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Une belle transparence
En communiquant aux médias des nouvelles des 57 chevaux touchés par un virus dans une de ses écuries, menus détails à l'appui, Jean-Claude Rouget a fait preuve d'une honnêteté et d'une transparence qui pourraient en inspirer certains. Évoquer ce sujet sensible et douloureux avec le souhait d'alerter les turfistes sur l'état des chevaux amenés à courir dans les prochaines semaines prouve qu'il est possible (préférable) de tout dire que de chercher à cacher l'information. Une communication gagnant-gagnant.
Mention aussi à France Galop
Les sociétés mères sont souvent la cible des critiques, notamment via cette rubrique. Mais, quand les initiatives vont dans le bon sens, il faut le dire aussi. Lundi, après une réunion cauchemardesque à Auteuil, France Galop a fourni un communiqué très digne, le jour même, mentionnant les cinq chevaux morts l'après-midi en compétition et les jockeys blessés, tout en expliquant qu'une enquête avait été ouverte sur les circonstances des nombreux accidents. Une communication réactive qui nous avons appréciée, comme d'ailleurs les nombreux turfistes qui réclament avant tout de la transparence.
Brametot 187 jours après
France Galop a décidé de faire figurer le nombre de jours séparant un cheval de sa dernière sortie sur ses programmes. Voilà qui a permis de voir en un clin d'œil que Brametot, brillant lauréat du Prix de Fontainebleau, n’avait rien perdu de la classe entrevue l'an dernier ; 187 jours plus tard, le poulain de Jean-Claude Rouget a fait en sorte de faire partie des favoris de la prochaine Poule d'Essai des Poulains (14 mai).
Les flops
Une journée “présidentielle” dramatique
Lundi dernier, à Auteuil, à l'occasion d'une réunion qui s'annonçait somptueuse (Prix du Président de la République, Prix Léon Rambaud, etc.), le spectacle a vite pris une tournure dramatique, avec finalement cinq chevaux morts en piste, devant les tribunes. Nous n'incriminerons personne, ni même l'état de la piste (trop tôt mis en cause par certains). Mais cette hécatombe, devant une assistance jeune et fournie, est la plus mauvaise des publicités pour les courses d'obstacle. En quittant l'hippodrome, personne n'avait envie de faire la fête.
Le bon sens n'était pas à Strasbourg
L'autorisation accordée à une jeune apprentie de remplacer un candidat à la Cravache d'Or (Kévin Nabet) lors d'une réunion dominicale Premium a fait logiquement grincer des dents les turfistes. Si le code des courses le permettait, le bon sens, non.
Pas vraiment leur délire
Seulement cinq candidats (Dupont-Aignan, Fillon, Le Pen, Macron et Mélenchon) sur onze ont répondu à nos questions sur le thème hippique, avant le premier tour de l'élection présidentielle. C'est peu. Et certaines réponses, comme celle de l'équipe Philippe Poutou, ont été sans équivoque : “Les courses, ce n'est pas trop notre délire…”
Une belle transparence
En communiquant aux médias des nouvelles des 57 chevaux touchés par un virus dans une de ses écuries, menus détails à l'appui, Jean-Claude Rouget a fait preuve d'une honnêteté et d'une transparence qui pourraient en inspirer certains. Évoquer ce sujet sensible et douloureux avec le souhait d'alerter les turfistes sur l'état des chevaux amenés à courir dans les prochaines semaines prouve qu'il est possible (préférable) de tout dire que de chercher à cacher l'information. Une communication gagnant-gagnant.
Mention aussi à France Galop
Les sociétés mères sont souvent la cible des critiques, notamment via cette rubrique. Mais, quand les initiatives vont dans le bon sens, il faut le dire aussi. Lundi, après une réunion cauchemardesque à Auteuil, France Galop a fourni un communiqué très digne, le jour même, mentionnant les cinq chevaux morts l'après-midi en compétition et les jockeys blessés, tout en expliquant qu'une enquête avait été ouverte sur les circonstances des nombreux accidents. Une communication réactive qui nous avons appréciée, comme d'ailleurs les nombreux turfistes qui réclament avant tout de la transparence.
Brametot 187 jours après
France Galop a décidé de faire figurer le nombre de jours séparant un cheval de sa dernière sortie sur ses programmes. Voilà qui a permis de voir en un clin d'œil que Brametot, brillant lauréat du Prix de Fontainebleau, n’avait rien perdu de la classe entrevue l'an dernier ; 187 jours plus tard, le poulain de Jean-Claude Rouget a fait en sorte de faire partie des favoris de la prochaine Poule d'Essai des Poulains (14 mai).
Les flops
Une journée “présidentielle” dramatique
Lundi dernier, à Auteuil, à l'occasion d'une réunion qui s'annonçait somptueuse (Prix du Président de la République, Prix Léon Rambaud, etc.), le spectacle a vite pris une tournure dramatique, avec finalement cinq chevaux morts en piste, devant les tribunes. Nous n'incriminerons personne, ni même l'état de la piste (trop tôt mis en cause par certains). Mais cette hécatombe, devant une assistance jeune et fournie, est la plus mauvaise des publicités pour les courses d'obstacle. En quittant l'hippodrome, personne n'avait envie de faire la fête.
Le bon sens n'était pas à Strasbourg
L'autorisation accordée à une jeune apprentie de remplacer un candidat à la Cravache d'Or (Kévin Nabet) lors d'une réunion dominicale Premium a fait logiquement grincer des dents les turfistes. Si le code des courses le permettait, le bon sens, non.
Pas vraiment leur délire
Seulement cinq candidats (Dupont-Aignan, Fillon, Le Pen, Macron et Mélenchon) sur onze ont répondu à nos questions sur le thème hippique, avant le premier tour de l'élection présidentielle. C'est peu. Et certaines réponses, comme celle de l'équipe Philippe Poutou, ont été sans équivoque : “Les courses, ce n'est pas trop notre délire…”
