LES TOPS
+ “Paris-Turf”, encore champion de France des pronostiqueurs
Ne comptez pas sur nous pour placarder à la une du journal la réussite de nos pronostics, cela n'a jamais été le style de la maison. Nos fidèles lecteurs savent que les courses ne sont pas une science exacte et que notre journal s'efforce chaque jour de lui proposer les sélections les plus sérieuses possibles. Gagner un concours de pronostics, c'est souvent faire moins d'erreurs que les autres. À ce petit jeu, “Paris-Turf” excelle. Grâce à son équipe emmenée au galop par Florent Béasse et au trot par Cédric Bloquet, notre titre a décroché une nouvelle fois le titre de champion de France des pronostiqueurs, grâce à sa première place dans notre challenge quotidien “écarts et sélections de la presse” (l'objectif est de donner le plus de gagnants et de couplés), la référence car il demande des compétences, de la rigueur et de l'assiduité. Et ce n'est pas un hasard si l'on retrouve au palmarès de ce concours primé nos anciens collègues Maurice Dahdi, Patrice Laporte, Jacques Pauc, etc. En 2019, cerise sur le gâteau, le tandem Jérémy Lévy et Cédric Philippe (Paris-Turf Tip) ont enlevé le challenge du Quinté+, mettant aux prises 31 équipes. Un succès total qui méritait bien cette petite auto publicité.
+ Tous ensemble
Lors des vœux présentés devant la presse spécialisée, Bertrand Méheut, Cyril Linette, Jean-Pierre Barjon et Édouard de Rothschild ont affiché une forte volonté d'avancer ensemble afin de permettre aux courses de retrouver une bonne dynamique. Espérons que ce rapprochement des dirigeants de la filière se traduira par une vraie solidarité, ce qui n'a jamais été le cas jusqu'à présent.
LES FLOPS
- Retour à la case départ des Vikings
Le 22 décembre, le puissant Campo Bahia a bien failli remporter le Critérium Continental au nez et à la barbe de Face Time Bourbon, favori des bookmakers pour le Prix d'Amérique. Une remise à l'heure des pendules était attendue le 11 janvier dans le Prix de Croix. Proposé à 2,50 € et portant sur ses épaules quelques 350.000 € de mises, le protégé de Conrad Lugauer (lequel, blessé, a été contraint de laisser sa place au sulky) n'a été que l'ombre de lui-même, au grand dam des “quintéistes”. N'avait-il pas récupéré ? Toujours est-il qu'il ne sera pas revu cet hiver et va rentrer en Suède, comme l'a fait Who's Who après ses sorties décevantes dans les épreuves préparatoires au “PA”. Cet hiver, même si Short in Cash enchaînent les succès à un niveau moindre, les Suédois ne peuvent compter que sur Propulsion pour “sauver” leur meeting d'hiver.
- Une mauvaise monte ne peut être sanctionnée
Sibylle Vogt, une femme jockey performante en Allemagne, a été suspendue huit jours par les commissaires français pour sa mauvaise monte dans une course à Deauville où elle était la grande favorite. On lui reproche de ne pas avoir respecté les consignes de l'entraîneur... Elle a fait logiquement appel. Si la volonté des organisateurs de protéger les parieurs est louable, cette sanction paraît injuste. Combien de jockeys montent aux ordres d'un entraîneur souhaitant que leur pensionnaire soit “piloté” patiemment en vue d'autres objectifs ? Combien de cracks jockeys se permettent de choisir une trajectoire hasardeuse, qui réussit mais échoue aussi parfois ? La subjectivité crée des injustices et provoque des iniquités. Selon nous, les commissaires doivent se concentrer sur des questions essentielles, comme : Le jockey a-t-il suffisamment soutenue sa monture ? A-t-il sciemment perdu la course ? Et non se demander : A-t-il bien monté ? N'oublions pas qu'un turfiste parie sur un cheval mais aussi sur un jockey...
+ “Paris-Turf”, encore champion de France des pronostiqueurs
Ne comptez pas sur nous pour placarder à la une du journal la réussite de nos pronostics, cela n'a jamais été le style de la maison. Nos fidèles lecteurs savent que les courses ne sont pas une science exacte et que notre journal s'efforce chaque jour de lui proposer les sélections les plus sérieuses possibles. Gagner un concours de pronostics, c'est souvent faire moins d'erreurs que les autres. À ce petit jeu, “Paris-Turf” excelle. Grâce à son équipe emmenée au galop par Florent Béasse et au trot par Cédric Bloquet, notre titre a décroché une nouvelle fois le titre de champion de France des pronostiqueurs, grâce à sa première place dans notre challenge quotidien “écarts et sélections de la presse” (l'objectif est de donner le plus de gagnants et de couplés), la référence car il demande des compétences, de la rigueur et de l'assiduité. Et ce n'est pas un hasard si l'on retrouve au palmarès de ce concours primé nos anciens collègues Maurice Dahdi, Patrice Laporte, Jacques Pauc, etc. En 2019, cerise sur le gâteau, le tandem Jérémy Lévy et Cédric Philippe (Paris-Turf Tip) ont enlevé le challenge du Quinté+, mettant aux prises 31 équipes. Un succès total qui méritait bien cette petite auto publicité.
+ Tous ensemble
Lors des vœux présentés devant la presse spécialisée, Bertrand Méheut, Cyril Linette, Jean-Pierre Barjon et Édouard de Rothschild ont affiché une forte volonté d'avancer ensemble afin de permettre aux courses de retrouver une bonne dynamique. Espérons que ce rapprochement des dirigeants de la filière se traduira par une vraie solidarité, ce qui n'a jamais été le cas jusqu'à présent.
LES FLOPS
- Retour à la case départ des Vikings
Le 22 décembre, le puissant Campo Bahia a bien failli remporter le Critérium Continental au nez et à la barbe de Face Time Bourbon, favori des bookmakers pour le Prix d'Amérique. Une remise à l'heure des pendules était attendue le 11 janvier dans le Prix de Croix. Proposé à 2,50 € et portant sur ses épaules quelques 350.000 € de mises, le protégé de Conrad Lugauer (lequel, blessé, a été contraint de laisser sa place au sulky) n'a été que l'ombre de lui-même, au grand dam des “quintéistes”. N'avait-il pas récupéré ? Toujours est-il qu'il ne sera pas revu cet hiver et va rentrer en Suède, comme l'a fait Who's Who après ses sorties décevantes dans les épreuves préparatoires au “PA”. Cet hiver, même si Short in Cash enchaînent les succès à un niveau moindre, les Suédois ne peuvent compter que sur Propulsion pour “sauver” leur meeting d'hiver.
- Une mauvaise monte ne peut être sanctionnée
Sibylle Vogt, une femme jockey performante en Allemagne, a été suspendue huit jours par les commissaires français pour sa mauvaise monte dans une course à Deauville où elle était la grande favorite. On lui reproche de ne pas avoir respecté les consignes de l'entraîneur... Elle a fait logiquement appel. Si la volonté des organisateurs de protéger les parieurs est louable, cette sanction paraît injuste. Combien de jockeys montent aux ordres d'un entraîneur souhaitant que leur pensionnaire soit “piloté” patiemment en vue d'autres objectifs ? Combien de cracks jockeys se permettent de choisir une trajectoire hasardeuse, qui réussit mais échoue aussi parfois ? La subjectivité crée des injustices et provoque des iniquités. Selon nous, les commissaires doivent se concentrer sur des questions essentielles, comme : Le jockey a-t-il suffisamment soutenue sa monture ? A-t-il sciemment perdu la course ? Et non se demander : A-t-il bien monté ? N'oublions pas qu'un turfiste parie sur un cheval mais aussi sur un jockey...