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Les flops
- Un mini Quinté+
Inquiétant ! Alors que les enjeux n’ont pas le vent en poupe en ce début de meeting d’hiver, Le Trot a proposé, mercredi, un très faible nombre de partants dans le Quinté+ Prix de la Ville de Royan (douze après la défection de Classe Voirons). Ils avaient été 14 partants dans le Quinté+ de cette même journée l’an passé. D’après nos informations, l’ensemble Tiercé, Quarté+ et Quinté+ a dévissé de 10 % et avec 12,5 millions d’euros, la réunion à Vincennes a perdu 12 % de mises.
- Du pain sur la planche pour les commissaires
“Les Commissaires, après avoir entendu le jockey Yoann Lebourgeois en ses explications, lui ont donné un avertissement pour avoir communiqué avec un autre concurrent pendant le parcours”. Voilà le communiqué envoyé par Le Trot concernant la sixième épreuve du 30 novembre à Vincennes. Les garants de la régularité des courses se sont référés à l’article 76 du code, lequel stipule : “Toute communication entre les jockeys pendant une course est interdite sauf en cas de danger immédiat”. Rien à redire, sauf que, dans pratiquement toutes les courses, et ce sur tous les hippodromes, les drivers et jockeys communiquent d’une manière ou d’une autre, sans que personne ne s’en émeut. Les commissaires ont du pain sur la planche s’ils veulent être cohérents et appliquer le règlement à la lettre.
- Tromperie sur les ferrures
Depuis toujours, les Norvégiens ne jouent pas le jeu. Il est impératif que cela change le plus rapidement possible, surtout qu’ils bénéficient des enjeux français, avec les courses premium de Bjerke (Oslo). En effet, aucune intention sur le déferrage n’est annoncée dans le tableau des partants, même chose au niveau des résultats. Voilà pourquoi un cheval comme Looking Superb apparaît comme étant pieds nus pour la première fois, samedi à Vincennes, dans la 6e épreuve, alors qu’il l’a déjà été dans son pays d’origine.
Les tops
+ La raison est de retour
Pendant des années, des dirigeants nous ont expliqué que les rapports du PMU n’avaient pas baissé : “Les proportions sont les mêmes et les gains moyens n’ont pas bougé…”. Impossible de leur faire admettre que lorsqu’il y a 10.000 euros en caisse, le parieur ne pouvait pas espérer gagner plus, même avec les plus gros outsiders à l’arrivée. C’est manifeste lorsqu’il n’y a qu’un gagnant. La fragmentation des masses a bel et bien diminué l’espérance de gains. La nouvelle direction du PMU en a pris conscience. Elle va ainsi supprimer 23.300 offres de paris, ce qui devrait regonfler les masses.
+ Prime à la sagacité
En 2019, le PMU va relifter son Quinté+. Outre l’abandon du trop généreux bonus 4sur5 qui devrait améliorer les rapports, la tirelire sera partagée dans tous les cas entre les parieurs qui auront trouvé le quinté dans l’ordre. Plus besoin de compter sur un numéro de 1 à 3000 attribué au hasard pour toucher le jackpot. Même s’il faut toujours un peu de chance pour trouver l’ordre du Quinté+, beaucoup de turfistes (environ 75 %), sondés par notre journal, ont paru satisfait de ces nouvelles mesures. Le PMU ne chasse plus sur les terres de la Française des Jeux !
- Un mini Quinté+
Inquiétant ! Alors que les enjeux n’ont pas le vent en poupe en ce début de meeting d’hiver, Le Trot a proposé, mercredi, un très faible nombre de partants dans le Quinté+ Prix de la Ville de Royan (douze après la défection de Classe Voirons). Ils avaient été 14 partants dans le Quinté+ de cette même journée l’an passé. D’après nos informations, l’ensemble Tiercé, Quarté+ et Quinté+ a dévissé de 10 % et avec 12,5 millions d’euros, la réunion à Vincennes a perdu 12 % de mises.
- Du pain sur la planche pour les commissaires
“Les Commissaires, après avoir entendu le jockey Yoann Lebourgeois en ses explications, lui ont donné un avertissement pour avoir communiqué avec un autre concurrent pendant le parcours”. Voilà le communiqué envoyé par Le Trot concernant la sixième épreuve du 30 novembre à Vincennes. Les garants de la régularité des courses se sont référés à l’article 76 du code, lequel stipule : “Toute communication entre les jockeys pendant une course est interdite sauf en cas de danger immédiat”. Rien à redire, sauf que, dans pratiquement toutes les courses, et ce sur tous les hippodromes, les drivers et jockeys communiquent d’une manière ou d’une autre, sans que personne ne s’en émeut. Les commissaires ont du pain sur la planche s’ils veulent être cohérents et appliquer le règlement à la lettre.
- Tromperie sur les ferrures
Depuis toujours, les Norvégiens ne jouent pas le jeu. Il est impératif que cela change le plus rapidement possible, surtout qu’ils bénéficient des enjeux français, avec les courses premium de Bjerke (Oslo). En effet, aucune intention sur le déferrage n’est annoncée dans le tableau des partants, même chose au niveau des résultats. Voilà pourquoi un cheval comme Looking Superb apparaît comme étant pieds nus pour la première fois, samedi à Vincennes, dans la 6e épreuve, alors qu’il l’a déjà été dans son pays d’origine.
Les tops
+ La raison est de retour
Pendant des années, des dirigeants nous ont expliqué que les rapports du PMU n’avaient pas baissé : “Les proportions sont les mêmes et les gains moyens n’ont pas bougé…”. Impossible de leur faire admettre que lorsqu’il y a 10.000 euros en caisse, le parieur ne pouvait pas espérer gagner plus, même avec les plus gros outsiders à l’arrivée. C’est manifeste lorsqu’il n’y a qu’un gagnant. La fragmentation des masses a bel et bien diminué l’espérance de gains. La nouvelle direction du PMU en a pris conscience. Elle va ainsi supprimer 23.300 offres de paris, ce qui devrait regonfler les masses.
+ Prime à la sagacité
En 2019, le PMU va relifter son Quinté+. Outre l’abandon du trop généreux bonus 4sur5 qui devrait améliorer les rapports, la tirelire sera partagée dans tous les cas entre les parieurs qui auront trouvé le quinté dans l’ordre. Plus besoin de compter sur un numéro de 1 à 3000 attribué au hasard pour toucher le jackpot. Même s’il faut toujours un peu de chance pour trouver l’ordre du Quinté+, beaucoup de turfistes (environ 75 %), sondés par notre journal, ont paru satisfait de ces nouvelles mesures. Le PMU ne chasse plus sur les terres de la Française des Jeux !
