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Suite aux propos tenus par Julien Rosenzweig, vice-président du Syndicat des Entraîneurs, Drivers et Jockeys de Trot (SEDJ), Christian Bazire, qui officie depuis quinze ans comme président, a souhaité réagir.
"Hier, vendredi, a eu lieu à Vincennes une réunion du Bureau du SEDJ à laquelle j’ai assisté en présence de Julien Rosenzweig. J’ai pu répondre aux accusations portées contre moi par ce monsieur. Point par point. En ayant les arguments nécessaires. J’ai sollicité un vote de confiance de mon Bureau (composée de sept membres, ndlr) auquel je ne participais évidemment pas. Cinq voix sur six (la sienne) m’ont été favorables. Si cela avait été l’inverse, cela aurait été un désaveu pour moi, je l’admets, mais je serais parti. Je dois dire que ce vote m’a réconforté. Je me sens attaqué, mais je ne suis pas fautif. A ce propos, le Bureau va rédiger un communiqué dans les prochains jours. Je ne prétends pas être le meilleur président du monde mais, depuis quinze ans (NDLR : Christian Bazire honore son quatrième mandat), j’occupe cette fonction en y mettant du cœur. Je ne regrette rien de ce que j’ai fait, même si cela a parfois été au détriment de mon entreprise et de ma vie de famille. Je l’ai fait et continue de le faire parce que j’aime ça.
Dans cette affaire, on a remis en doute mon honnêteté et, cela, je ne le supporte pas. Je ne suis pas un menteur. Plus grave encore, en voulant me salir, Julien Rosenzweig a éclaboussé notre Syndicat et la profession, qui n’a surtout pas besoin de ça actuellement.
J’aurais évidemment préféré qu’il vienne me voir et que l’on règle ensemble les désaccords qui sont les nôtres, plutôt que de rédiger une lettre et la poster sur les réseaux sociaux. A ce propos, tous ceux qui partagent son point de vue, je les excuse. Parce que lorsque l’on donne de mauvaises informations, on a rapidement tendance à aller du côté de celui qui les diffusent. J’invite tous ceux qui le souhaitent, par ailleurs, à prendre contact avec moi s’ils veulent obtenir les documents nécessaires (comptes, etc…). Je suis ouvert à la discussion. Je peux tout dire.
Pour terminer, je ne souhaite pas réagir aux propos tenus par le Président de l’Association du Mouvement des Parieurs, Monsieur Gérard Camberlain. Sachez simplement que j’ai énormément de respect pour les parieurs. Point final."
Christian Bazire, Président du SEDJ
"Tenez, par exemple, sur l’histoire du « budget champagne. » Julien Rosenzweig a donné des chiffres qu’il ne connaissait pas. Le Syndicat a signé une convention avec Moët et Chandon qui dure depuis vingt ans, à l’intérieur de laquelle figure un système de partenariat. Il n’y a pas de gestion irrégulière des stocks. Je peux le prouver."
"Hier, vendredi, a eu lieu à Vincennes une réunion du Bureau du SEDJ à laquelle j’ai assisté en présence de Julien Rosenzweig. J’ai pu répondre aux accusations portées contre moi par ce monsieur. Point par point. En ayant les arguments nécessaires. J’ai sollicité un vote de confiance de mon Bureau (composée de sept membres, ndlr) auquel je ne participais évidemment pas. Cinq voix sur six (la sienne) m’ont été favorables. Si cela avait été l’inverse, cela aurait été un désaveu pour moi, je l’admets, mais je serais parti. Je dois dire que ce vote m’a réconforté. Je me sens attaqué, mais je ne suis pas fautif. A ce propos, le Bureau va rédiger un communiqué dans les prochains jours. Je ne prétends pas être le meilleur président du monde mais, depuis quinze ans (NDLR : Christian Bazire honore son quatrième mandat), j’occupe cette fonction en y mettant du cœur. Je ne regrette rien de ce que j’ai fait, même si cela a parfois été au détriment de mon entreprise et de ma vie de famille. Je l’ai fait et continue de le faire parce que j’aime ça.
Dans cette affaire, on a remis en doute mon honnêteté et, cela, je ne le supporte pas. Je ne suis pas un menteur. Plus grave encore, en voulant me salir, Julien Rosenzweig a éclaboussé notre Syndicat et la profession, qui n’a surtout pas besoin de ça actuellement.
J’aurais évidemment préféré qu’il vienne me voir et que l’on règle ensemble les désaccords qui sont les nôtres, plutôt que de rédiger une lettre et la poster sur les réseaux sociaux. A ce propos, tous ceux qui partagent son point de vue, je les excuse. Parce que lorsque l’on donne de mauvaises informations, on a rapidement tendance à aller du côté de celui qui les diffusent. J’invite tous ceux qui le souhaitent, par ailleurs, à prendre contact avec moi s’ils veulent obtenir les documents nécessaires (comptes, etc…). Je suis ouvert à la discussion. Je peux tout dire.
Pour terminer, je ne souhaite pas réagir aux propos tenus par le Président de l’Association du Mouvement des Parieurs, Monsieur Gérard Camberlain. Sachez simplement que j’ai énormément de respect pour les parieurs. Point final."
Christian Bazire, Président du SEDJ
"Tenez, par exemple, sur l’histoire du « budget champagne. » Julien Rosenzweig a donné des chiffres qu’il ne connaissait pas. Le Syndicat a signé une convention avec Moët et Chandon qui dure depuis vingt ans, à l’intérieur de laquelle figure un système de partenariat. Il n’y a pas de gestion irrégulière des stocks. Je peux le prouver."
