Les tops
Les anglais multiplient les incursions gagnantes sur notre sol. En deux jours, les Prix Minerve, Gontaut-Biron, et Guillaume d’Ornano sont tombés dans l’escarcelle des britanniques. Mentor d’Al Wukair (Jacques Le Marois) et Lady Frankel (Prix de Lieurey), André Fabre a permis à la France de s’illustrer et de donner de la voix le 13 août au micro de l’hippodrome et de LCI. Pourvu que ça dur !
Un élevage en forme
Philippe Allaire est omniprésent chez les 2 ans, mais d’autres metteurs au point arrivent à tirer leur épingle du jeu. Fabriz du Gîte a offert une belle victoire à Georges Lelièvre dimanche à Enghien. Un élevage à suivre puisque ses poulains, entraînés par Rodolphe Barette affichent une victoire, deux deuxième places et autant de quatrième places en cinq sorties.
Public présent
A deux jours d’intervalle, Deauville offrait deux belles affiches, avec dimanche le Prix Jacques Le Marois, et mardi la réapparition de chevaux attendus. Côté tribunes, le public a répondu présent, encouragé par une météo enfin clémente. Les autres exemples de belle fréquentation en province ne manquent cet été, redonnant du baume au cœur à la filière. .
Les flops
Après nombre de péripéties intervenues dans le monde du trot, en ce mois d’août, les Commissaires ont été montrés du doigt, cette fois-ci, au galop. Une décision, à savoir la rétrogradation de son protégé The Gates of Dawn, faisant même sortir de ses gonds Freddy Head dans les médias. Ainsi a-t-il a indiqué dans nos colonnes : « Si les gens sont incompétents, il faut les radier. Quand un jockey commet une faute, il est sanctionné. Quand un entraîneur échoue, il perd la confiance de ses propriétaires. Mais les commissaires sont intouchables. C’est insupportable ». Il va falloir se pencher très sérieusement sur ce genre de problématiques si les courses souhaitent aller de l’avant.
Deux champions français au tapis
Il y a des jours comme ça où rien ne va. Alors que nombre de français ont passé le 15 août détendus les pieds dans l’eau, Jean-Claude Rouget et les supporters d’Almanzor et de Brametot ont vécu un jour férié cauchemardesque, prouvant une nouvelle fois que dans les courses comme dans le sport, jamais rien n’est acquis..
Optimisation des programmes : ça urge !
Dimanche dernier, les sociétés mères auraient pu beaucoup mieux faire. Il a fallu attendre 16h40 pour voir enfin une première épreuve être disputée au trot, sachant qu’en milieu d’après-midi, un grand nombre de points de vente PMU sont fermés. Que d’enjeux potentiels partis en fumée !
Les anglais multiplient les incursions gagnantes sur notre sol. En deux jours, les Prix Minerve, Gontaut-Biron, et Guillaume d’Ornano sont tombés dans l’escarcelle des britanniques. Mentor d’Al Wukair (Jacques Le Marois) et Lady Frankel (Prix de Lieurey), André Fabre a permis à la France de s’illustrer et de donner de la voix le 13 août au micro de l’hippodrome et de LCI. Pourvu que ça dur !
Un élevage en forme
Philippe Allaire est omniprésent chez les 2 ans, mais d’autres metteurs au point arrivent à tirer leur épingle du jeu. Fabriz du Gîte a offert une belle victoire à Georges Lelièvre dimanche à Enghien. Un élevage à suivre puisque ses poulains, entraînés par Rodolphe Barette affichent une victoire, deux deuxième places et autant de quatrième places en cinq sorties.
Public présent
A deux jours d’intervalle, Deauville offrait deux belles affiches, avec dimanche le Prix Jacques Le Marois, et mardi la réapparition de chevaux attendus. Côté tribunes, le public a répondu présent, encouragé par une météo enfin clémente. Les autres exemples de belle fréquentation en province ne manquent cet été, redonnant du baume au cœur à la filière. .
Les flops
Après nombre de péripéties intervenues dans le monde du trot, en ce mois d’août, les Commissaires ont été montrés du doigt, cette fois-ci, au galop. Une décision, à savoir la rétrogradation de son protégé The Gates of Dawn, faisant même sortir de ses gonds Freddy Head dans les médias. Ainsi a-t-il a indiqué dans nos colonnes : « Si les gens sont incompétents, il faut les radier. Quand un jockey commet une faute, il est sanctionné. Quand un entraîneur échoue, il perd la confiance de ses propriétaires. Mais les commissaires sont intouchables. C’est insupportable ». Il va falloir se pencher très sérieusement sur ce genre de problématiques si les courses souhaitent aller de l’avant.
Deux champions français au tapis
Il y a des jours comme ça où rien ne va. Alors que nombre de français ont passé le 15 août détendus les pieds dans l’eau, Jean-Claude Rouget et les supporters d’Almanzor et de Brametot ont vécu un jour férié cauchemardesque, prouvant une nouvelle fois que dans les courses comme dans le sport, jamais rien n’est acquis..
Optimisation des programmes : ça urge !
Dimanche dernier, les sociétés mères auraient pu beaucoup mieux faire. Il a fallu attendre 16h40 pour voir enfin une première épreuve être disputée au trot, sachant qu’en milieu d’après-midi, un grand nombre de points de vente PMU sont fermés. Que d’enjeux potentiels partis en fumée !