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"Plus jamais en France..."
Le driver belge, quatre fois vainqueur d'un Prix d'Amérique, fait le buzz aujourd'hui en Scandinavie. Il s'en explique : “On ne m'a pas oublié. C'est une victoire qui compte. Depuis que j'ai été interdit de driver en France par la SECF, n'ayant par ailleurs reçu personnellement aucune notification du Ministère de l'Intérieur français, je suis très sollicité pour disputer les courses PMU premium à l'étranger. Là, je viens de recevoir une proposition des Suédois. J'arrêterai ma décision lundi. La société des courses (STC) et ATG (organisme des paris) souhaiterait que je drive le mercredi soir à Solvalla (V86) et le samedi dans le V75.Il reste des points à voir comme celui du paiement des impôts. Je les aie toujours réglés en Belgique et je veux continuer à le faire. La prise en charge des déplacements…” Il est revenu aussi sa mise à l'écart de novembre dernier : “Je l'avoue, j'ai eu un mois difficile. Avec Philippe Allaire, il y avait une belle complicité. Ne plus driver Bird Parker a été un déchirement. Ma femme a été formidable dans ce moment-là, mais elle l'a toujours été. Mon fils n'en demandait pas tant. Par la force des choses, on est souvent des pères absents. Aussi en l'état actuel, je peux vous dire que même si je retrouvais ma licence en France, pays que je respecte et j'aime, je ne reviendrais pas y driver…”
Le driver belge, quatre fois vainqueur d'un Prix d'Amérique, fait le buzz aujourd'hui en Scandinavie. Il s'en explique : “On ne m'a pas oublié. C'est une victoire qui compte. Depuis que j'ai été interdit de driver en France par la SECF, n'ayant par ailleurs reçu personnellement aucune notification du Ministère de l'Intérieur français, je suis très sollicité pour disputer les courses PMU premium à l'étranger. Là, je viens de recevoir une proposition des Suédois. J'arrêterai ma décision lundi. La société des courses (STC) et ATG (organisme des paris) souhaiterait que je drive le mercredi soir à Solvalla (V86) et le samedi dans le V75.Il reste des points à voir comme celui du paiement des impôts. Je les aie toujours réglés en Belgique et je veux continuer à le faire. La prise en charge des déplacements…” Il est revenu aussi sa mise à l'écart de novembre dernier : “Je l'avoue, j'ai eu un mois difficile. Avec Philippe Allaire, il y avait une belle complicité. Ne plus driver Bird Parker a été un déchirement. Ma femme a été formidable dans ce moment-là, mais elle l'a toujours été. Mon fils n'en demandait pas tant. Par la force des choses, on est souvent des pères absents. Aussi en l'état actuel, je peux vous dire que même si je retrouvais ma licence en France, pays que je respecte et j'aime, je ne reviendrais pas y driver…”
