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+ La race du “Trotteur Français” continue de tisser sa toile
Dimanche dernier, à Vincennes, le Trot a signé avec un 30e partenaire, l’Associação Brasileira dos Criadores do Cavalo Trotador (ABCCT), la convention pour la production de chevaux “Trotteur Français” au Brésil. “Le Trotteur Français est une race à part entière et le stud-book n’est plus franco-français, il est international, avec des représentants situés hors de nos frontières”, indique le président du Trot, Dominique de Bellaigue. Il faut savoir que cette année, des dizaines de “Trotteurs Français” devraient être importés aux États-Unis et en Australie.
+ Les courses à l’Élysée
Recevoir les représentants de France Galop et du Trot pendant 1 h 30 à l’Élysée n’a rien d’anodin, alors que les dossiers s’empilent au sommet de l’État. C’est assurément un signe fort envers la filière hippique, marquant un intérêt certain. Le marché du jeu se prépare à un Big Bang avec la privatisation partielle de la Française des Jeux et des accords doivent être trouvés afin de préparer au mieux le PMU vis-à-vis de cette déferlante. Visiblement, l’État ne compte en rien “sacrifier” la filière et les paris hippiques, ce qui est, évidemment, une excellente nouvelle.
- Les “sang-froid” ont le sang chaud...
Jeudi à Vincennes, avait lieu le Prix des Pays Nordiques, la revanche d’une course réservée aux trotteurs sang-froid, disputée quatre jours plus tôt. Ces chevaux rustiques, habitués au froid, bénéficiaient d’un horaire noble (14 h 20, juste après le quinté), mais le spectacle n’a pas été à la hauteur : 8 disqualifiés sur 12 partants...
- A beaucoup mieux couru que ne l’indique son classement...
Il y a quelques jours, dans un handicap à Chantilly, un cheval n’est pas passé inaperçu. Ce n’était, peut-être, pas le but recherché, mais tout turfiste qui se respecte a pu repérer un concurrent qui ne demandait qu’à galoper mais qui n’a terminé que 13e... Convoqué par les commissaires, le jockey a expliqué avoir comme consignes de monter le cheval à l’arrière du peloton et de le faire travailler dans la ligne d’arrivée, son entraîneur (John Hammond) lui ayant indiqué qu’il n’avait pu l’entraîner correctement en raison des intempéries et que ce dernier manquerait certainement de travail pour être compétitif. Si les commissaires ont enregistré ces explications, les turfistes ont tout intérêt à retenir son nom... Rappelons l’article 163 du code des courses : “Tout jockey doit, du départ à l’arrivée de la course, faire son possible pour permettre à son cheval de gagner ou d’obtenir le meilleur classement possible et continuer à le soutenir jusqu’au passage du poteau d’arrivée, sans être obligé d’avoir recours à la cravache.”
Dimanche dernier, à Vincennes, le Trot a signé avec un 30e partenaire, l’Associação Brasileira dos Criadores do Cavalo Trotador (ABCCT), la convention pour la production de chevaux “Trotteur Français” au Brésil. “Le Trotteur Français est une race à part entière et le stud-book n’est plus franco-français, il est international, avec des représentants situés hors de nos frontières”, indique le président du Trot, Dominique de Bellaigue. Il faut savoir que cette année, des dizaines de “Trotteurs Français” devraient être importés aux États-Unis et en Australie.
+ Les courses à l’Élysée
Recevoir les représentants de France Galop et du Trot pendant 1 h 30 à l’Élysée n’a rien d’anodin, alors que les dossiers s’empilent au sommet de l’État. C’est assurément un signe fort envers la filière hippique, marquant un intérêt certain. Le marché du jeu se prépare à un Big Bang avec la privatisation partielle de la Française des Jeux et des accords doivent être trouvés afin de préparer au mieux le PMU vis-à-vis de cette déferlante. Visiblement, l’État ne compte en rien “sacrifier” la filière et les paris hippiques, ce qui est, évidemment, une excellente nouvelle.
- Les “sang-froid” ont le sang chaud...
Jeudi à Vincennes, avait lieu le Prix des Pays Nordiques, la revanche d’une course réservée aux trotteurs sang-froid, disputée quatre jours plus tôt. Ces chevaux rustiques, habitués au froid, bénéficiaient d’un horaire noble (14 h 20, juste après le quinté), mais le spectacle n’a pas été à la hauteur : 8 disqualifiés sur 12 partants...
- A beaucoup mieux couru que ne l’indique son classement...
Il y a quelques jours, dans un handicap à Chantilly, un cheval n’est pas passé inaperçu. Ce n’était, peut-être, pas le but recherché, mais tout turfiste qui se respecte a pu repérer un concurrent qui ne demandait qu’à galoper mais qui n’a terminé que 13e... Convoqué par les commissaires, le jockey a expliqué avoir comme consignes de monter le cheval à l’arrière du peloton et de le faire travailler dans la ligne d’arrivée, son entraîneur (John Hammond) lui ayant indiqué qu’il n’avait pu l’entraîner correctement en raison des intempéries et que ce dernier manquerait certainement de travail pour être compétitif. Si les commissaires ont enregistré ces explications, les turfistes ont tout intérêt à retenir son nom... Rappelons l’article 163 du code des courses : “Tout jockey doit, du départ à l’arrivée de la course, faire son possible pour permettre à son cheval de gagner ou d’obtenir le meilleur classement possible et continuer à le soutenir jusqu’au passage du poteau d’arrivée, sans être obligé d’avoir recours à la cravache.”
