LES TOPS
+ Olivier Peslier ne chôme pas
Très apprécié dans le peloton et par le public, Olivier Peslier fait feu de tout bois depuis quelques semaines. Il soigne même ses statistiques : depuis le 23 mars, il gagne quasiment une fois sur deux lorsqu’il se met en selle. Le 1er mai à Saint-Cloud, il a épinglé les deux épreuves majeures de la réunion avec Recoletos (Prix du Muguet) et Luminate (Prix Pénélope).
+ Pic d’Orhy, le nouveau prodige de Jacques Détré
Une semaine après la première véritable défaite de la phénoménale De Bon Cœur, le propriétaire Jacques Détré a sans doute particulièrement apprécié la démonstration de son représentant Pic d’Orhy (entraînement François Nicolle), gagnant dans un canter du Prix Go Ahead. Sans doute le meilleur 3 ans vu en compétition à Auteuil cette année. La relève semble assurée...
LES FLOPS
- Des enjeux alarmants
Si les motifs de satisfaction ont été nombreux dimanche dernier à ParisLongchamp, les parieurs ont, malheureusement, boudé une nouvelle fois les guichets. Avec 11,1 % de baisse du chiffre d’affaires sur la réunion phare, les enjeux n’ont pas été rendez-vous. Et ce ne sont pas les mises jouées mercredi dans le tout petit Quinté+ de trot de Saint-Galmier (moins de 3 millions d’euros, ce qui est rarissime !) qui ont de quoi rassurer.
- Il y a Loterie et loterie
Doté de 704.000 euros, le Grand Prix de la Loterie de Naples, groupe I enlevé par des champions comme Varenne, sans remonter à Bellino II ou Une de Mai, n’est plus au programme des courses Premium françaises, comme toutes les courses italiennes, faute d’un accord avec nos voisins transalpins, en grande difficulté. Certes, ce n’est pas avec ces courses en batteries que nous allons sauver la recette, mais il est tout de même plus plaisant de parier sur une telle épreuve que sur un handicap au Chili, une vraie course loterie... Non ?
- Une explication ?
Voir le dauphin d’Enable dans le dernier Prix de l’Arc de Triomphe être incapable de devancer son leader, Wren’s Day (3e d’une classe 1 au Lion-d’Angers) dans le récent Prix Ganay, cela soulève quelques interrogations, n’est-ce pas ? Cloth of Stars a-t-il vraiment récupéré de son expédition à Dubaï ? A-t-il connu un problème lors de sa préparation ? Comment interpréter la performance des deux représentants Godolphin ? Autant de questions qui resteront en suspens, faute de bénéficier des lumières de l’entraîneur, André Fabre.
- Et si on jouait aussi sur les hippodromes ?
Quel est l’objectif de ParisLongchamp ? Attirer une nouvelle clientèle. Quel est le constat d’une note interne à France Galop : “Il faut trouver les moyens d’attirer de nouveaux parieurs à jouer sur les courses”. Si la refonte du quinté est une priorité, il convient aussi de permettre au public venu sur un champ de courses de parier jusqu’à sa fermeture. Dimanche dernier, jour de l’inauguration pluvieuse, un jeune public s’était massé à l’abri pour écouter le DJ “The Avener”, tout près de bornes “hors service” et d’écrans rediffusant les courses de ParisLongchamp, pendant que la réunion du Lion-d’Angers se poursuivait dans l’anonymat.
+ Olivier Peslier ne chôme pas
Très apprécié dans le peloton et par le public, Olivier Peslier fait feu de tout bois depuis quelques semaines. Il soigne même ses statistiques : depuis le 23 mars, il gagne quasiment une fois sur deux lorsqu’il se met en selle. Le 1er mai à Saint-Cloud, il a épinglé les deux épreuves majeures de la réunion avec Recoletos (Prix du Muguet) et Luminate (Prix Pénélope).
+ Pic d’Orhy, le nouveau prodige de Jacques Détré
Une semaine après la première véritable défaite de la phénoménale De Bon Cœur, le propriétaire Jacques Détré a sans doute particulièrement apprécié la démonstration de son représentant Pic d’Orhy (entraînement François Nicolle), gagnant dans un canter du Prix Go Ahead. Sans doute le meilleur 3 ans vu en compétition à Auteuil cette année. La relève semble assurée...
LES FLOPS
- Des enjeux alarmants
Si les motifs de satisfaction ont été nombreux dimanche dernier à ParisLongchamp, les parieurs ont, malheureusement, boudé une nouvelle fois les guichets. Avec 11,1 % de baisse du chiffre d’affaires sur la réunion phare, les enjeux n’ont pas été rendez-vous. Et ce ne sont pas les mises jouées mercredi dans le tout petit Quinté+ de trot de Saint-Galmier (moins de 3 millions d’euros, ce qui est rarissime !) qui ont de quoi rassurer.
- Il y a Loterie et loterie
Doté de 704.000 euros, le Grand Prix de la Loterie de Naples, groupe I enlevé par des champions comme Varenne, sans remonter à Bellino II ou Une de Mai, n’est plus au programme des courses Premium françaises, comme toutes les courses italiennes, faute d’un accord avec nos voisins transalpins, en grande difficulté. Certes, ce n’est pas avec ces courses en batteries que nous allons sauver la recette, mais il est tout de même plus plaisant de parier sur une telle épreuve que sur un handicap au Chili, une vraie course loterie... Non ?
- Une explication ?
Voir le dauphin d’Enable dans le dernier Prix de l’Arc de Triomphe être incapable de devancer son leader, Wren’s Day (3e d’une classe 1 au Lion-d’Angers) dans le récent Prix Ganay, cela soulève quelques interrogations, n’est-ce pas ? Cloth of Stars a-t-il vraiment récupéré de son expédition à Dubaï ? A-t-il connu un problème lors de sa préparation ? Comment interpréter la performance des deux représentants Godolphin ? Autant de questions qui resteront en suspens, faute de bénéficier des lumières de l’entraîneur, André Fabre.
- Et si on jouait aussi sur les hippodromes ?
Quel est l’objectif de ParisLongchamp ? Attirer une nouvelle clientèle. Quel est le constat d’une note interne à France Galop : “Il faut trouver les moyens d’attirer de nouveaux parieurs à jouer sur les courses”. Si la refonte du quinté est une priorité, il convient aussi de permettre au public venu sur un champ de courses de parier jusqu’à sa fermeture. Dimanche dernier, jour de l’inauguration pluvieuse, un jeune public s’était massé à l’abri pour écouter le DJ “The Avener”, tout près de bornes “hors service” et d’écrans rediffusant les courses de ParisLongchamp, pendant que la réunion du Lion-d’Angers se poursuivait dans l’anonymat.