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LES TOPS :
+ Il y a des victoires qui ont une saveur particulière. Celle de Wildriver, lauréate du semi-classique Prix de Pépinvast, a fait beaucoup d'heureux. À commencer par son jockey, Nicolas Gauffenic, et son mentor Mathieu Pitart, lauréats de leur premier groupe. L'ancien jockey devenu entraîneur, très ému, a su transmettre ses émotions et sa joie aux turfistes. Et quelle meilleure publicité pour les courses que de voir des professionnels heureux de faire partager leur passion ? Interrogé dimanche dernier sur la réouverture de ParisLongchamp, où il a bâti une partie de sa légende, André Fabre, lui, nous avait répondu avec l'empathie qu'on lui connaît : “Ce n'est pas un événement pour moi. Au revoir !” Après lui, le déluge.
+ Un beau travail d'équipe à Rambouillet
Après avoir craint d'être obligé d'annuler la réunion, la société des courses de Rambouillet a pu maintenir son programme, tout en décordant la piste de vingt-cinq mètres pour la préserver en vue de la prochaine étape du Trophée Vert (29 avril). Le public avait répondu présent, avec des animations pour les petits, à l'image des poneys mis à leur disposition. Félicitations à toute l'équipe du président Bernard Marie !
LES FLOPS :
- Du gazon à la PSF : “Mais où est le problème ?”
À quelques heures du début de la réunion programmée jeudi sur le gazon de Marseille-Borély, les organisateurs ont décidé de transférer les courses sur la PSF de Vivaux, épargnée par les trombes d’eau. “Mais où est le problème ?” ont rétorqué quelques responsables tirant pourtant leurs revenus des courses hippiques. Le problème majeur est de ne pas connaître ses clients ! Les turfistes du matin ont enregistré leurs paris après avoir étudié les courses sur une piste annoncée collante, voire lourde. Ils se sont aussi inspirés de pronostics rendus caducs par le changement d'hippodrome. Certes, les opérateurs ont rendu possible l’annulation des paris, mais qui a eu l'information et la possibilité de changer son ticket ou de l'annuler ? Quant aux socioprofessionnels, ils avaient maintenu ou non l'engagement de leurs pensionnaires dans la perspective d'y trouver un terrain lourd.
- Faux départs, vrai fléau...
Le vendredi 6 avril, trois réunions Premium au trot (toujours aussi mal placées sur les créneaux horaires) étaient au programme. Nous avons eu droit à une pléthore de faux départs, notamment dans les premières épreuves de Saint-Galmier et de Laval. En nocturne à Vincennes, il y en a eu (seulement) trois. Avec la double peine, l'amende et la mise à pied de deux jours, beaucoup pensaient (nous aussi) que cette plaie pour les courses allait se refermer quelque peu, mais cela n'est visiblement pas le cas.
- L'obstacle, pas épargné
Mardi à Compiègne, le starter a repris le départ du quinté pour une raison assez floue : tous les concurrents étaient bien groupés, mais quelques-uns étaient, certes, au canter... La suite ? Un deuxième faux départ, puis des chevaux qui s'énervent et l'un d’eux qui se fait botter par un autre. Enfin, la troisième tentative (pourtant copie conforme de la première !) a été la bonne...
+ Il y a des victoires qui ont une saveur particulière. Celle de Wildriver, lauréate du semi-classique Prix de Pépinvast, a fait beaucoup d'heureux. À commencer par son jockey, Nicolas Gauffenic, et son mentor Mathieu Pitart, lauréats de leur premier groupe. L'ancien jockey devenu entraîneur, très ému, a su transmettre ses émotions et sa joie aux turfistes. Et quelle meilleure publicité pour les courses que de voir des professionnels heureux de faire partager leur passion ? Interrogé dimanche dernier sur la réouverture de ParisLongchamp, où il a bâti une partie de sa légende, André Fabre, lui, nous avait répondu avec l'empathie qu'on lui connaît : “Ce n'est pas un événement pour moi. Au revoir !” Après lui, le déluge.
+ Un beau travail d'équipe à Rambouillet
Après avoir craint d'être obligé d'annuler la réunion, la société des courses de Rambouillet a pu maintenir son programme, tout en décordant la piste de vingt-cinq mètres pour la préserver en vue de la prochaine étape du Trophée Vert (29 avril). Le public avait répondu présent, avec des animations pour les petits, à l'image des poneys mis à leur disposition. Félicitations à toute l'équipe du président Bernard Marie !
LES FLOPS :
- Du gazon à la PSF : “Mais où est le problème ?”
À quelques heures du début de la réunion programmée jeudi sur le gazon de Marseille-Borély, les organisateurs ont décidé de transférer les courses sur la PSF de Vivaux, épargnée par les trombes d’eau. “Mais où est le problème ?” ont rétorqué quelques responsables tirant pourtant leurs revenus des courses hippiques. Le problème majeur est de ne pas connaître ses clients ! Les turfistes du matin ont enregistré leurs paris après avoir étudié les courses sur une piste annoncée collante, voire lourde. Ils se sont aussi inspirés de pronostics rendus caducs par le changement d'hippodrome. Certes, les opérateurs ont rendu possible l’annulation des paris, mais qui a eu l'information et la possibilité de changer son ticket ou de l'annuler ? Quant aux socioprofessionnels, ils avaient maintenu ou non l'engagement de leurs pensionnaires dans la perspective d'y trouver un terrain lourd.
- Faux départs, vrai fléau...
Le vendredi 6 avril, trois réunions Premium au trot (toujours aussi mal placées sur les créneaux horaires) étaient au programme. Nous avons eu droit à une pléthore de faux départs, notamment dans les premières épreuves de Saint-Galmier et de Laval. En nocturne à Vincennes, il y en a eu (seulement) trois. Avec la double peine, l'amende et la mise à pied de deux jours, beaucoup pensaient (nous aussi) que cette plaie pour les courses allait se refermer quelque peu, mais cela n'est visiblement pas le cas.
- L'obstacle, pas épargné
Mardi à Compiègne, le starter a repris le départ du quinté pour une raison assez floue : tous les concurrents étaient bien groupés, mais quelques-uns étaient, certes, au canter... La suite ? Un deuxième faux départ, puis des chevaux qui s'énervent et l'un d’eux qui se fait botter par un autre. Enfin, la troisième tentative (pourtant copie conforme de la première !) a été la bonne...
