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La compression du programme et l'appétit des entourages des chevaux vont provoquer un afflux de candidats pour un nombre de courses restreint. Impossible de reprendre sans mettre en place, temporairement, des mesures visant à garantir l'intérêt de tous.
On risque de se bousculer aux portillons à la reprise et toutes les bonnes volontés s'expriment pour chercher les meilleurs compromis, au trot comme au galop. Si des courses seront dédoublées au trot et divisées au galop pour la catégorie des handicaps, il faudra procéder aux éliminations. Au trot a été évoquée la possibilité de donner la priorité aux chevaux n'ayant pas disputé une compétition dans les huit jours précédant l'épreuve afin de donner un maximum de chances à tous de courir. Ce système est en place dans les handicaps au galop et donne globalement satisfaction. Cette option, peut-être discutable, sera-t-elle adoptée ?
Celle d'une priorité par fédération fait nettement plus débat. Seraient, en effet, autorisés à disputer une compétition d'abord ceux qui sont entraînés dans la fédération où elle se déroule. Il s'agirait, là, d'abord d'une manière de montrer les efforts de l'institution pour se conformer à l'esprit des directives et de limiter les déplacements, qui sont une source indiscutable de risque sanitaire. Évidemment, cette priorité est à l'origine de nombreuses discussions. Les professionnels des fédérations les plus riches en chevaux entraînés s'y opposent, au contraire des fédérations où la proportion de gains échappant aux chevaux qui y sont entraînés est importante.
Cette priorité pourrait-elle être étendue au galop ? Elle y aurait moins de sens, sauf pour la question précise des antennes. La mesure de priorité donnée aux chevaux entraînés dans la fédération où est organisée la course aurait en revanche, au galop comme au trot, l'effet d'exclure potentiellement les concurrents entraînés hors de nos frontières. Le contexte particulier de sortie de crise sanitaire et l'état économique de la filière justifieraient pleinement l'application d'une telle priorité.
Malheureusement, il est difficile d'obtenir des informations fiables à ce sujet et les discussions semblent en cours. Le débat méritait d'être exposé au grand jour.
On risque de se bousculer aux portillons à la reprise et toutes les bonnes volontés s'expriment pour chercher les meilleurs compromis, au trot comme au galop. Si des courses seront dédoublées au trot et divisées au galop pour la catégorie des handicaps, il faudra procéder aux éliminations. Au trot a été évoquée la possibilité de donner la priorité aux chevaux n'ayant pas disputé une compétition dans les huit jours précédant l'épreuve afin de donner un maximum de chances à tous de courir. Ce système est en place dans les handicaps au galop et donne globalement satisfaction. Cette option, peut-être discutable, sera-t-elle adoptée ?
Celle d'une priorité par fédération fait nettement plus débat. Seraient, en effet, autorisés à disputer une compétition d'abord ceux qui sont entraînés dans la fédération où elle se déroule. Il s'agirait, là, d'abord d'une manière de montrer les efforts de l'institution pour se conformer à l'esprit des directives et de limiter les déplacements, qui sont une source indiscutable de risque sanitaire. Évidemment, cette priorité est à l'origine de nombreuses discussions. Les professionnels des fédérations les plus riches en chevaux entraînés s'y opposent, au contraire des fédérations où la proportion de gains échappant aux chevaux qui y sont entraînés est importante.
Cette priorité pourrait-elle être étendue au galop ? Elle y aurait moins de sens, sauf pour la question précise des antennes. La mesure de priorité donnée aux chevaux entraînés dans la fédération où est organisée la course aurait en revanche, au galop comme au trot, l'effet d'exclure potentiellement les concurrents entraînés hors de nos frontières. Le contexte particulier de sortie de crise sanitaire et l'état économique de la filière justifieraient pleinement l'application d'une telle priorité.
Malheureusement, il est difficile d'obtenir des informations fiables à ce sujet et les discussions semblent en cours. Le débat méritait d'être exposé au grand jour.
