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Samedi en Finlande. Si les suédois ont réussi le doublé Grand Prix d'Amérique - Grand Prix de France, les français leur ont rendu la pareille en enlevant le Grand Prix d'Oslo et l'Elitloppet. Justement, Timoko, le lauréat de cette épreuve, étrennera son titre samedi sur les 2.100 mètres d'une piste située presque au pied de l'un des plus grands tremplins de saut à ski du monde.
Et gare aussi à la chute pour notre héros national du moment, titre qu'il partage par ailleurs avec Univers de Pan. Philippe Daugeard, l'entraîneur-driver de celui-ci sera d'ailleurs présent, mais en spectateur. Logiquement, malgré son numéro 10 (Brioni a gagné l'édition 2010 ainsi), il devrait éviter le dérapage, surtout que de nombreux ténors européens sont restés à l'écurie. Richard Westerink affiche de la sérénité, de la confiance, sans toutefois faire un complexe de supériorité : “C'est incroyable, le cheval est encore mieux qu'avant l'Elitloppet. Je dirais même que je le sens progresser. En tout cas, en début de semaine, je suis allé le travailler en Normandie et il volait (le cheval poursuit sa saison de monte au Haras de Sassy chez les époux Lhérété)… Il courra déferré des quatre pieds…” De l'opposition, il en connaît les contours : “Évidemment, il ne faut pas sous-estimer CommanderCrowe.
Il connaît les lieux pour avoir gagné cette belle épreuve à deux reprises. Ce n'est pas la même opposition qu'à Wolvega, mais je sais que Björn (Goop) s'en méfie également…”
Revenu à la compétition après de longs mois d'absence, le champion suédois a remporté trois groupes I de plus que Timoko (9). Il s'élancera du couloir 3 et peut permettre lui aussi à la France de briller, étant toujours entraîné dans l'Hexagone par Fabrice Souloy.
Christophe Martens en terrain connu...
D'ailleurs, du jumelé gagnant au trio, nous n'en sommes pas loin avec la candidature d'Amour d'Occagnes (5), sujet de nationalité hollandaise, comme Richard Westerink, le mentor de Timoko, et Robin Bakker, le driver de Commander Crowe, mais entraîné en région parisienne par les frères Martens. Le fils de Diamant Gédé est en forme, voyage très bien comme l'indiquent plusieurs succès en Scandinavie par le passé. Christophe Martens connaît très bien la piste puisque lorsque Commander Crowe a vaincu en 2012, il lui était associé !
Le reste de l'opposition sera emmené par l'italienne Prussia 8, un peu trop “courte” dans l'Elitloppet, capable ici de mieux faire malgré une position des plus difficiles au bout de l'aile de l'autostart. Quant au tenant du titre, le local WomanizerS, il ne retrouve plus les mêmes opportunités qu'il y a douze mois.
Dès lors, c'est du côté d'Ed You (6), bien malchanceux dans la Sweden Cup, drivé par Mika Forss, le meilleur des autochtones, qu'il faut, pourquoi pas, chercher le trouble-fête idéal.
Et gare aussi à la chute pour notre héros national du moment, titre qu'il partage par ailleurs avec Univers de Pan. Philippe Daugeard, l'entraîneur-driver de celui-ci sera d'ailleurs présent, mais en spectateur. Logiquement, malgré son numéro 10 (Brioni a gagné l'édition 2010 ainsi), il devrait éviter le dérapage, surtout que de nombreux ténors européens sont restés à l'écurie. Richard Westerink affiche de la sérénité, de la confiance, sans toutefois faire un complexe de supériorité : “C'est incroyable, le cheval est encore mieux qu'avant l'Elitloppet. Je dirais même que je le sens progresser. En tout cas, en début de semaine, je suis allé le travailler en Normandie et il volait (le cheval poursuit sa saison de monte au Haras de Sassy chez les époux Lhérété)… Il courra déferré des quatre pieds…” De l'opposition, il en connaît les contours : “Évidemment, il ne faut pas sous-estimer CommanderCrowe.
Il connaît les lieux pour avoir gagné cette belle épreuve à deux reprises. Ce n'est pas la même opposition qu'à Wolvega, mais je sais que Björn (Goop) s'en méfie également…”
Revenu à la compétition après de longs mois d'absence, le champion suédois a remporté trois groupes I de plus que Timoko (9). Il s'élancera du couloir 3 et peut permettre lui aussi à la France de briller, étant toujours entraîné dans l'Hexagone par Fabrice Souloy.
Christophe Martens en terrain connu...
D'ailleurs, du jumelé gagnant au trio, nous n'en sommes pas loin avec la candidature d'Amour d'Occagnes (5), sujet de nationalité hollandaise, comme Richard Westerink, le mentor de Timoko, et Robin Bakker, le driver de Commander Crowe, mais entraîné en région parisienne par les frères Martens. Le fils de Diamant Gédé est en forme, voyage très bien comme l'indiquent plusieurs succès en Scandinavie par le passé. Christophe Martens connaît très bien la piste puisque lorsque Commander Crowe a vaincu en 2012, il lui était associé !
Le reste de l'opposition sera emmené par l'italienne Prussia 8, un peu trop “courte” dans l'Elitloppet, capable ici de mieux faire malgré une position des plus difficiles au bout de l'aile de l'autostart. Quant au tenant du titre, le local WomanizerS, il ne retrouve plus les mêmes opportunités qu'il y a douze mois.
Dès lors, c'est du côté d'Ed You (6), bien malchanceux dans la Sweden Cup, drivé par Mika Forss, le meilleur des autochtones, qu'il faut, pourquoi pas, chercher le trouble-fête idéal.
