérée heureuse puisque notre premier partant s'est soldé par un succès avec Diva du Dancing. Une pouliche très utile sur laquelle nous fondons des espoirs. J'ai toujours voulu avoir un cheval de course. Et le fait de voir arriver, dans le Sud, Richard Chotard, qui est un ami de très longue date, a accéléré les choses et donné du sens à ce projet. On avait précédemment eu Diabolo Forez puis Komodo qui s'est blessé à l'entraînement et qu'on a offert à "Cheval de Cœur" depuis. Le plaisir est le même quel que soit le pourcentage qu'on a. Et puis, si on faisait cela pour l'argent, on n'aurait pas de chevaux de course !
• Serge présentez-vous aux plus jeunes d'entre nous et aux moins assidus aussi...
J'ai commencé dans le monde des courses en étant apprenti chez monsieur Gaumondy dans les années soixante-dix. Je suis resté huit ans chez ce grand monsieur qui m'a appris l'amour des chevaux. Il m'a fait gagner mes courses. Puis, j'ai rejoint l'écurie de monsieur Gallorini qui m'a permis d'enlever ma première course à Auteuil. Je n'étais toutefois pas très bon, selon moi. Il m'a fallu “descendre” à Marseille pour me déclencher. J'ai rencontré Christian Scandella qui avait trois chevaux à cette époque. On a fait le meeting ensemble. Le climat et l'ambiance m'ont plu. Bref, j'y ai posé mes valises depuis ! J'ai 196 gagnants en obstacle et 3 au trot. J'en ai monté des bons chevaux, mais si je devais retenir un nom, ce serait Bon Prima !
• Vous êtes valet des jockeys désormais dans le Sud-Est, n'est-ce pas ?
Oui, j'officie comme valet à Marseille-Vivaux, Borély, Cavaillon et Salon-de-Provence. À propos des jockeys, j'ai eu la chance d'avoir comme apprenti, chez monsieur Gaumondy, Christophe Pieux. Un garçon hors-norme qui est mon meilleur ami et que j'ai très régulièrement au téléphone.
• Et vous êtes aussi associé dans une écurie de groupe qui vient de se distinguer.
Je ne suis qu'un petit actionnaire. C'est Richard Chotard, l'entraîneur, qui est à l'origine de la “Team Calas”. Une association qui s'est avérée heureuse puisque notre premier partant s'est soldé par un succès avec Diva du Dancing. Une pouliche très utile sur laquelle nous fondons des espoirs. J'ai toujours voulu avoir un cheval de course. Et le fait de voir arriver, dans le Sud, Richard Chotard, qui est un ami de très longue date, a accéléré les choses et donné du sens à ce projet. On avait précédemment eu Diabolo Forez puis Komodo qui s'est blessé à l'entraînement et qu'on a offert à "Cheval de Cœur" depuis. Le plaisir est le même quel que soit le pourcentage qu'on a. Et puis, si on faisait cela pour l'argent, on n'aurait pas de chevaux de course !
