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+ Une sage décision
Jeudi, en appel, les commissaires de France Galop ont annulé la mise à pied de 8 jours infligée à Sibylle Vogt, jugée dans un premier temps coupable d'avoir “empêché d'apprécier les capacités réelles du cheval en raison de son choix de monte inopportun, contraire aux instructions de l'entraîneur”. Beaucoup d'observateurs, y compris des cracks jockeys, avaient dénoncé cette sanction qui aurait pu faire jurisprudence. Comme nous l'avons écrit, un jockey est fort heureusement libre d'appliquer la tactique qu'il souhaite et l'entraîneur et/ou le propriétaire, de faire de nouveau appel à lui... ou non.
+ L'“Arc”, une nouvelle fois meilleure course du monde
Selon le classement établi par Longines World's Best Horse Race, le Qatar Prix de l'Arc de Triomphe est la meilleure course au monde. C'est la quatrième fois en cinq ans que la grande course française a obtenu le meilleur rating des grandes épreuves internationales.
+ Bilibili, l'année de tous les défis
Après avoir remporté, sans trembler, les Prix de Calvados et de Cornulier, le pensionnaire de Laurent-Claude Abrivard va tenter, dans une semaine, d'enlever le Prix de l'Île-de-France, un triptyque qui n'a pas été réussi la même année depuis les succès de Reine du Corta, en 1990. C'était il y a trente ans !
- Have a Dream...
Samedi dernier, à Paris-Vincennes, Jean-Philippe Dubois termine cinquième au sulky de Have a Dream, qui passe le poteau d’arrivée avec beaucoup de ressources. Visiblement, la quatrième place n’intéressait guère le nouvel administrateur du trot. Il paraît que la fonction élève. Mais cela ne se vérifie pas toujours. Et pour les explications, les turfistes, comme nous, attendent toujours.
- Johnny Blanc, pas une ânerie près
“Cravacher un cheval pendant un quart d'heure n'émeut personne... Ni l'État ni les politiques, car les courses font rentrer un peu d'argent dans les caisses.” Intervenant sur le bien-être animal, le fromager Johnny Blanc, payé pour faire le buzz sur les grandes gueules de RMC, n'est pas à une ânerie près... mais il a une nouvelle fois dépassé le “mur du çon” à l'antenne, jeudi. Pour lui, les chevaux de course sont maltraités et les turfistes sont complices. Pour nous, c'est clair, ce monsieur est resté figé sur les courses de Ben-Hur et ceux qui l'emploient flattent le populisme...
Jeudi, en appel, les commissaires de France Galop ont annulé la mise à pied de 8 jours infligée à Sibylle Vogt, jugée dans un premier temps coupable d'avoir “empêché d'apprécier les capacités réelles du cheval en raison de son choix de monte inopportun, contraire aux instructions de l'entraîneur”. Beaucoup d'observateurs, y compris des cracks jockeys, avaient dénoncé cette sanction qui aurait pu faire jurisprudence. Comme nous l'avons écrit, un jockey est fort heureusement libre d'appliquer la tactique qu'il souhaite et l'entraîneur et/ou le propriétaire, de faire de nouveau appel à lui... ou non.
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Samedi dernier, à Paris-Vincennes, Jean-Philippe Dubois termine cinquième au sulky de Have a Dream, qui passe le poteau d’arrivée avec beaucoup de ressources. Visiblement, la quatrième place n’intéressait guère le nouvel administrateur du trot. Il paraît que la fonction élève. Mais cela ne se vérifie pas toujours. Et pour les explications, les turfistes, comme nous, attendent toujours.
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“Cravacher un cheval pendant un quart d'heure n'émeut personne... Ni l'État ni les politiques, car les courses font rentrer un peu d'argent dans les caisses.” Intervenant sur le bien-être animal, le fromager Johnny Blanc, payé pour faire le buzz sur les grandes gueules de RMC, n'est pas à une ânerie près... mais il a une nouvelle fois dépassé le “mur du çon” à l'antenne, jeudi. Pour lui, les chevaux de course sont maltraités et les turfistes sont complices. Pour nous, c'est clair, ce monsieur est resté figé sur les courses de Ben-Hur et ceux qui l'emploient flattent le populisme...
