pronoturf-Elodie et Phil 59

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ELODIE ET PHIL59 VOUS SOUHAITENT LA BIENVENUE

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    LE PRIX DE L'ARC DE TRIOMPHE, COURSE DE TOUS LES SUPERLATIFS

    hippique
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    Message  hippique Jeu 3 Oct - 7:23


    LE PRIX DE L'ARC DE TRIOMPHE, COURSE DE TOUS LES SUPERLATIFS
    . 


    Mais aussi course de tous les supporters.  Car on est obligatoirement supporter au moment de l'Arc. On est supporter chauvin, en poussant les chevaux nationaux : les Japonais attendent la première victoire d'un des leurs avec insistance et ne se sentiront accomplis au niveau mondial que si Orfevre ou Kizuna vient leur apporter le graal ; les Français pousseront un ouf de soulagement du genre “l'honneur est sauf” si Trêve ou Intello repousse les visiteurs ; les Anglais trouveront qu'il s'agit d'une grande édition si Leading Light ou Al Kazeem triomphe ; les Irlandais boiront double ration de bière et de champagne si Ruler of the World ou Camelot fait retentir l'Ireland's Call.


     Le jour de l'Arc, il y a aussi les supporters parieurs. Ceux qui risquent un petit billet spécialement pour l'événement, et ceux qui misent un peu plus pour cette course. Car toucher l'Arc procure un plaisir particulier. Celui d'avoir bien lu une épreuve réservée à des champions, de s'être montré un peu plus malin que son voisin (ne nous mentons pas) et d'avoir la satisfaction de revoir le guichetier au moment d'encaisser ses gains.  À ce titre, je n'oublierai jamais l'édition 1993 où mon père avait “pris la caisse” en jouant Urban Sea et White Muzzle, tandis que je me montrais circonspect (le mot est faible) quelques minutes avant le départ en regardant ses tickets basés sur une inspiration de dernière minute. Moi, je préférais largement Opera House, qui avait gagné les King George. Résultat : alors que nous sommes tassés dans les tribunes avec une vision réduite aux derniers deux cents mètres, nous voyons la casaque jaune portée par Éric Saint-Martin se faufiler le long de la corde pour dominer... White Muzzle et Opera House. Jeux simples, la boule etc. Nous sautons dans tous les sens au milieu d'un public médusé qui ne comprend pas comment la jument de Jean Lesbordes a pu venir rafler la mise. Une mise qui pour nous se traduit de manière sonnante et trébuchante avec un souvenir indélébile. Et, chaque année, nous essayons de refaire un “gros coup” identique. Tout cela n'empêche pas de rester supporter sportsman.
    Amateur de pur-sang. De vouloir que le meilleur gagne avec la volonté plus ou moins consciente d'être présent au moment où une page unique de l'histoire du turf s'écrit. Les dernières années nous ont particulièrement gâtés : de la lutte aux couteaux entre Montjeu et El CondorPasa à l'arrivée acadrabrantesque de l'an passé qui couronne Solémia en passant par la phénoménale Zarkava, irrésistible, capricieuse et invincible à la fois. L'Arc 2013 approche et on se demande quel scénario invraisemblable nous réservent tous ces cracks. Vive l'imprévu ! Vive les courses !


    ------------------------------------------
    IL N'Y A PLUS QU'À ATTENDRE DIMANCHE…

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    L'invaincue Trêve et le lauréat du Prix du Jockey-Club, Intello, ont été les stars de ce mardi matin sur le gazon cantilien, la pensionnaire de Christiane Head-Maarek ayant, une fois encore, fait preuve de classe…

    Peu importe que le jour soit à peine levé : attendre pour voir passer les prétendants à l'Arc de Triomphe reste toujours un plaisir immense. Et quand la lauréate du Prix de Diane, Trêve, montre ce qu'elle sait faire le mieux, c’est-à-dire placer une pointe de vitesse imparable, on se dit que le Graal est à la portée de ses sabots…
    Montée par son cavalier d'entraînement, Pascal Galoche, la demoiselle a effectué un ultime galop très plaisant. Partie derrière son leader, elle déboîte deux cents mètres après être sortie du tournant et place une vive accélération, qu'elle prolongera juste quelques centaines de mètres, avant que son cavalier ne la reprenne.  Il ne faut pas brûler les cartouches. Mais l'impression visuelle est là. “C'est rare d'avoir une pouliche qui sait accélérer de cette façon, précise son mentor, Christiane Head-Maarek. Il faut espérer qu'elle puisse aussi bien le faire dimanche !” La perle de Criquette est fin prête. Prête à relever un fabuleux défi : “Trêve ne peut être mieux qu'actuellement. Elle a beaucoup évolué physiquement depuis sa course de rentrée. Elle a pris beaucoup de poids et évolue dans le bon sens. Pour moi, elle sera beaucoup mieux à 4 ans ; elle a été longue à se développer. Nous n'avons plus qu'à croiser les doigts pour dimanche et espérer aussi bénéficier d'un bon numéro à la corde. Quant à l'état du terrain, cela ne devrait pas être une excuse. Dimanche, on va savoir si elle est vraiment bonne ou moins bonne que certains. L'Arc, c'est le championnat du monde des pur-sang, que le meilleur gagne ! Mais nous allons essayer de dire “sayonara” (au revoir) aux Japonais !”
    À la André Fabre...
    Après son récent succès dans le Prix du Prince d'Orange, le lauréat du Jockey-Club, Intello, va découvrir la distance classique. Un challenge que ne tente certainement pas André Fabre sans raison. Quoi qu'il en soit - et quel que soit son nombre de partants dans l'Arc dimanche - Intello, Flintshire et Ocovango ont foulé le gazon ce mardi eux aussi, juste pour un canter. Intello, monté par Tony Farina et accompagné d'un leader, semblait aller assez librement. Flintshire (Maxime Guyon) et Ocovango (Pierre-Charles Boudot) ont quant à eux travaillé ensemble. Point de vitesse, juste terminer bien sur la main des jockeys et être à son travail… Méthode de la maison Fabre qui a largement fait ses preuves !
    Une pouliche a aussi fait sensation ce mardi matin. Prétendant au Prix Marcel Boussac, la représentante de S.A. Aga Khan, Véda, qui n'a couru qu'à une seule reprise mais qui avait fait sensation pour ses débuts en s'imposant somme toute assez facilement, possède elle aussi une belle accélération. Montée par Éric Alloix, la fille de Dansili, qui a longtemps attendu derrière ses deux leaders, les a dépassés très facilement, en quelques foulées seulement, sans que son jockey ne lui demande quoi que ce soit. Bien à son travail et volontaire, la demoiselle en a vraisemblablement sous le capot…
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    LE PRIX DE L'ARC DE TRIOMPHE, COURSE DE TOUS LES SUPERLATIFS Empty Orfevre et Soumillon pour les derniers réglages !!!

    Message  hippique Jeu 3 Oct - 16:52

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    Orfevre et Soumillon pour les derniers réglages
    Ils portent les espoirs de tout un peuple. Mercredi matin à Chantilly, les deux stars japonaises, Kizuna et Orfevre, ont travaillé une dernière fois, chacun de leur côté. La confiance est de mise, et ce dans les deux camps.

    Ils sont passés près du but l'an passé, mais les deux entraîneurs japonais espèrent, chacun de leur côté, remporter l'Arc cette saison. Du côté de Kizuna, l'ambiance est au beau fixe. A 80 % de ses moyens le jour de sa rentrée, l'élève de Shozo Sasaki est désormais au meilleur de sa forme et a travaillé en ligne droite, mercredi matin, effectuant environ 1.300 mètres, tout en étant franchement sollicité par Yutaka Take pour finir, une chose que l'on n'a pas l'habitude de voir ici, mais qui semble être chose courante au pays du soleil levant, comme le précise Shozo Sasaki : “J'ai travaillé à la japonaise, ou plutôt à la Sasaki ! Je préfère le travailler normalement, comme je le fais au Japon. Ainsi, de cette façon, même s'il est battu, je ne pourrais pas dire que c'est à cause d'un manque de travail. Je ne veux rien regretter.” Cependant, ce poulain, semblant peu démonstratif le matin, a fait naître de sérieux espoirs dans le clan japonais en s'imposant dans le Prix Niel, mais son entraîneur pense-t-il vraiment pouvoir dominer son “frère ennemi” Orfevre ? “Orfevre a montré qu'il faisait partie des meilleurs chevaux du monde, poursuit Shozo Sasaki. Et l'on sait tous qu'il aurait dû s'imposer l'an passé... Cela sera sûrement dur de le battre, mais il faut toujours avoir espoir ! Et Kizuna veut dire le lien et ce nom renvoie au tsunami... Kizuna a eu des bons résultats au moment où l'on avait besoin de se réunir après une telle tragédie. S'il peut gagner l'Arc cela donnera une bonne énergie au Japon...” 

    Orfevre pour une revanche
    Dans le clan d'Orfevre, tous les feux sont aussi au vert. Son ultime galop, sur la piste rondes Aigles a, une fois de plus, donné satisfaction. Emmené par trois leaders, ils est venu les déborder très facilement, en venant notamment entre deux chevaux, puis a terminé très plaisamment, associé à Christophe Soumillon.
    Plus mûr et plus zen, Orfevre a donc fait ce qu'on lui demandait, sans chercher à faire de bêtises, ce que voulait absolument voir son entraîneur, Yasutoshi Ikee : “Tout le travail s'est bien déroulé. Il s'est montré très sérieux, passant entre les chevaux sans sourciller et, une fois seul devant, est resté bien à son travail. Tout a été axé dans son travail pour que le cheval soit bien mentalement. Il a beaucoup progressé de ce côté-là. Dimanche, il y aura beaucoup de partants. Peut- être sera-t-il difficile d'avoir la course parfaite... Moi j'ai fait mon travail ; Orfevre est prêt. Tout a été mis en œuvre pour qu'il soit au top pour le jour J. Après, cela sera à Orfevre et Christophe Soumillon de jouer...”
    Et quand on lui demande si, finalement, Orfevre n'est pas son propre ennemi, la réponse fuse : “Bien sûr que si ! Evidemment, il y a des très bons chevaux dans la course, mais vous savez, à chaque fois qu'il a fait son travail et qu'il s'est montré sérieux, il a gagné. Alors si tout se passe bien... Je pensais vraiment gagner l'an passé... J'ai été très déçu. Orfevre, ce jour-là , est retombé dans ses travers... Mais j'espère vraiment que les Japonais pourront exulter dimanche ! J'ai une revanche à prendre ! L'Arc est le grand rêve du Japon et je suis là pour représenter le Japon. J'ai fortement déçu les supporters japonais l'an passé... Alors je veux leur dire d'attendre notre performance, même si c'est tard dans la nuit !”


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    Kizuna et Take ont fourni un vrai travail
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    LE PRIX DE L'ARC DE TRIOMPHE, COURSE DE TOUS LES SUPERLATIFS Empty LE JAPON EN RÊVE…

    Message  hippique Sam 5 Oct - 17:09

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    Et Trêve lui donne des cauchemars.
    C’est la course de l’année pour les amateurs de galop.
    Le 92e Prix de l’Arc de Triomphe, prévu dimanche à Longchamp, réunit les meilleurs pur-sang de la planète sur la distance classique.
    Parmi eux, Orfevre semble tout désigné pour offrir au Japon son premier succès dans l’épreuve.
    Mais Trêve, la petite merveille de Christiane Head-Maarek a les moyens de briser ce rêve.
    A moins que, comme souvent, cette 92e édition nous donne à admirer un autre cheval, un nouveau soleil levant…

    Il y a eu El Condor Pasa (2e en 1999), il y a eu Deep Impact (3e distancé en 2006), il y a aussi eu le surprenant Nakayama Festa (2e en 2010) ou encore Orfevre, déjà, qui croyait, l’an dernier, que l’Arc se courait sur 2 100 mètres. Pourtant, le Japon n’a jamais semblé aussi bien armé que cette année pour décrocher, enfin, le triomphe que tout un pays fou de turf attend.

    Orfevre (Cool sera donc leur champion numéro 1. Sa démonstration dans le Prix Foy en a fait le favori logique des bookmakers. Et la présence, sur son dos, de Christophe Soumillon, à qui tout semble réussir en ce moment et qui n’adore rien de plus que de monter la première chance de la course, représente une belle assurance pour se parer d’or. Même les nuages, qui s’amoncellent en ce début de week-end sur la région parisienne, ne doivent pas trop inquiéter son entourage, qui aura noté que le dernier de leur protégé a eu lieu en terrain souple.

    Si, malgré tout, Orfevre devait passer à côté, le Japon pourra également compter sur l’atout Kizuna (14), lauréat, lui, de l’autre grande préparatoire (pour 3 ans), le Prix Niel. Moins impressionnant que son compère dans la manière, le fils de Deep Impact n’a peut-être pris que ses marques ce jour-là. Car les journalistes qui se sont penchés sur les vidéos de ses précédents succès (notamment le Derby japonais) sont formels : le poulain a plus de gaz que ce qu’il a montré le 15 septembre et tient sans problème les 2 400 mètres (et même un peu plus).

    Pour le pays du Soleil-Levant, la menace réside d’abord et surtout en un nom : Trêve (18). La petite merveille de Christiane Head-Maarek, toujours invaincue après quatre sorties, rappelle un peu une certaine Zarkava. Même si l’impression visuelle n’est pas la même, le doublé Diane-Vermeille sonne comme du déjà-vu. Française de naissance et d’entraînement, quatarienne de casaque, la fille de Motivator a tout d’une lauréate d’Arc. Il faut l’avouer, le changement de pilote peut cependant inquiéter. Ce n’est pas le talent de Thierry Jarnet qui est en cause (il sait comment remporter des Prix de l’Arc de Triomphe), mais il n’a plus monté la pouliche depuis le Diane : avoir été sur son dos lors de sa plus récente sortie est toujours un avantage. Il a une certaine pression, mais l’entraîneur l’a mis publiquement dans les meilleures conditions.

    Les amateurs d’énigme apprécieront à sa juste mesure le cas d’Intello (17). L’impressionnant vainqueur du Jockey Club n’a rien fait comme tout le monde. Passée par le Prix Messidor (1er), le Jacques le Marois (3e) et le Prince d’Orange (1er), sa route le conduit à découvrir la distance classique le grand jour seulement. Mais André Fabre (sept Arc au palmarès) peut bien s’amuser et démontrer une nouvelle fois que le non-conformisme peut conduire jusqu’au succès. Pour ce faire, il a le jockey idoine, Olivier Peslier, l’homme qui ne connaît pas la pression…

    L’absence de Novellist (2), fiévreux et non-partant, enlève une sérieux prétendant à la victoire et prive l’Allemagne d’une nouvelle occasion de montrer qu’elle devient une grande nation de ce sport. On regardera donc du côté de Ruler of the World (15), au joli coup de rein final dans le Niel et qui pourrait réhabiliter la ligne décriée du Derby d’Epsom. Si Flintshire (10) court comme dans le Grand Prix de Paris (bon terrain), il peut gagner. S’il fournit sa valeur du Niel (terrain souple), il ne peut, au mieux, que viser une place dans les cinq. Le gagnant du St Leger de Doncaster, Leading Light (11), a été supplémenté de manière raisonnable. Autres atouts d’André Fabre (cinq partants), Penglai Pavilion (13) et Ocovango (12) n’ont pas usurpé leurs places dans la course. Après un superbe printemps et début d’été (Irish Gold Cup, Eclipse Stakes et Prince of Wales’ Stakes), Al Kazeem (3) a un peu baissé de pied récemment. Sans son 18 dans les stalles, qui risque de le condamner à subir la course, il aurait le profil parfait de la grosse surprise. Pirika (9), encore une Fabre, porte la casaque cousine d’Orfevre, celle de Teruya Yoshida… Enfin glissons un mot sur la belle histoire Very Nice Name (1), venu des gros handicaps à 3 ans et dauphin d’Orfevre pour sa dernière sortie.

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