Dans un récent communiqué, la Fédération Nationale des Courses Hippiques (FNCH) a annoncé qu'elle se constituera partie civile, au nom des sociétés mères France Galop et LeTROT, à chaque fois qu'une plainte aura été déposée par un professionnel du Galop ou du Trot victime d'un tel acte. Tout propriétaire, éleveur ou entraîneur de chevaux de courses, dont un cheval serait victime d'actes de cruauté, est invité à signaler les faits au plus vite à la gendarmerie et à déposer plainte. Afin que l'Institution des courses puisse se constituer partie civile aux côtés des socioprofessionnels, il convient d'informer la FNCH une fois le dépôt de plainte effectué. Le contact est : FNCH - Service de Biologie Equine, téléphone : 01 42 68 87 83, email : v.latour@lescourseshippiques.com.
La Gendarmerie Nationale (via l'OCLAESP, Office Central de Lutte Contre les Atteintes à l'Environnnement et à la Santé Publique) a par ailleurs diffusé des recommandations (voir infographie ci-dessous) pour tenter d'éviter de tels cas de barbarie : effectuer une surveillance quotidienne, éviter de laisser un licol quand l'animal est au pré, et lorsque c'est possible, mettre en place une surveillance par caméra.
La lutte contre ces attaques doit être menée exclusivement par les autorités compétentes, afin que les auteurs puissent être traduits en justice. Toute personne concernée, ou disposant d’informations qui pourraient permettre à la justice d’identifier les auteurs de tels actes, doit s’adresser aux services de Gendarmerie ou de Police les plus proches en appelant le 17, conformément aux recommandations de l’OCLAESP.