Idéalement engagé au premier échelon, Calou Renardière s'est imposé sans coup férir dans la sixième (la troisième effective) étape du GNT, disputée mercredi à Laval.
“C'est parfait! Le cheval revenait à son bon niveau et remplit son objectif.” Jean-Michel Baudouin avait coché depuis un moment la date du 3 juin pour Calou Renardière, et le fils de Let's Go Along a parfaitement répondu à ses attentes en remportant ce Grand Prix Jacques Moreau - 6e étape du GNT. Éric Raffin, qui s'approche des cent succès cette année (il en compte 97 ; +27 depuis le déconfinement!) l'a drivé aux petits oignons, calquant sa course sur celle de Dollar Soyeravant de se décaler à l'entrée de la ligne droite et de se montrer dominateur dans la phase finale. “La course rythmée a servi nos intérêts, a indiqué le pilote vendéen. Le cheval s'est vraiment bien allongé et gagne brillamment.” Le style de sa victoire n'a pas surpris son mentor : “l'an passé, il luttait pour la victoire avec Dorgos de Guez quand il s'était montré fautif à la fin à Saint-Malo... Il avait fait une bonne rentrée et je sentais qu'il était revenu au mieux à l'entraînement. Maintenant, il faut qu'il reste en forme. La suite? Je ne sais pas; Le GNT, dorénavant, ça va être aux vingt-cinq mètres, donc ce sera plus compliqué... On va étudier ça tranquillement ce soir... ”
Dollar Soyer s'est montré accrocheur pour conserver la deuxième place aux dépens de Défi Pierji, qui a longtemps dû ronger son frein derrière Drôle de Jet et Divine Mesloise, avant de ne pouvoir s'exprimer que trop tardivement. Partenaire du lauréat de la première étape, à Amiens, Léo Abrivard avait de gros regrets : “Il n'a pas fait “course”... C'est dommage. Je ne sais pas si on aurait gagné, mais on aurait certainement poussé le vainqueur dans ses retranchements. C'est vraiment un chic cheval, qui ne cesse de progresser depuis un an et demi. Il est devenu un cheval de GNT, en tête.”
Favori de cette épreuve, Drôle de Jet a dû se contenter de la cinquième place, après avoir animé. “Sa très bonne rentrée l'a peut-être un peu tendu, car il était “gazé” aujourd'hui. Il ne s'est jamais réellement posé sur la main, a confié Pierre Vercruysse. Mais il ne démérite pas; J'avais dit qu'il fallait marcher moins de 1'13'' pour gagner; il marche 13''2, on est battu...”
“C'est parfait! Le cheval revenait à son bon niveau et remplit son objectif.” Jean-Michel Baudouin avait coché depuis un moment la date du 3 juin pour Calou Renardière, et le fils de Let's Go Along a parfaitement répondu à ses attentes en remportant ce Grand Prix Jacques Moreau - 6e étape du GNT. Éric Raffin, qui s'approche des cent succès cette année (il en compte 97 ; +27 depuis le déconfinement!) l'a drivé aux petits oignons, calquant sa course sur celle de Dollar Soyeravant de se décaler à l'entrée de la ligne droite et de se montrer dominateur dans la phase finale. “La course rythmée a servi nos intérêts, a indiqué le pilote vendéen. Le cheval s'est vraiment bien allongé et gagne brillamment.” Le style de sa victoire n'a pas surpris son mentor : “l'an passé, il luttait pour la victoire avec Dorgos de Guez quand il s'était montré fautif à la fin à Saint-Malo... Il avait fait une bonne rentrée et je sentais qu'il était revenu au mieux à l'entraînement. Maintenant, il faut qu'il reste en forme. La suite? Je ne sais pas; Le GNT, dorénavant, ça va être aux vingt-cinq mètres, donc ce sera plus compliqué... On va étudier ça tranquillement ce soir... ”
Dollar Soyer s'est montré accrocheur pour conserver la deuxième place aux dépens de Défi Pierji, qui a longtemps dû ronger son frein derrière Drôle de Jet et Divine Mesloise, avant de ne pouvoir s'exprimer que trop tardivement. Partenaire du lauréat de la première étape, à Amiens, Léo Abrivard avait de gros regrets : “Il n'a pas fait “course”... C'est dommage. Je ne sais pas si on aurait gagné, mais on aurait certainement poussé le vainqueur dans ses retranchements. C'est vraiment un chic cheval, qui ne cesse de progresser depuis un an et demi. Il est devenu un cheval de GNT, en tête.”
Favori de cette épreuve, Drôle de Jet a dû se contenter de la cinquième place, après avoir animé. “Sa très bonne rentrée l'a peut-être un peu tendu, car il était “gazé” aujourd'hui. Il ne s'est jamais réellement posé sur la main, a confié Pierre Vercruysse. Mais il ne démérite pas; J'avais dit qu'il fallait marcher moins de 1'13'' pour gagner; il marche 13''2, on est battu...”