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+ Le PMU à l’écoute de ses fidèles clients
En 2019, l’une des priorités du PMU est de satisfaire sa clientèle de base, “ses meilleurs ambassadeurs”. Au 1er juillet, les turfistes vont pouvoir apprécier quelques mesures attendues et réclamées par une majorité d’entre eux. La notion d’écurie, qui ne concernait que le jeu simple gagnant (une aberration), a été supprimée. Autre point, au Quinté+, les formules comportant un non-partant seront reclassées en Quarté+ si aucun cheval de complément n’a été désigné. Cela permettra d’avoir encore un réel espoir de gains et non des bonus compensatoires. S’il y a deux non-partants, le pari sera remboursé. Enfin, il sera possible d’annuler son pari jusqu’au départ de la course (et non dans les 15 minutes, comme aujourd’hui), si votre sélection comporte un non-partant.
+ Jumelé historique
Les trotteurs français ont brillé dimanche dernier à Solvalla. Dijon, entraîné et drivé par Romain Derieux, a remporté l’Elitlopp devant Aubrion du Gers que Jean-Michel Bazire avait confié à Jos Verbeeck. Il faut remonter à 1978 (Hadol du Vivier-Eléazar) pour retrouver un couplé gagnant français dans le “Prix d’Amérique” suédois.
FLOPS
- Frustration
Samedi dernier, les aficionados du trot ont été frustrés : les cinq épreuves suédoises retenues sur le programme Premium (et donc proposées aux parieurs sur le réseau physique) n’ont pas été diffusées sur la chaîne Equidia. Privés d’images de la Sweden Cup et du Harper Hanovers dans les points PMU, les parieurs ont aussi zappé le guichet lors de ces grandes courses européennes.
- Fin des débats sur Equidia
“Lahalle Racing Club”, diffusé le lundi soir sur Equidia, s’est arrêté cette semaine. Même si l’horaire (22 h 30) n’était pas le plus favorable pour assurer de l’audience, les turfistes pouvaient regarder la seule émission de débat sur les courses à la télévision.
- Un championnat intimiste
Le championnat du Monde des drivers est sur le principe intéressant, mais dans les faits il est presque invisible. Noyé entre de nombreux challenges, il ne bénéficie d’aucune couverture télévisuelle, ni de paris. Disputé en Suède cette année, à cheval sur le week-end de l’Elitlopp, il n’a d’ailleurs figuré au programme qu’à une seule reprise, le samedi, à l’occasion de ce rendez-vous incontournable. Un bon coup de boost serait le bienvenu.
+ Le PMU à l’écoute de ses fidèles clients
En 2019, l’une des priorités du PMU est de satisfaire sa clientèle de base, “ses meilleurs ambassadeurs”. Au 1er juillet, les turfistes vont pouvoir apprécier quelques mesures attendues et réclamées par une majorité d’entre eux. La notion d’écurie, qui ne concernait que le jeu simple gagnant (une aberration), a été supprimée. Autre point, au Quinté+, les formules comportant un non-partant seront reclassées en Quarté+ si aucun cheval de complément n’a été désigné. Cela permettra d’avoir encore un réel espoir de gains et non des bonus compensatoires. S’il y a deux non-partants, le pari sera remboursé. Enfin, il sera possible d’annuler son pari jusqu’au départ de la course (et non dans les 15 minutes, comme aujourd’hui), si votre sélection comporte un non-partant.
+ Jumelé historique
Les trotteurs français ont brillé dimanche dernier à Solvalla. Dijon, entraîné et drivé par Romain Derieux, a remporté l’Elitlopp devant Aubrion du Gers que Jean-Michel Bazire avait confié à Jos Verbeeck. Il faut remonter à 1978 (Hadol du Vivier-Eléazar) pour retrouver un couplé gagnant français dans le “Prix d’Amérique” suédois.
FLOPS
- Frustration
Samedi dernier, les aficionados du trot ont été frustrés : les cinq épreuves suédoises retenues sur le programme Premium (et donc proposées aux parieurs sur le réseau physique) n’ont pas été diffusées sur la chaîne Equidia. Privés d’images de la Sweden Cup et du Harper Hanovers dans les points PMU, les parieurs ont aussi zappé le guichet lors de ces grandes courses européennes.
- Fin des débats sur Equidia
“Lahalle Racing Club”, diffusé le lundi soir sur Equidia, s’est arrêté cette semaine. Même si l’horaire (22 h 30) n’était pas le plus favorable pour assurer de l’audience, les turfistes pouvaient regarder la seule émission de débat sur les courses à la télévision.
- Un championnat intimiste
Le championnat du Monde des drivers est sur le principe intéressant, mais dans les faits il est presque invisible. Noyé entre de nombreux challenges, il ne bénéficie d’aucune couverture télévisuelle, ni de paris. Disputé en Suède cette année, à cheval sur le week-end de l’Elitlopp, il n’a d’ailleurs figuré au programme qu’à une seule reprise, le samedi, à l’occasion de ce rendez-vous incontournable. Un bon coup de boost serait le bienvenu.
