les tops
+ Mickaëlle Michel, le tube de l'hiver
Avec une victoire toutes les sept courses, qui est en tête dans la course à la Cravache d’Or en 2018 ? Réponse : Mickaëlle Michel, qui n’en finit plus de progresser et de gagner (18 au 8 février) face à ses collègues masculins. Parfaitement conseillée par Frédéric Spanu, la jeune femme devance, à ce jour, Aurélien Lemaitre en tête des hit-parades.
+ Beau travail d’équipes
Malgré les fortes chutes de neige dans la nuit de mardi à mercredi, les courses sur le plateau de Gravelle ont pu se dérouler dans de très bonnes conditions, même s’il y a eu treize non-partants à déplorer, mais pas qu’en raison des intempéries. Toujours est-il qu’il faut saluer l’excellent travail des équipes de Vincennes et de Grosbois, où les chevaux ont pu travailler comme si de rien n’était. Même constat à Chantilly, où la réunion de jeudi semblait presque condamnée. Mais il n’en a rien été, celle-ci se déroulant parfaitement avec peu de non-partants. Les hommes de pistes de France Galop ont travaillé jour et nuit pour évacuer d’énormes quantités de neige et rendre la PSF praticable.
+ Record battu à Pau
Avec plus de 8.000 entrées payantes, précisément 8.031, dimanche dernier à Pau, jour du Grand Cross, l’hippodrome du Pont-Long n’avait jamais enregistré une telle affluence. Comme quoi, quand le spectacle est au rendez-vous, le public sait répondre présent. Une journée qui restera certainement à jamais gravée dans la mémoire du jeune entraîneur David Cottin, auteur d’un magnifique coup de trois, dont le Grand Cross.
Les flops
- Empiètement : distancé... ou pas !
Vendredi, à Cagnes, Coyote Sly s'est classé deuxième dans le quinté du jour, non sans prendre deux piquets dans le dernier tournant, sans que cela n'interpelle les juges puisqu'aucune enquête n'a été ouverte... Pourtant, trois jours auparavant, toujours à Cagnes, Village Natal a été distancé de la cinquième place pour… avoir pris deux piquets au même endroit. Un peu de cohérence, svp !
- Une journée “Super 4”
Certes, les mises engagées sur ce nouveau jeu sont au rendez-vous (une moyenne de 30.000 € par course contre 20.000 € dans les prévisions), néanmoins, il serait de mauvais ton de se réjouir de voir trop d'épreuves être supports du Super 4. Car le développement de ce pari sur une journée implique forcément des épreuves creuses en partants et donc peu porteuses en enjeux. Mardi dernier, sur les 33 courses Premium au menu (Cagnes-sur-Mer, Pau, Mons et Neuss), les turfistes ont pu plancher sur 18 Super 4. C'est beaucoup trop !